Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 16 mars 2009

Down by the river

neil-young-120.jpgCelle-ci n'est pas mal non plus, avec Crosby (déchaîné), Stills (duo de guitares avec Young) et Nash aux claviers, sage :1969

The needle and the damage done

I've seen the needle and the damage done

A little part of it in everyone...

20:47 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : neil young

Chaque gorgée est un mensonge

Les deux "o" de Porto gouleyent au fond de la bouteille noire. Porto, ça roule au fond d'un golfe sombre, avec un port de tête altier de gentilhombre. De la noblesse cléricale, austère, et cependant galonnée d'or. Mais dans le verre, il reste seulement l'idée du noir. Plus grenat que rubis, c'est de la lave douce où donnent des histoires de couteau, des soleils de vengeance, et des menaces de couvent sous le fil du poignard. Oui, toute cette violence, mais endormie par le cérémonial du petit verre, par la sagesse des gorgées timides. Du soleil cuit, des éclats assourdis. Une saveur perverse de fruit mat où se seraient noyés les débordements, les brillances. A chaque lampée, on laisse le porto remonter vers une source chaude. C'est un plaisir à l'envers, qui s'épanouit à contretemps, quand la sobriété se fait sournoise. A chaque coup de langue en rouge et noir monte plus fort le lourd velours. Chaque gorgée est un mensonge.

Philippe Delerm, La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules.

dimanche, 15 mars 2009

Like a Hurricane

Neil Young, live in Berlin 1982

Ce jeudi à Grenoble

crbst_0906.jpgJacki Maréchal
E X P O S I T I O N
Jeudi 19 mars 2009 à partir de 18h30

e s p a c e    A U R R A N

39, rue de Vizille
GRENOBLE

06 16 26 07 58

Voir ici les oeuvres


aller vers ce que j'appelle le Paradis terrestre

53331_1210009972.jpg"J'ai écrit des récits. Le récit m'est indispensable pour atteindre indirectement à la poésie. C'est la poésie que je cherche, c'est-à-dire la création de fictions, tirées du plus profond de l'âme et dont la vie fictive, observée, analysée avec soin, me permette d'étudier et de connaître cette âme elle-même, par cette sorte de reflet.
Or pour que ces reflets soient bien vivants, pour qu'ils s'animent, il faut mettre l'âme en présence de ces points magnétiques du monde qui, par leurs radiations, excitent le plus intensément les puissances intérieures : la terre, les bêtes, le vent, l'eau, le feu, l'air, certaines créatures privilégiées, intermédiaires étranges entre nous et l'inconnu.
C'est la quête des secrets. Or que nous laissent supposer ces secrets multiples, sinon que tout se tient, que tout voit, que tout communique, que tout a un sens, et qu'on erre à ne pas croire en cette unité de la vie ; bien plus que vie et mort sont deux branches d'un même tronc, et que finalement tout aboutit à l'unité de l'être, qui, lui-même, fondu dans le non-être, est mystérieusement contenu par Dieu. Tout mythe poétique est un mythe religieux.
Chercher à travers ces secrets, découvrir les communications invisibles au commun c'est aller vers ce que j'appelle le Paradis terrestre
."

Henri Bosco - Lettre à Jean Steinmann, Pentecôte 1948, in "Jean Steinmann, Littérature d'hier et aujourd'hui" - Desclée de Brouwer, 1963.

Felix Valloton, Maisons et roseaux

samedi, 14 mars 2009

Un lecture du Sourire de Cézanne, par Christian Cottet-Emard

Le sourire de Cézanne, Raymond Alcovère, roman, éditions n&b, 2007, 105 p.

Je n’ai jamais rencontré Raymond Alcovère mais la lecture de ses nouvelles, publiées dans la revue Salmigondis, et la fréquentation quotidienne de son blog (http://raymondalcovere.hautetfort.com) m’ont rapidement révélé l’évidence d’une nouvelle découverte littéraire, confirmée par la toute récente publication de son deuxième roman, Le sourire de Cézanne, par le même éditeur qui avait publié le premier, intitulé Fugue baroque, Prix 1998 de la Ville de Balma.

