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dimanche, 23 janvier 2011

La ferme agricole Béthel, au Congo

IMG_0851.jpgDécouvrez ce beau projet, porté par l'ami Bona, ici

vendredi, 09 juillet 2010

Offre d'emploi

Recherche animateurs pour intervention en milieu scolaire. formation remunérée

(Contrat CAE . permis B)
Contact pour RDV : recrutement@graines-artistes.fr ou  06.10.02.22.00
Merci de faire passer l'info à ceux qui pourraient etre concernés par cette offre d'emploi.

mardi, 05 janvier 2010

Règles capitales

Alphabet2.jpg"L’emploi des capitales (ou cap) pour les titres d’œuvre, dans les textes courants, pose souvent problème, d’autant que les affiches de cinéma ou les jaquettes des livres ne permettent pas de s’y retrouver, les titres y étant imprimés tout en majuscules, pour attirer l’œil.
Il existe à ce sujet un consensus dans la presse et l’édition, qui s’attachent grosso modo à respecter les mêmes règles. Précisons aussi que capitale et majuscule sont des synonymes, le premier étant un terme d’imprimerie, le second, plus ancien, venant des copistes et scribes.
Commençons par le cas sans doute le plus fréquent : un article défini suivi d’un substantif ouvrent le bal : Le Concile d'amour ou Les Animaux malades de la peste. Une cap à l'article et au substantif, c’est simple.
Attention, si le titre forme une phrase complète (sujet et verbe), seul le premier mot prendra la capitale : La dialectique peut-elle casser des briques ? Dans ce cas, pas de cap au premier substantif.
Variante : si le titre est formé de deux substantifs mis sur le même plan, les deux prendront la cap : Le Rouge et le Noir (même chose s’il n’y a pas d’article : Guerre et Paix).
Si un adjectif vient s’intercaler entre l’article et le substantif, les trois prendront la cap : Le Vieil Homme et la mer ou La Dolce Vita.
Si un article indéfini commence le titre, il prendra seul la cap : Un chapeau de paille dItalie ou Des souris et des hommes.
Quand un substantif sans article, un adverbe, une préposition, un verbe, un pronom commencent le titre, ils prennent seuls la cap : Mon pote le gitan, Ascenseur pour l’échafaud, Y a-t-il un pilote dans lavion ? ou Quand passent les six cognes, ou encore Jembrasse pas."

13:56 Publié dans Infos pratiques | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : capitales

vendredi, 11 décembre 2009

Offre d'emploi

museeserignan_01.jpgLa Région Languedoc-Roussillon recrute par voie statutaire,

Un Administrateur du Musée d’Art Contemporain Languedoc-Roussillon à Sérignan

Administrateur chargé de la gestion administrative et financière du Musée

(Cadres d’emplois des Rédacteurs Territoriaux)

Présentation

Le musée régional d’art contemporain Languedoc-Roussillon, situé à Sérignan, présente sur près de 2 500 m2, une collection permanente et des expositions temporaires. Il organise trois ou quatre expositions par an, monographiques, parfois rétrospectives et collectives. La présentation de ses collections, renouvelée une fois par an, propose au public un regard sur la création, des années 60 à la période la plus contemporaine, mettant l'accent sur certaines périodes de l'histoire de l'art (Paysagisme Abstrait, Art Conceptuel, Supports/Surfaces, Figuration Narrative, scène artistique actuelle…).

Ce musée offre un accès privilégié aux oeuvres dans différents espaces : cabinet d'arts graphiques, espaces d'exposition, salle vidéo, vitrines expérimentales, salonbibliothèque, librairie-boutique. L’établissement propose un grand nombre d'activités à destination de tous les publics: visites commentées, conférences, ateliers pour les enfants, mon anniversaire au musée…

musee-serignan-design-2113d.jpgMissions

Sous l’autorité de la Directrice du Musée, l’administrateur aura en charge les missions suivantes :

·Gestion administrative et financière : élaboration et suivi des budgets de fonctionnement et d’investissement de l’établissement, en relation avec la Direction de la Culture et du Patrimoine,

·Suivi administratif et contractuel : délibérations, décisions, élaboration et gestion des contrats et conventions,

·Montage et suivi des dossiers de subventions,

·Suivi des régies d’avances et de recettes,

·Gestion et suivi des commandes, des prestations, contrôle des bons de livraison et des factures,

·Suivi des relations avec les fournisseurs, Rédaction des bilans administratifs et financiers, évaluation des actions entreprises,

·Recherche et développement de partenariats en termes de coproductions, d’échanges, de mécénats, de conventions

·Elaboration des contrats et des conventions de partenariats,

·Suivi des relations avec les partenaires institutionnels, privés ou associatifs,

·Gestion du personnel : suivi des plannings de l’équipe du musée, organisation du roulement pour la surveillance et l’accueil du public, recrutement et encadrement des vacataires et stagiaires.

