jeudi, 29 avril 2021
La conversation : Larochefoucauld
12:40 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : larochefoucauld
samedi, 06 mars 2021
à lever les yeux

20:29 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dostoïevski
mercredi, 03 février 2021
Ulysse

21:15 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : james joyce
samedi, 02 janvier 2021
« Et nous avons des nuits plus belles que vos jours » Lettre XIV de Jean Racine à M. Vitart du 17 janvier 1662
21:23 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : racine
lundi, 21 décembre 2020
Mieux mesurer l'épaisseur de l'ombre
17:57 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : william faulkner
mercredi, 09 décembre 2020
Ecrire
"Il faut être plus fort que soi pour aborder l'écriture, il faut être plus fort que ce qu'on écrit."
M. Duras, Écrire
22:47 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marguerite duras
Navigation

16:28 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : herman melville
lundi, 23 novembre 2020
Ces points magnétiques du monde

16:57 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : henri bosco
lundi, 16 novembre 2020
Nostalgique et précis à la fois

09:10 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : françoise sagan
samedi, 14 novembre 2020
Journal de Kafka
"Quand je dis quelque chose, cette chose perd immédiatement et définitivement son importance, quand je la note, elle la perd aussi, mais en gagne parfois une autre." 3 juillet 1913
« Il est parfaitement concevable que la splendeur de la vie se tienne prête à côté de chaque être et toujours dans sa plénitude, mais qu’elle soit voilée, enfouie dans les profondeurs, invisible, lointaine. Elle est pourtant là, ni hostile, ni malveillante, ni sourde, qu’on l’invoque par le mot juste, par son nom juste, et elle vient. C’est là l’essence de la magie, qui ne crée pas, mais invoque. » 18 octobre 1921
09:31 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kafka
mardi, 01 septembre 2020
C’est calme ! C’est calme !

18:36 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : gustave flaubert
jeudi, 20 août 2020
Ô bizarre suite d’événements

10:18 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : beaumarchais
mardi, 11 août 2020
Intuition

11:03 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : victor hugo, intuition, darusz climczack
Mon corps

10:59 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : roland barthes, corps
samedi, 08 août 2020
Le pays apparut

12:59 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : homère, baricco sakamoto
vendredi, 07 août 2020
Cela se voit

21:23 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean giono, sergio sberna
mercredi, 22 juillet 2020
Miroir

16:42 Publié dans Grands textes, illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rainer czerwonka, zhuangzi
samedi, 18 juillet 2020
Qui est vivant ?

20:29 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : van gogh, yannick haenel
mardi, 09 juin 2020
Les Saules

22:15 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : algernon blackwood
samedi, 06 juin 2020
Infinie patience des fenêtres
Infinie patience des fenêtres, jamais fatiguées d'ouvrir à nos regards absents des matins sans cesse renouvelés, des soirs chargés de parfums, des journées entières avec vue sur la mer et souvenirs d'enfance. Heureux celui qui sait, par une fenêtre large ouverte sur rien du tout, découvrir la vie, sentir soudain frissonner la peau du monde ; il peut sans frayeur aucune s'élancer dans l'air : déjà il vole, oiseau léger ! Car les fenêtres conduisent très loin au-delà des déserts quotidiens, pour peu que l'on veuille emprunter leurs chemins tranquilles, embrasser l'immense horizon de leur œil inattendu. Fenêtres : perpétuelle apothéose du printemps !
Pierre Autin-Grenier, extrait des "Radis bleus".
Bonnard, 1913
09:06 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre autin-grenier, bonnard