Sur la trame d’un amour entre Gaétan, étudiant de vingt ans, et Léonore, quarante ans, en pleine rupture sentimentale, le texte se déploie en une riche variation sur les thèmes de la peinture, du regard, avec en filigrane la question de la maladie d’Alzheimer dont est atteint le père de Léonore. La rencontre en mer de ces deux êtres à la recherche d’un nouvel élan aurait pu se limiter à une banale aventure s’ils n’étaient tous deux portés par une intense soif de beauté et de liberté qui ne peut s’épanouir que dans le dialogue permanent entre l’art et la vie.
Dans cette nouvelle traversée, Léonore tente de renaître dans l’écriture d’un livre sur les peintres et par l’appétit de vivre de son jeune allié, arrivé lui aussi à un carrefour de son existence. Gaétan et Léonore sont à l’heure du choix : l’oubli d’eux-mêmes, dans la futilité pour Gaétan et dans les deuils pour Léonore, ou le consentement à une nouvelle présence au monde. Pour avancer dans ce choix, il leur faudra savoir rester attentifs aux signes des forces de vie nées d’un regard d’artiste ou de l’ultime sourire d’un père.
À ce premier niveau de lecture, les fervents de la dimension romanesque seront déjà comblés. Mais l’art de Raymond Alcovère (qu’on pourrait, je le dis au passage, qualifier de coloriste dans sa merveilleuse manière de décrire les ciels) saura aussi les entraîner beaucoup plus loin, par la grâce d’une écriture harmonieuse, épurée, au rythme élégant et soutenu.
C’est cette fluidité de style qui permet à Raymond Alcovère de développer, en contrepoint, ses variations sur un thème qui lui est cher, la peinture, en particulier celle de Cézanne cité en ouverture : « Pourquoi divisons-nous le monde ? », interrogation cruciale pour Léonore et Gaétan dans leur aspiration à un accord sinon parfait mais pacifié, tant dans la dimension intime de leur amour que dans celle de leur environnement extérieur.
Cette quête d’unité dans un rapport harmonieux au monde qui réunit Léonore et Gaétan, Raymond Alcovère la suggère en évoquant ses peintres préférés par petites touches ponctuant le récit de courtes parenthèses d’une subtile érudition. Le lecteur se retrouve ainsi plongé en quelques notations en apparence improvisées dans l’univers de Cézanne mais aussi de Gréco, Vélasquez, Rembrandt, Caravage, Rubens, Delacroix, Picasso, Titien, Poussin, Miro, Zao Wou Ki...
Raymond Alcovère sait si bien partager son amour de la peinture qu’on pourrait conseiller la lecture de son roman à qui veut s’initier à l’approche esthétique des grands artistes, seuls capables de modifier notre regard sur nous-mêmes et sur le monde.
L’alliance du romanesque et du commentaire artistique éclairé fait en tous cas de cette belle histoire d’amour qu’est Le sourire de Cézanne une oeuvre d’une grande fraîcheur et d’une vitalité communicative, qualités littéraires aujourd’hui assez rares pour être soulignées.