Profil

·Expérience sur des fonctions similaires souhaitée,

·Bonnes connaissances des politiques culturelles, des institutions et des collectivités territoriales,

·Maîtrise des procédures comptables et budgétaires,

·Qualités relationnelles, des aptitudes au travail en équipe,

·Capacités rédactionnelles tant en français qu’en anglais,

·Organisé, autonome et polyvalent, capacités à prendre des initiatives,

·Avoir un intérêt certain pour l’art contemporain,

·Maîtrise des outils bureautiques et informatiques, la maîtrise d’un logiciel de comptabilité serait en plus,

·Maîtrise de l’anglais,

·Permis B souhaité.

Formation

Formation supérieure en gestion et/ou administration des institutions culturelles.

Temps de travail

Complet

Les candidatures (lettre de motivation + CV + photo + dernier arrêté de situation administrative ou attestation d’inscription sur liste d’aptitude) sont à adresser à

Monsieur le Président du Conseil Régional - Direction des Ressources Humaines Hôtel de Région 201 avenue de la Pompignane34064 MONTPELLIER cedex 2

 

- AVANT LE 24 DECEMBRE 2009

Pour tout renseignement complémentaire vous pouvez contacter Monsieur Fabrice MANUEL, Directeur de la Culture et du Patrimoine, au 04.67.22.80.52

jeudi, 02 octobre 2008

Investisseurs, financiers : CECI N’EST PAS POUR VOUS !

franois-08.jpgCave à vin fondée en 1989, menacée par un départ en retraite, cherche REPRENEUR PASSIONNÉ par le vin et les vignerons, capable de la maintenir dans sa fonction de commerce à dimension humaine.

Accompagnement et mise au courant par le futur retraité.

C.A. annuel TTC : 160 000 euros

P.V. : 90 000 euros

Tél. : 33 (0)4 67 64 54 14

claude@tire-bouteilles.com

Voici le mot de Claude :

La conjoncture n'est pas très favorable, certes ...
Mais le besoin de retraite se fait sacrément sentir.
Vous pouvez m'aider en faisant circuler l'annonce suivante auprès de toutes vos connaissances, avec éventuellement un petit mot pour expliquer ce que vous pensez du travail effectué depuis maintenant une vingtaine d'années. Je suis (pas trop mal) payé pour savoir qu'un tel commerce n'offre pas un "retour sur investissement" des plus élevés et qu'une banque ne prêtera pas facilement pour l'acheter. Mais je sais aussi que le plaisir est présent à tout moment dans ce boulot et qu'il est possible d'en vivre. Je sais en plus que la situation de tire-bouteilles est saine, que la clientèle est fidèle... et qu'il est possible pour quelqu'un qui a la pêche, des idées et de l'initiative de la développer.
Je compte sur l'effet "boule de neige" propre à la toile (si un maximum de vos contacts fait à son tour circuler...) pour trouver la perle rare qui voudra bien prendre la suite.
Merci d'avance.
Claude

Quant à moi, je peux témoigner, depuis que je le connais (une bonne dizaine d'années), je ne peux plus me passer de lui (!), de nos discussions et de ses vins ; ses conseils (et son amitié) ont toujours été excellents, alors merci de faire circuler l'information, pour que le lieu garde l'esprit de Claude, même sans lui !

Raymond
Peintures de Pierre François pour l'Instant du monde n° 6
Le site de Tire-bouteilles : http://tire-bouteilles.com/

dimanche, 09 septembre 2007

cours d'occitan en ligne

Adieu-siatz !
A partir du 1er octobre, l'association Teleòc donnera des cours individuels d'occitan qui sont compatibles avec les cours collectifs de l'IEO.
Ces cours seront :
en ligne (20 à 30 minutes par jour environ) sur le site payant Moodloc dont vous pouvez avoir une idée sur le site gratuit http://www.teleoc.com/.
L'inscription au site revient à 24 € par mois avec engagement sur une durée d'une année.
Il existe une souscription pour les inscrits avant le 1er octobre et des tarifs préférentiels à 19 € par mois ainsi que des facilités de paiement (voir le site à Inscriptions).
Ce site est prévu pour des débutants et l'année prochaine, il y aura un autre site pour les confirmés.
En chiffres, ce site compte 858 pages Web comprenant 115 leçons, un lexique de 1437 mots, 224 pages d'expressions et de proverbes et 293 exercices.
par téléphone (pour travailler l'expression orale) et mél, généralement en liaison avec le site. Ils reviennent à 12 € la demi-heure (ou 11 € pour 3 cours par mois ou 10 € pour au moins 4 cours par mois). Il y a aussi des tarifs préférentiels.
Les dix premiers inscrits au site Teleòc auront droit à des cours hebdomadaires gratuits par téléphone !
Allez voir le site sur le Web !

