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jeudi, 07 septembre 2006

Aider les bibliothèques du Liban

Consulter ce blog : http://bibliban.over-blog.com/

21:36 Publié dans Actu | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Liban, bibliothèque

Portrait d'Emilie Ambre dans le rôle de Carmen

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10:21 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Carmen, Manet

mercredi, 06 septembre 2006

Ce n'est pas ce que je vous demande !

"Dans le bureau de François Mitterrand, en 1992, quand celui-ci a appelé Ségolène Royal pour lui annoncer qu'elle allait être ministre. Une fois passée la joie de la nomination, la voix de Ségolène s'est assombrie :

« C'est gênant, quand même, que je sois ministre et que François ne le soit pas...

- Oui, mais je ne vais pas mettre le mari et la femme dans le gouvernement.

- Mais on n'est pas mariés !

- Je vous l'accorde. Mais cela revient au même.

- Mais c'est injuste pour François...

- Bon, écoutez, je comprends votre sentiment d'injustice. Il y a bien une solution, mais il se peut qu'elle ne vous convienne pas : je vais nommer François Hollande et pas vous.

- Ah, ce n'est pas ce que je vous demande ! »

09:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : Segolène, politique

Un bar aux Folies-Bergères

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03:00 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Manet

mardi, 05 septembre 2006

Mais qui songe à quitter Venise ?

Je vous aime, ô Zattere, pour toute votre longueur lumineuse ou nocturne, de la pointe de la Dogana, où vous commencez, à la calle del Vento où finit votre quai de pierre, bordé de façades diverses ! Je vous aime dans toute votre étendue parce que, sur votre dalle, il fait bon marcher vite ou doucement ou s'arrêter, selon l'heure ou la saison, à l'ombre ou au soleil, ô Zattere !

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Souvent, je viens à vous par le rio San Trovaso. Oh ! la maison qui est au coin avec ses arcades et sa glycine, – jaunissante, cette année, quand je la revis ! Pourtant un clair soleil de novembre brillait au ciel de Venise. L'air était frais et limpide, et quel plaisir de le respirer à pleine bouche sur votre promenoir, ô Zattere, devant le canal large, en face de la Giudecca aux trois églises et aux jardins de sauge et de cyprès !
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Me voilà donc. Tournerai-je à droite ou à gauche ? Je ne sais, car je vous aime toutes, ô Zattere, de la pointe de la Dogana à la calle del Vento ! Je vous aime aux Incurabili comme aux Gesuati et au Ponte Longo et à cet endroit où il y a un vieux palais dont le marteau de porte est un Neptune de bronze qui dompte des chevaux marins. C'est là, je crois bien, que j'irai m'adosser pour fumer un de ces âcres et minces cigares que l'on coupe de l'ongle par le milieu avant d'en allumer une moitié.
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Oui, car il fait doux, ce matin, et le ciel est pur. Les bateaux que l'on décharge sur le quai gémissent sourdement à leurs amarres. Partout ailleurs qu'ici la vue d'un port et de ses navires donne des pensées de départ et de voyage. Mais qui songe à quitter Venise ? En vain, les coques enflent leurs flancs et les mâts balancent leurs cordages. Où pourrait-on être mieux que le dos à ce marteau de bronze et les semelles à votre sol, ô Zattere ?
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J'ai entendu le canon de midi. Les cloches sonnent. J'ai reconnu celles des Gesuati, de San Trovaso et de la Salute. Celles du Redentore, de Santa Eufemia et des Zitelle s'y joignent, d'au delà du canal. L'air vibre. Le temps de ma promenade est passé. Demain je ne resterai pas là, en paresseux, et je vous parcourrai tout entières, ô Zattere, de la pointe de la Dogana à la calle del Vento, tout entières, ô Zattere !
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Henry de Régnier
(Trouvé sur cet excellent blog vénitien, signalé par l'ami P.A.G.)

21:06 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Venise

Jehan Rictus, vu par OrnithOrynque

" Mes darons qu’avaient l’cœur bon,

m’avaient bien donné un blason :

Gabriel, çui d’l’Archange,

mais d’puis qu’on m’foutait les langes,

On m’trouvait une drôle de coupure

Au visage, comm’une angelure,

C’est " l’rictus " qu’on m‘a baptisé,

A l’état-civil des va-nu-pieds"…

 

A lire ici

09:55 Publié dans Critique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : rictus

Drôle de festin !