Christian Cottet-Emard, 16 juin 2007

vendredi, 13 mars 2009

Violence

medium_ESPGNE_PICASSO_la_femme_qui_pleure_19371946.jpgDes jeunes gens encagoulés pénètrent dans un lycée à Gagny. Ils cherchent quelqu’un qu’ils vont sérieusement tabasser et blesser. C’est une danse misérable avec barres de fer et couteaux. Le lendemain, en Allemagne, un jeune homme de 17 ans entre dans un collège et commence à tirer au pistolet, tuant, avant d’être abattu par la police, une quinzaine de personnes. Si ces phénomènes, notamment le dernier, se passaient aux Etats-Unis, cela nous paraîtrait presque banal. Mais la violence qui commence à éclater dans la société notamment à l’école tendrait à prouver que c’est le système social tout entier qui est touché en profondeur. On nous parle tous les jours, en temps de crise, du malaise de la jeunesse, de son sentiment de n’avoir désormais aucun avenir, et par la même occasion, on sait bien que l’organisation de la répression et de la résignation est mal cachée par les bonnes paroles ou les pseudo-effets d’annonces contradictoires de tel ou tel ministre. Je suis jeune, j’ai l’impression que tout est bloqué pour moi, je ne crois plus un mot de ce qu’on me raconte, je sens autour de moi une atmosphère empoisonnée de conformisme et de bêtise, mon existence n’a plus aucun sens, et surtout pas celle que les différents pouvoirs prétendent lui donner. Remède radical : les Mémoires de Claude Lanzmann, sous le titre le Lièvre de Patagonie. Ce livre, qui décrit une grande vie, est d’abord un chef-d’œuvre littéraire. Au contraire de tout ce qui se passe aujourd’hui, Lanzmann écrit : «J’aime la vie à la folie, cent vies ne me lasseraient pas.»

Philippe Sollers, Libération du 12 mars 2009

Picasso, La femme qui pleure

00:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : sollers, picasso, violence

jeudi, 12 mars 2009

« ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît »

NR835~Ingrid-Bergman-par-Andy-Warhol-Affiches.jpgLe spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L'attitude qu'il exige par principe est cette acceptation passive qu'il a déjà en fait obtenue par sa manière d'apparaître sans réplique, par son monopole de l'apparence.
Guy Debord, (1967) La Société du spectacle  

mercredi, 11 mars 2009

John, for ever

1968, à voir et écouter ici

19:57 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : 1968, revolution, beatles

Taureau, bête du vent

279570676.jpg"En Camargue le vent est ivre. Il trépigne, il tournoie, il perd la tête. Nul obstacle aux dévastations: une terre nue, des eaux pâles et, à l'horizon, toute moutonnante, la mer arrive du large en se hérissant. Tout se plie à la loi du vent: les eaux, le végétal, l'homme, les bêtes. Et la plus puissante de toutes prend à la brise âpre son impétueuse fureur. Là, règne le taureau, bête du vent !"

Henri Bosco, Malicroix

Nicolas de Staël - La route d'Uzès

mardi, 10 mars 2009

Michel Arbatz samedi 14 mars salle Rabelais à Montpellier

az.jpgOn a découvert Michel Arbatz dans les années 90 avec son disque consacré à Robert Desnos, auquel Télérama attribua ses ffff. Depuis, il a multiplié les expériences de théâtre musical et produit de nombreux spectacles et albums de chanson.

Son style : Jongleur de mots, funambule du sens, Raymond Devos de la chanson selon certains.

Sur scène, il est accompagné selon diverses formules par des musiciens virtuoses qui empruntent au jazz sa grande liberté d’improvisation, et citent sans complexe java, flamenco ou rythmes maghrébins.

Samedi 14 mars à 21 H salle Rabelais à Montpellier, résa au 04 67 63 60 30 ou :

lamaison2lachanson@gmail.com

Michel Arbatz
chant, textes, guitare, bandonéon, oud, percussions

Olivier Roman Garcia
Guitares, mandoline, sanzas, percussions

Guetteur de la mûrisserie : Philippe Goudard

Régie : Charlie Thicot

az_photo.jpg

 

"Je suis un glose-trotter qui essaie de comprendre le monde. Pas facile : chaque jour, il me  faut tout reprendre de A à Z. Voilà le titre : de A à Z.
Voici donc venir un nouveau spectacle, avec une quinzaine de chansons, poésongs, et sketches originaux. et je me suis enfermé pour pondre cette heure de music-hall.
Je ne savais pas d’avance ce qui allait sortir de ma tête, de mes doigts, et de la scène. Effrayant, n’est-ce pas ?
Bien sûr, je savais quand même deux ou trois choses : mon amour des mots, mon amour des oiseaux, des abeilles et des femmes (les hommes aussi, vous fâchez pas), des poètes, des guitares, et de mon Orient prénatal. Je pratique toujours l’escroquerie instrumentale  (bandonéon, oud et percussions), je clame, je brâme, je slamme parfois et… je rame, aussi, beaucoup.