vendredi, 23 février 2007

Votre liste de courses avec Greenpeace

medium_VAGABONDS_D_AMES_12_.2.JPGUne liste de produits avec ou sans OGM, à lire , édifiant :VOTRE_LISTE_DE_COURSES_AVEC_GREENPEACE.doc

(Merci Hélène !)

Photo : Gildas Pasquet

mardi, 20 février 2007

Offre d'emploi

La librairie L'Echappée Belle recherche pour un CDD, du 1 mai au 31 août 2007, un libraire motivé possédant, si possible, des connaissances en bande dessinée et en jeunesse. Vous serez amené(é)s à conseiller la clientèle, gérer les stocks et assurer toute la procédure de vente. Nous vous proposons un contrat de 35 heures hébdomadaires réparties du lundi après-midi au samedi soir.

 Veuillez adresser vos candidatures: CV et lettre de motivation, au plus tard avant le 20 mars 2007, à la librairie L'Echappée Belle, 7 rue Gambetta, 34200 SETE ou par mail: libechappeebelle@aol.com
>
> LIBRAIRIE L'ECHAPPEE BELLE
> 7 rue Gambetta
> 34200 SETE
> T 04.67.43.64.54
> F 04.67.74.74.18
> libechappeebelle@aol.com
> www.lechappeebelle.fr

dimanche, 17 septembre 2006

Appel à candidatures

Trains de Culture en Languedoc-Roussillon 
Trains de Culture invite les artistes à s¹exprimer dans les gares aussi bien que dans les trains, permetant ainsi d¹ancrer dans l¹esprit collectif une approche positive de ces lieux de vie commun. C¹est aussi, pour le public, une invitation à se déplacer en TER. Par le biais des Trains de Culture en Languedoc-Roussillon , la Région contribue à mettre en valeur la richesse de cette région et à offrir aux voyageurs une manière nouvelle d¹appréhender le TER.
Les manifestations qui découleront des " Trains de Culture en Languedoc-Roussillon ", dont les représentation seront programmées tout au long de l¹année 2007, sont destinées à faire découvrir ou redécouvrir, le train et les gares à tout un chacun : les enfants, les adultes, les résidents du Languedoc-Roussillon comme les touristes. 
La semaine européenne de la mobilité 2007, du 16 au 22 septembre, dédiée à la mobilité durable, sera une nouvelle occasion de présenter l¹ensemble des manifestations du programme " Trains de Culture en Languedoc-Roussillon " au public.
Afin de répondre à ces objectifs, nous sollicitons des projets culturels et artistiques dont les représentations se feraient dans les gares de la région ou dans les trains circulant en région et dont la thématique aurait un lien avec les trains ou les gares.
Les interventions pourraient être liées aux secteurs du spectacle vivant, des arts plastiques et visuels, du cinéma, de l¹audiovisuel et du multimédia et autour de la lecture, de la poésie et de la littérature oraleŠ
modalité de candidature
Les dossiers devront être adressés avant le 30 septembre 2006 à :
Monsieur le Président Georges Frèche - Conseil Régional Languedoc-Roussillon - 
Projet Trains de Culture - Direction des Transports et des Communications
201 avenue de la Pompignane - 34064 MONTPELLIER CEDEX 2
Des dossiers types sont disponibles sur le site du Conseil Régional : 
Ces dossiers seront soumis à une commission, pilotée par Monsieur Jean-Claude Gayssot, Président de la Commission Transports et Monsieur Patrick Malavieille, Président de la Commission Culture et Patrimoine, ainsi que d¹experts invités.
Les résultats du jury seront communiqués par voie postale avant le 1er décembre 2006.
constitution de votre dossier : celui- ci se présente obligatoirement en format A4 relié et comporte :
- 1 lettre de motivation concernant votre démarche artistique globale 
- 1 curriculum vitae axé sur le parcours artistique, avec photo, ou, dans le cas d¹une association, 1 présentation des activités culturelles et artistiques récentes, de son fonctionnement et de ses partenariats éventuels ;
-1 note explicative synthétique sur le projet artistique présenté (objectifs, actions envisagées, résultats attendus, moyens à mettre en ¦uvre) ;
- Le budget simplifié et le calendrier prévisionnel du projet (ce dernier devra également intégrer la présentation du projet artistique en septembre 2007, lors de la semaine de la mobilité).
montant des aides : Le montant maximum de l¹aide accordée, sera de 12000 euros. Elle devra représenter 80 % maximum du coût global de l¹opération.
L¹aide sera versée en deux temps : - 50 % au moment de la décision d¹obtention
- 50 % à la fin de la manifestation ou présentation des pièces justificatives.
renseignements : Région Languedoc-Roussillon - Direction des Transports et des Communications
04 67 22 68 07 ou 04.67.22.63.55 - ferroviaire@cr-languedocroussillon.fr