De Pierre !

lundi, 04 septembre 2006

L’imposture elle-même est l’âme de la vie sociale

l’imposture elle-même est l’âme de la vie sociale. Sans elle, l’authenticité ne peut rien. Sans une dose d’imposture, même le plus authentique des parangons de vertu n’est pas complet, car l’authenticité elle-même est obligée de composer avec l’imposture. Examinez attentivement ceux que vous considérez comme des êtres absolument véridiques et vous découvrirez toujours la petite dose d’imposture qui leur a permis d’être reconnus comme tels. En fait, l’authenticité nous ennuie, elle est trop simple et trop pauvre pour nous divertir vraiment. Nous désirons toujours plus qu’on ne peut nous donner. Nous réclamons notre dose d’illusion et d’erreur. Sans elle – et observez dans la nature elle-même, les multiples trompe-l’œil du mimétisme et des parures qui ne cessent de nous abuser -, sans l’illusion et l’imposture, oui, la vie n’est plus désirable ni supportable.

Très intéressante interview de Denis Grozdanovitch sur le site de Calou

dimanche, 03 septembre 2006

Vite, un docteur !

Johnny et Doc Gynéco dans la playlist de Sarkozy

Une dalle mensongère sur une tombe obscure et vite oubliée

Consciemment ou inconsciemment, les hommes sont fiers de leur fermeté, de leur ténacité, de la droiture de leur dessein. Ils vont droit vers leur désir, jusqu'à la réalisation d'actions vertueuses - quelquefois criminelles - dans l'exaltante conviction de leur fermeté. Ils foulent le chemin de la vie, ce chemin que clôturent leurs goûts, leurs préjugés, leurs dédains ou leur enthousiasme, généralement honnêtes, invariablement stupides, et ils sont fiers de ne jamais s'égarer. Si d'aventure ils s'arrêtent, c'est pour regarder un moment par dessus les haies qui les protègent, pour regarder les vallées embrumées, les cimes lointaines, les falaises et les marais, les forêts sombres et les plaines brumeuses ou d'autres êtres humains usent péniblement leurs jours à marcher à tâtons, trébuchant sur les ossements des sages, sur les restes sans sépultures de ceux qui, avant eux, sont morts seuls, dans les ténèbres ou le grand soleil, à mi chemin d'une destination quelconque.  L'homme de caractère ne comprend pas et continue sa route, plein de mépris. Il ne s'égare jamais. Il sait où il va et ce qu'il veut . Poursuivant son voyage, il parvient à parcourir une grande distance sur son chemin étroit et, meurtri, fourbu, couvert de boue, il touche enfin au but; il empoigne le prix de sa persévérance, de sa vertu, de son solide optimisme : une dalle mensongère sur une tombe obscure et vite oubliée .

Le paria des îles , Joseph Conrad

22:23 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vanité, Conrad

Bibliothèque idéale

(Trouvé chez V.K.) Une nouvelle manifestation littéraire, centrée sur le thème de la "Bibliothèque idéale", va se tenir du 26 au 30 septembre 2006 à Strasbourg.

Cette série de rencontres littéraires publiques, organisée conjointement par la ville et la librairie strasbourgeoise Kléber, accueillera une quarantaine d’écrivains, parmi lesquels Philippe Sollers, Marc Lévy, Amélie Nothomb, Erik Orsenna et Edmund White.

Pendant cinq jours, dans le cadre des salons de l’Aubette, les auteurs converseront ainsi autour de leurs ouvrages, de leur bibliothèque et des grandes figures de la littérature qui les ont influencés.

Crédit : metrofrance.com,
le journal gratuit.

Il y a un rappel de l'Italie

"Saint-Flour : il y a un rappel de l'Italie dans la manière qu'a la ville de coiffer de ses tours la colline abrupte, dans le dessin spacieux de son esplanade, dans la belle pierre noire de ses hôtels aux cours herbeuses, qui sont ceux d'une ancienne petite cité princière de l'Apennin ou des Abruzzes ; mais dès qu'on quitte le sommet du plateau - sa cathédrale, son évêché, ses lourds bâtiments officiels carrés et l'arceau bas de leur porche, frais et ombreux comme le corps de garde d'une capitainerie de Castille - la dégringolade paysanne des ruelles de terre ravinées est pleine de chats errants et de traînées d'urine. Du haut de sa terrasse, par delà la coupure profonde du ravin, on découvre l'énorme dos de baleine de la Margeride qui court plonger vers le sud, les lourdes ombres de ses nuages glissant sur des sapinières plus touffues que celles des Vosges. Aucune route ne traverse Saint-Flour - le carrefour, bondé de postes d'essence et de stations-service toutes neuves, très loin en contrebas de la ville, s'atteint au bout d'une spirale descendante qui dévale de la butte plate. C'est un bout-du-monde suspendu au-dessus d'un panorama de plateaux bossués tout tigrés de nuages, ses maisons tellement à la gêne sur le sommet rétréci de la butte que leur porte s'est comprimée en une fente étroite où il semble qu'on ne peut entrer que de profil. Le noms délicieux de la ville comble à la fois l'oreille et le palais par sa sonorité en même temps veloutée et compacte, sa saveur et sa consistance naïve de far paysan : Saint-Flour, où s'est distillée la quintessence des herbages odorants du Cantal, et moulu le blé de ses planèzes, lourd comme la grenaille de plomb, est un gâteau auvergnat compact de fleur de farine."
Julien Gracq, Carnets du grand chemin, José Corti Editeur, 1992