lundi, 11 septembre 2006

Occi'zen, enfance et art

Hier c'était la foire aux associations à Montpellier, l'occasion de vous présenter Occi'zen qui a édité la revue L'instant du monde et qui continue son beau chemin sous l'impulsion de Sandrine Daudé, sa présidente 06 22 04 31 54 ; sandrine.daude@wanadoo.fr

Croiser les univers… Relier l’enfance à l’art …

Lancée en mars 2002 dans l’Hérault, Occi’zen - enfance et art

 

invente des rencontres pour relier les petits et les grands,

 

pour ‘alléger’ la souffrance des enfants  en difficulté (physiques et/ou psychologiques).

 

 

L’association crée ainsi des passerelles entre les univers culturel, artistique et humanitaire :

 

enfants en difficulté, artistes, peintres, photographes, sculpteurs, écrivains.

 

 

Ils se découvrent ou se retrouvent autour d’événements :

 

expositions de photos et peintures, Machine à contes et spectacles pour enfants, Festival du monde, parcours artistiques …

 

 

Toujours, avec la volonté de créer un échange et un partage, Occi’zen offre ces moments au grand public,

 

là aussi de tous horizons et dans des lieux toujours différents : Ecole, Restaurant Le Jardin des Sens, Maison pour tous etc.

 

 

Agir pour les enfants d’ici et d’ailleurs

 

En France, action menée depuis début 2004 au sein de l’hôpital : ateliers peinture pour les enfants lourdement opérés.

 

Cet échange permet aux enfants de vivre un moment à part, une bulle ‘d’Occi’zen’ dans un quotidien souvent très lourd.

 

 

Des missions sont réalisées à l’étranger, notamment Maroc :

 

- collecte de vêtements, chaussures, cahiers, fournitures pour distribuer directement aux plus démunis,

 

- rencontre enfants et artistes et création commune (dessins, peintures…), spectacles de rues...

 

 

Suite à des collectes organisées en France, dans les écoles et auprès des particuliers, Occi’zen a réalisé dix missions depuis 2003 dans les villages de Ouled Driss et Mhamid (portes du désert marocain) et à K’laa M’Gouna, dans la montagne à proximité de Ouarzazate. Les affaires sont données directement aux enfants et familles qui en ont besoin. Ces échanges sont possibles grâce à la collaboration avec les institutions, le chef du village, les instituteurs, l’équipe médicale.

 

 

l’instant du conte : relier les petits et les grands.  Ce recueil de contes a été inventé par l’association. Il est vendu 10 euros au profit de l’enfance en difficulté. Un recueil acheté permet d’en offrir un aux enfants (hôpital et école en France, école Maroc…).

 

 

Projets 2006, 2007…

 

*  En France : poursuivre les ateliers peinture/enfant au sein de l’hôpital,  réaliser un défilé de mode avec des enfants en difficulté, offrir aux enfants de l’hôpital un ballet sur la naissance et la vie…

 

*  Au Maroc : rénover une école aux portes du désert, amener des fournitures et vêtements, initier une Caravane des Couleurs avec : crèche, infirmerie, alphabétisation et rencontre avec les artistes et les enfants en chemin, construire une maison aux enfants et aux étoiles pour accueillir les enfants abandonnés avec : aide à la scolarisation (soutien scolaire, bourse et parrainage, fourniture de vélo et cartable), hygiène de vie et espace ouvert sur l’art (danse, théâtre, peinture…).

 

 

Mission de l’association : aider l’enfance en difficulté

 

Enfance en difficulté au sens large : violences sexuelles, souffrances liées à la maladie, dénuement matériel.

 

Une bulle d’Occi’zen pour les enfants : Occi’zen travaille avec des associations ou structures spécialisées dans le domaine de l’enfance, avec des partenaires institutionnels et privés pour inventer des événements et sorties pour les enfants, pour créer une ‘bulle d’Occi’zen’ dans leur quotidien, un moment à part. Un moment où l’enfant oublie sa souffrance et retrouve l’adulte, accompagnateur et positif. Ces événements sont toujours reliés à l’art, qui ouvre les portes de l’imaginaire des petits et des grands et facilite la création et le lien de manière universelle et naturelle.

 

 

Actions depuis 2002…quelques exemples…quelques ‘histoires’

 

Des tee-shirts créés pour que les enfants dessinent à l’hôpital

 

Suite à une opération à l’hôpital, les enfants ne peuvent pas toujours se déplacer. Un artiste de l’association, Gildas Pasquet a imaginé de créer un tee-shirt ‘Occi’zen’ en série limitée pour financer la réalisation d’une table horizontale. Ainsi, les enfants peuvent dessiner allongé et oublier un instant leur souffrance.

 

 

 50 artistes pour aider les enfants…

 

Pour la 2ème année consécutive, Occi’zen et son équipe de bénévoles ont organisé une Vente aux enchères de Tableaux au profit de l’enfance en difficulté en partenariat avec le restaurant des frères Pourcel le jardin des Sens, des collectivités, des partenaires privés (Société Générale, Haribo, Sauramps…) et des associations œuvrant dans le domaine de l’enfance.

 

 

 

Cette vente, jardins d’enfance, a rassemblé 50 artistes connus nationalement ou internationalement comme Hervé di Rosa, De Rougemont ; des peintres français, marocains, espagnols…Plus de 250 personnes sont assisté à la Vente aux enchères du 22 novembre 2004. Une partie des bénéfices de la Vente permet de financer les missions Occi’Zen à Ouarzazate au Maroc et d’équiper l’école primaire d’Ouled Driss en matériel (chaises, bureaux…). L’autre partie a été offerte à l’association Gal’hopin qui invite des artistes à l’hôpital pour peindre, chanter avec les enfants malades, pour ‘oublier’ le médical un instant.

 

 

 Carnaval d’ici et d’ailleurs pour les enfants du désert marocain

 

Le 22 mai 2004, à l’école primaire de Palavas-les-Flots : atelier dessin avec les enfants et les artistes, déguisement et maquillage, artisanat, exposition  photo et peinture sur Enfances d’ailleurs, collecte pour les « enfants du désert ». Plus d’une centaine de personnes ont assisté à la soirée orientale : danse, défilé de mode, repas.

 

 

 Festival Enfance et Plongée

 

Septembre 2002 création à Sète du 1er festival Enfance et plongée avec Enzo Majorca, plongeur inspirateur du Grand Bleu ; réalisation d’un clip sur la reconstruction de l’enfant par la plongée.

 

 

Peau d’Ane et la machine à rêves pour les enfants défavorisés

 

Journée La machine à rêves avec le spectacle Peau d’Âne (thème : l’inceste) en décembre 2002 à Montpellier, en présence d’une centaine d’enfants des quartiers défavorisés.

 

 

En 2002 : de NRJ au rallye pour les enfants

 

Sorties avec les enfants type concert avec NRJ avec accès aux coulisses et journées découverte 4x4 et rallye en mai 2002 à Château Lastours dans l’Aude.

 

mardi, 22 août 2006

Les intermittents ont un statut, pas les écrivains

(Extrait de Télérama cette semaine) :

Loin des confortables à-valoir d’une poignée d’auteurs stars, 98 % des écrivains exercent une autre activité professionnelle pour gagner leur vie. Le sociologue Bernard Lahire s’est penché sur leur quotidien dans son étude, La Condition littéraire. Les témoignages qu’il a recueillis mêlent bonheur d’écrire, frustrations, quête de reconnaissance et volonté d’indépendance.