samedi, 02 septembre 2006

D'étonnants points de rencontre avec la jeunesse actuelle

"En 1833, Musset écrit Les Caprices de Marianne. Il a vingt-trois ans. La génération de 1830 a d'étonnants points de rencontre avec la jeunesse actuelle : "assise sur un monde en ruine", elle assiste à l'enterrement des idéaux révolutionnaires, au triomphe du matérialisme, à la corruption de la classe politique, aux reniements de ceux qui portaient haut le drapeau d'une vie nouvelle et qui s'embourgeoisent alors dans les lambris du pouvoir ; horrifiée elle se voit frappée par des épidémies mortelles, et pleine de dégoûts du monde et d'elle-même, elle est tentée par le suicide. Violemment, le romantisme va exprimer ces ravages de l'âme : est-il encore possible d'aimer dans ce monde usé ? Que faire de nos forces ? Dans le plus grand mépris des conventions de l'écriture théâtrale, le jeune Musset, libre, écrit le jeu de l'amour et de la mort. Ce sont les Caprices de Marianne."

Jean-Louis Benoit, metteur en scène

Bientôt au théâtre des 13 Vents

08:30 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : théâtre, Musset

vendredi, 01 septembre 2006

Roch-Gérard Salager

medium_couverture_de-voix-de-silence-et-d-eau_Roch-Gerard-Salager_small.jpgRoch-Gérard Salager a publié quatre titres à ce jour : Corps gisant lisse et nu et Paysages d'urgence, chez Jacques Brémond, De voix, de silence et d'eau et  Jour de l'an aux éditions La Dragonne. Il poursuit une oeuvre très exigeante et originale, très décalée même. Rien ici de facile, d'évident, Roch-Gérard Salager creuse, fouille les mots, l'écriture est extrêment précise, si concentrée qu'elle en acquiert une certaine rondeur, une puissante subtilité, rendue à sa musicalité finalement : La désignation libère ce que le sens concède au monde, toujours en référence à une histoire, des lieux : Est-il vraiment heureux, ou bien simplement vrai, que la mobilité s'apparente à une sorte de tumulte alors que tout suggérait à l'homme de côtoyer la lente patience du lieu ?

"De voix, de silence et d'eau est une promenade littéraire qui nous emmène à Maguelone, mais aussi sur le Canal du Midi, au Pont du Diable près de Saint-Guillem le Désert et à Montpellier. Il est juste d'affirmer que le lieu appartient à l'espace. Du pied des dunes pourtant, lorsqu'il emprunte le chemin carrossable qui conduit aux édifices de Maguelone, le visiteur est saisi du sentiment contraire : ici le lieu commande à l'espace dont il reste solidaire cependant.

Les lieux décrits et visités s'enrichissent au fur et à mesure d'éléments qui s'y rattachent - on est vraiment dans une promenade littéraire - si bien qu'on est toujours là et en même temps ailleurs, dans une histoire, des mythologies, mais aussi une réalité, un vrai regard sur le monde, au fin fond de nous-mêmes finalement.

medium_L53357.jpgLouazna remarque que son père se fâche lorsqu'il est photographié ou filmé sur les plateaux du nord de l'Afrique en compagnie des bêtes dont il surveille le pâturage. Sa colère se fonde sur la conviction que la pellicule incarcère un instant arraché à tous les instants du monde et, partant, qu'un maillon irremplaçable fera défaut dans le kaléidoscope universel. Les bergers touaregs, poursuit Louazna, considèrent qu'un instant détourné, pour mince qu'il soit, peut provoquer un désordre cosmique susceptible de contrarier un homme en passe d'améliorer sa condition après bien des efforts, d'un autre sur le point d'acquitter une dette envers lui-même, d'un autre encore tout près d'obtenir les faveurs de la bien-aimée, la miséricorde des pierres, l'eau claire d'une oasis... Cela rejoint sans doute cette observation que Cézanne couche sur le papier d'une lettre adressée à son père. "L'instant du monde que je souhaite peindre ne peut être figé."