 Qu’est-ce qu’un écrivain ? Un créateur, certes, mais aussi un individu de chair et d’os, un homme ou une femme que ses aspirations esthétiques ne dispensent pas des contraintes prosaïques de la vie matérielle. On l’avait peut-être oublié, sous l’influence notamment de la pensée structuraliste, qui a œuvré, depuis plusieurs décennies, à effacer quelque peu l’auteur du devant de la scène littéraire, au profit du texte, ce dernier jouissant en quelque sorte d’une vie autonome. L’enquête menée en région Rhône-Alpes par le sociologue Bernard Lahire (1), et dont la passionnante synthèse paraît aujourd’hui sous le titre La Condition littéraire, peut dès lors se lire, conformément au souhait de son auteur, comme une entreprise destinée à « matérialiser […] des écrivains trop souvent considérés comme des créateurs désincarnés ». Ramenés à la vie, voici donc les écrivains en ces pages saisis dans leur quotidien, parfois âpre – c’est que « la condition littéraire » n’est pas si simple qu’on le croit communément, et que derrière le terme générique d’« écrivain » se dissimulent des réalités sociales complexes. Une généralité s’impose pourtant, au-delà des différences : ceux qui vivent de leur plume sont des exceptions, et la règle générale est plutôt celle de la « double vie » – côté face l’écriture ; côté pile un second métier, une famille, des enfants, tout ce qui fait une vie sociale ordinaire  
Télérama : Votre étude montre que 98 % des écrivains exercent ou ont exercé un second métier. Est-ce une proportion que l’on retrouve dans d’autres disciplines artistiques ou intellectuelles ?
Bernard Lahire :
Pas du tout, leur situation n’est en rien ordinaire. Même quand leur second métier est lié soit à la littérature – s’ils sont enseignants en lettres par exemple –, soit à l’écriture – s’ils sont journalistes notamment –, le lien avec leur activité d’écrivain n’est pas direct. Les intermittents du spectacle ont un statut, pas les écrivains. Et seule une infime minorité d’entre eux a la possibilité d’exiger des éditeurs des droits d’auteur élevés. Au fond, on pourrait dire que l’écrivain est au centre d’un système d’exploitation, au sens non pas polémique, mais technique du terme. A savoir que la création littéraire permet de faire vivre toute la chaîne du livre, de l’éditeur au libraire en passant par l’employé d’imprimerie, mais l’écrivain, qui est pourtant au cœur de cette chaîne, lui, n’en vit pas.
Télérama : Cette contrainte du second métier est-elle pour eux une souffrance ?
Bernard Lahire :
Ils ne sont pas tous perpétuellement dans la douleur, mais chacun en souffre à un moment ou à un autre. Pour certains, la situation est une source permanente de tension et de frustration ; d’autres l’intériorisent et l’acceptent mieux. Le vécu est variable, en fonction de leur tempérament, en fonction aussi de la pénibilité du second métier qu’ils exercent, mais il n’est jamais pleinement serein. Il me semble qu’aux yeux du public c’est une réalité très peu connue. On ne parle du second métier d’un écrivain que lorsqu’il est exotique : Yves Bichet est l’écrivain maçon, André Bucher l’écrivain agriculteur, comme Jean Rouaud fut l’écrivain kiosquier lorsqu’il a publié son premier roman. Mais cette réalité du second métier des écrivains n’est jamais posée comme un problème social spécifique, alors même que cela touche une écrasante majorité d’entre eux et que c’est un phénomène historique vieux de plusieurs siècles.
Télérama : Vous parvenez à dégager une sorte de portrait-robot de l’écrivain : un homme, issu des catégories sociales élevées, diplômé…
Bernard Lahire :
Ces tendances sont même beaucoup plus fortes que je ne l’imaginais avant de commencer l’enquête. Je pensais trouver, parmi ces écrivains, des origines sociales très disparates, des niveaux de diplôme variés. Finalement, tout en ayant choisi d’ouvrir le plus largement possible la population auprès de laquelle a été menée l’enquête (2), on se rend compte que 71 % des écrivains ont un niveau d’études supérieur ou égal à bac + 2 – c’est une surreprésentation massive par rapport à la proportion nationale, qui est de 17 %. Ce qui est assez incroyable, c’est qu’il n’y a pas de condition d’entrée dans le jeu littéraire, pas de diplôme exigé. On assiste donc à un phénomène d’autocensure : des personnes moins diplômées ne s’autorisent pas à écrire et à publier.
Télérama : Est-ce parce que les personnes diplômées ont une plus grande habitude de l’écrit ?
Bernard Lahire :
Ce qu’apporte l’école, c’est non seulement des compétences à lire et à écrire, mais aussi la possibilité de s’autoriser à penser qu’on peut le faire – une estime de soi et une assurance sociale qui permettent de se dire : pourquoi pas moi ? 