jeudi, 31 août 2006

Retrouvées

La Madone et Le Cri de Munch, volées à Oslo il y a deux ans

Voir aussi le portfolio des grands tableaux volés

19:17 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Munch

Dérives sur le Nil

    Il observa l'ombre au-delà du pont, y vit une énorme baleine qui s'approchait silencieusement de la péniche. Ce n'était certes pas ce qu'il avait vu de plus étonnant dans le Nil à la tombée de la nuit. Mais cette fois-ci, l'animal ouvrait une gueule immense, comme s'il voulait engloutir la péniche...
    La conversation se poursuivait sans qu'ils attachent de l'importance à sa vision. Il décida donc d'attendre la suite des événements sans s'en faire. Mais, soudain, la baleine s'arrêta et cligna de l'oeil en disant: "Je suis la baleine qui a sauvé Jonas." Puis elle recula et disparut. Anis se mit à rire, et Layla Zaydan lui en demanda la raison. Il répondit, évasif:
    " D'étranges apparitions...
    - Et pourquoi ne les verrions-nous pas nous aussi? "
    Il rétorqua, sans cesser de s'activer:
    " C'est parce que, comme disait le grand cheikh, le distrait n'arrive jamais à rien.
    - Pas de cheikh pour nous, espèce d'imposteur!
    - Il n'y a pas un mètre carré de terre au monde qui soit à l'abri des séismes!
    - Qui ne manque pas non plus de musique et de danse!
    - Si tu veux vraiment rire de bon coeur, contemple la terre d'en haut.
    - Heureux ceux qui sont en haut!
    - Mais avec la nouvelle loi des finances, les esprits vont s'apaiser.
    - La loi s'applique-t-elle aussi aux animaux?
    - J'ai bien peur qu'elle ne s'applique d'abord aux animaux...
                                                        Naguib Mahfouz     Dérives sur le Nil, chapitre 3.

06:56 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mahfouz, nil, egypte

mardi, 29 août 2006

Instants du monde

Louazna remarque que son père se fâche lorsqu'il est photographié ou filmé sur les plateaux du nord de l'Afrique en compagnie des bêtes dont il surveille le pâturage. Sa colère se fonde sur la conviction que la pellicule incarcère un instant arraché à tous les instants du monde et, partant, qu'un maillon irremplaçable fera défaut dans le kaléidoscope universel. Les bergers touaregs, poursuit Louazna, considèrent qu'un instant détourné, pour mince qu'il soit, peut provoquer un désordre cosmique susceptible de contrarier un homme en passe d'améliorer sa condition après bien des efforts, d'un autre sur le point d'acquitter une dette envers lui-même, d'un autre encore tout près d'obtenir les faveurs de la bien-aimée, la miséricorde des pierres, l'eau claire d'une oasis... Cela rejoint sans doute cette observation que Cézanne couche sur le papier d'une lettre adressée à son père. "L'instant du monde que je souhaite peindre ne peut être figé."

Extrait du même auteur mystère (erratum, il a publié trois livres, celui-ci est le deuxième)...

09:29 Publié dans énigme | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : jeu, instant du monde

lundi, 28 août 2006

Si vous êtes photographe...

Voici, pris sur le Blog de Gazelle, et extrait du Canard enchaîné, les prix indicatifs que vous pourrez gagner si vous réussissez les photos suivantes :

  • Sarkozy en train d'écrire lui-même son livre (1 million d'euros)
  • Villepin dans sa cabine d'UV (500 000 euros)
  • Jospin mort de rire (300 000 euros)
  • Le Pen aux Canaries repêchant des clandestins (photos couleur exigées : 100 000 euros)
  • Hollande en train de lire "La Présidentielle pour les nuls" (75 000 euros)
  • Strauss-Kahn jouant au golf avec Laurence Parisot (55 000 euros)
  • Villiers en famille en Turquie (50 000 euros)
  • Lang dégustant des moules-frites place des Vosges (25 000 euros)
  • Laguiller faisant du lèche-vitrines place Vendôme (10 000 euros)
  • Marie-George Buffet sur le yacht de Bernard Arnault au large de Ramatuelle (2 000 euros)
  • Bové au parc Astérix (1 500 euros)
  • Voynet et Nicolas Hulot en parapente (150 euros)

Quant à la photo de Chirac jouant avec Maman aux Mille Bornes, cela ne vaut pas une pièce jaune...

(Le Canard enchaîné, mercredi 16 août 2006)

22:15 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : politique, photo

Ici le lieu commande à l'espace

medium_z000043a.jpgCette phrase est du même auteur-mystère (point encore trouvé) de la dernière énigme :

Il est juste d'affirmer que le lieu appartient à l'espace. Du pied des dunes pourtant, lorsqu'il emprunte le chemin carrossable qui conduit aux édifices de Maguelone, le visiteur est saisi du sentiment contraire : ici le lieu commande à l'espace dont il reste solidaire cependant.

19:50 Publié dans énigme | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Maguelone, jeu

dimanche, 27 août 2006

Des nouvelles de Borges

Ici !