Autre tendance forte : les écrivains ont une position sociale personnelle assez élevée. Ainsi, 64 % d’entre eux exercent, en guise de second métier, une profession qui les rattache à la catégorie des cadres et professions intellectuelles supérieures. Enfin, on constate effectivement une surreprésentation des hommes – et cette dernière s’accentue lorsqu’on monte dans l’échelle de la légitimité. Il suffit, pour s’en convaincre, de regarder les listes des lauréats de prix littéraires importants, sur lesquelles les femmes sont très minoritaires. Cela parce que ces dernières, les témoignages sont probants dans le livre, ont notamment plus de difficultés à ménager du temps pour elles, à supporter les frustrations et aussi la culpabilité qu’une telle organisation engendre souvent.
Télérama : Justement, existe-t-il un lien entre les conditions d’élaboration d’un texte, et la forme, le contenu de ce texte ?
Bernard Lahire : Oui, cette réflexion est sous-jacente tout au long du livre. De façon très concrète, le manque de temps peut amener un écrivain à privilégier la forme brève, l’écriture fragmentée ou la nouvelle plutôt que le roman. Francis Ponge, par exemple, témoignait du fait que, disposant de peu de temps en dehors de son travail d’employé de bureau aux messageries Hachette, il tentait chez lui le soir de faire d’un objet une description poétique. Mais s’il avait eu davantage de temps, il aurait écrit différemment. Par ailleurs, dans le même ordre d’idées, si la littérature est une transfiguration des expériences vécues par l’écrivain dans le cadre de sa famille, de sa profession, de son milieu social, l’appartenance d’une majorité d’auteurs aux classes sociales supérieures n’est pas sans incidence sur les thèmes dominants de la production littéraire, sur la langue dans laquelle elle s’écrit.  
Télérama : Ceux que vous avez interrogés semblent mal à l’aise par rapport à l’argent et au succès. Certes, ils ne refusent ni l’un ni l’autre, mais ils les redoutent aussi…
Bernard Lahire :
Le cas du romancier de science-fiction Ayerdhal est très intéressant pour comprendre ce point de vue. Il est un des rares à vivre de sa plume. Mais, pour y parvenir, il est contraint de publier un livre à peu près tous les ans, et de le vendre à quelque 10 000 exemplaires. Cette obligation finit par le faire douter de son envie d’écrire. Il en vient même à se demander s’il n’aurait pas dû exercer un second métier, afin de pouvoir vivre l’écriture comme une vocation, une passion, et non comme une obligation. Franz Kafka, lui aussi, dans son journal, doute de l’intérêt qu’il y aurait pour lui à arrêter d’exercer un second métier, parce qu’il sait qu’il n’écrit pas suffisamment pour vivre de ses livres, et qu’il écrit des livres trop singuliers pour espérer de gros tirages.
Télérama : Ce raisonnement ne va-t-il pas à contre-courant d’une société où la valeur des choses se mesure souvent à leur prix ?
Bernard Lahire :
L’idée que la valeur d’une œuvre se mesurerait à l’argent qu’on peut en tirer est très peu présente chez eux. Cela, c’est plutôt une logique de type Audimat : les chaînes de télévision sont fières d’annoncer le nombre de téléspectateurs qui les regardent. Mais pour un écrivain, la quête du succès peut être une source de danger pour la qualité, la singularité de l’œuvre qu’il poursuit. Son souci, c’est plutôt d’être reconnu comme un écrivain dont le travail apporte quelque chose à la littérature. On est dans un univers que Bourdieu définissait comme ayant intérêt au désintéressement : au fond, dans un milieu artistique, le succès entraîne une suspicion. Il y a là comme une économie inversée. Bien sûr, il n’y a pas d’auteur pour dire : je n’aime pas l’argent. Le discours est plutôt : je serais très content si je vendais beaucoup de livres, mais le nombre de lecteurs n’est pas mon souci principal. C’est la reconnaissance qu’ils recherchent avant tout.
Télérama : D’où peut venir la reconnaissance, si elle n’est pas liée à l’argent ?
Bernard Lahire :
Ils cherchent la reconnaissance auprès de personnes capables d’apprécier leurs qualités littéraires : certains critiques aux jugements desquels ils accordent une autorité, ou leurs pairs. La reconnaissance passe aussi par le fait d’intégrer une maison d’édition parisienne ayant accumulé un fort capital de prestige littéraire comme Gallimard, Minuit ou P.O.L. Enfin, il y a les prix littéraires. Un prix peut être décisif pour un auteur, changer sa vie du point de vue économique, créer une dynamique qui permette à ses ventes de franchir un seuil, être l’occasion d’arrêter d’exercer un second métier. En même temps, les auteurs s’en méfient, pensent même que l’obtention d’un prix pourrait les paralyser. C’est un sentiment contradictoire, comme celui éprouvé face à l’argent.
Télérama : Donc, ils aspirent au succès tout en s’en méfiant, ils souffrent de devoir exercer un second métier tout en y voyant une condition de liberté… Ils sont au cœur d’un nœud de contradictions.
Bernard Lahire :
Absolument. Ils ne refusent pas le succès, tout en s’en protégeant. Et même s’ils assument des aspirations littéraires d’une grande pureté, ils rêvent souvent d’avoir un peu plus d’argent pour disposer de davantage de temps. Car, tout simplement, ils ont une vie concrète, matérielle, et le désir légitime que cette vie ne soit pas une épreuve permanente.
 
(1) Bernard Lahire a notamment publié Tableaux de familles, Heurs et malheurs scolaires en milieux populaires (éd. Gallimard/Le Seuil, 1995), La Culture des individus, Dissonances culturelles et distinction de soi (éd. La Découverte, 2004, aujourd’hui disponible en poche chez le même éditeur).
 
(2) L’enquête, menée en 2004 et en 2005, s’appuie sur 503 écrivains, nés ou vivant et travaillant en région Rhône-Alpes, interrogés par le biais d’un questionnaire, et sur des entretiens réalisés avec 40 d’entre eux.  A lireLa Condition littéraire, La double vie des écrivains, éd. La Découverte, 624 p., 25 € (en librairie le 31 août).

Propos recueillis par
Nathalie Crom

Les citations des auteurs insérées dans les photos sont extraites de La Condition littéraire, La double vie des écrivains, de Bernard Lahire, éd. La découverte, 624 p., 25 € (en librairie le 31 août).

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mardi, 17 janvier 2006

Autour des auteurs

Une association des écrivains et traducteurs du Languedoc-Roussillon, voir ici

lundi, 16 janvier 2006

Ca plane

Un site consacré à la S.F. à découvrir ici

mercredi, 28 décembre 2005

Un nouveau service aux étudiants

Pour acheter et vendre des livres, c'est ici

mercredi, 14 septembre 2005

Musique : dernier appel !

Musique : bulletin d'inscription

EXPOSITION du 27 au 30 Octobre 2005
ESPACE JEAN TEISSIER Rue Général Berthézène VENDARGUES

BULLETIN d’INSCRIPTION


Cette exposition consiste donc à réaliser une œuvre en DUO sur le thème très large de la MUSIQUE.
Un peintre ou un photographe, un sculpteur ou un dessinateur s’associe avec
un écrivain pour créer un travail sur ce thème.
Le but est de croiser le texte et l’image à la manière de la revue L’INSTANT du MONDE.
Texte et image peuvent être mêlés sur un même support ou distincts sur deux supports.

Seuls impératifs :
- le FORMAT de 73 cm par 60 cm (30F) sachant que ces dimensions correspondent au support et que l’œuvre peut ne pas prendre tout l’espace. Il n’est pas nécessaire d’encadrer.
Cas particulier pour les sculpteurs….
- NOIR & BLANC : les réalisations doivent être en noir & blanc.
- Le texte doit être court et inédit, maximum 2000 signes espaces compris.

Contact Ecrivains : Raymond ALCOVÈRE 06 87 21 09 41 raymond.alcovere@neuf.fr
Contact Peintres & Organisation : Frédérique AZAÏS 04 67 87 54 56 / 06 87 27 62 91

Pour vous inscrire :

- vous êtes déjà en « DUO » : vous envoyez votre bulletin d’inscription commun
- vous êtes en attente « de l’autre » en ce cas, à réception de votre inscription,
nous vous mettrons en relation et le travail commun pourra commencer.
- une participation de 12€ par personne est demandée (frais imprimerie et vernissage)

DEPÔT des œuvres : Mercredi 26 Octobre de 18h à 20h
VERNISSAGE : Vendredi 28 Octobre 19h (des invitations vous seront envoyées)
RETRAIT des œuvres : Dimanche 30 Octobre 18h/19h
Le soir du vernissage les écrivains seront invités à dédicacer leurs livres.


NOM : Prénom : PEINTRE /PHOTOGRAPHE/SCULPTEUR

ADRESSE / TÉLÉPHONE / e-mail :



NOM : Prénom :
ECRIVAIN

ADRESSE / TÉLÉPHONE / e-mail :




Joindre un chèque de 12€ à l’ordre de Présence des Arts
1 enveloppe format A5 timbrée à 1,92€ + 1 enveloppe à 0,53€
1 mini CV/ bibliographie/photos de votre travail habituel

ADRESSE : Présence des Arts Place de la Mairie Maison Serre 34 740 VENDARGUES
INSCRIPTIONS OUVERTES du 1ER JUILLET au 15 SEPTEMBRE 2005.

Contact : raymond.alcovere@neuf.fr