Je sais aussi que je serai sur scène avec un guitariste qui n’a pas froid aux doigts, Olivier Roman Garcia, un jeune fou échappé d’Alcatraz entre Pat Metheny et le flamenco. Et qu’on aime tous les deux la légèreté, car il faut être très léger, en ces temps de lourdeur, si on veut chanter plus pour rêver plus. Je vous envoie quelques textes. Bons baisers de Sibérie »

Michel Arbatz

Plus d'infos ici

lundi, 09 mars 2009

Prélude à la délivrance (5)

DSCN3815.JPGL'impossibilité à vivre en dehors des critères de la valeur d'échange, et même à concevoir sa vie en dehors du marché, mène au malheur le plus boursouflant, ainsi qu'à l'atermoiement le plus boueux. Ni le confort, ni l'argent, ni même le pouvoir ne sont capables de combler les inconsolés du nihilisme. Rien ne compense l'inaccès à la poésie, même par l'abjection qui la condamne. Les inconsolés du nihilisme se sentent abandonnés, quand c'est eux-mêmes qui se sont abandonnés en recherchant ce qui précisément, ne les comble pas : l'argent, le confort et le pouvoir ; et en se détournant de cette jouissance poétique pourtant disponible à chaque instant, et qui fait signe, là, à portée de main, dans ce petit écart scintillant qui sépare chacun de son propre salut. Le sentiment d'être berné pousse en dernier ressort les plus amochés à se venger autant qu'à désirer avidement leur sanction.

Photo de Lionel André, la forêt des Carroz,mars 2009

Voir ici son blog, le texte vient aussi de son blog et du livre suivant :

41RWxvdxEgL__SS500_.jpgYannick Haenel, François Meyronnnis, Prélude à la délivrance, Gallimard 2009, collection L'Infini


dimanche, 08 mars 2009

Plus fort que Séguéla !

Dans la série des parodies de Séguéla-la-Rolex, celle-ci: "Si à 33 ans on n'a pas marché sur l'eau, on a quand même raté sa vie !"

Trouvé ici

21:04 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour, séguéla, rolex

samedi, 07 mars 2009

Prélude à la délivrance (4)

ErosPsycheAntonioCanova.jpg"Il y a ainsi des surgissements de poésie dans de brefs instants de musique, dans des gestes, des détails de peinture, des fragments d'architecture, des séquences furtives de cinéma. Ils agissent au vol, dans la rencontre. L'art existe par épiphanies. Et chacun évolue avec sa provision d'éclairs, de mémoires de jouissances. (...) L'épiphanie, on peut la trouver dans la vie. Il peut y avoir des gestes passionnants dans la rue, des situations brusquement ouvertes, des inflexions de lumière qui traversent le corps d'une passante. Pour reprendre les mots qu'Ezra Pound appliquait au paradis, l'art existe en "fragments inattendus". Il relève du coup de foudre."

Yannick Haenel, François Meyronnnis, Prélude à la délivrance, Gallimard 2009, collection L'Infini

Canova, Eros et Psyché, fragment

mercredi, 04 mars 2009

Et maintenant...

Tempesta.jpgEt maintenant, je fondais mes rêves dans le bleu délavé de l’horizon, l’amas désordonné des nuages et ce bateau qui filait au milieu de tous ces cataclysmes. La pluie au loin traçait un rideau épais, en grandes orgues joufflues gonflées de nuit. Une trépidation de lames. Le ciel, une lutte, un amas de lances, un combat fratricide. Une symphonie du nouveau monde. Même si c’est vers l’ancien que je me dirigeais. Terrifiante cette immensité sauvage, encore plus que la Sierra, ces vagues dans le désordre de la nuit, remous effrayants, terrifiante et rassurante à la fois avec le bruit continu du bateau, les odeurs de machines, ce bloc de métal monstrueux, fumant et rugissant, traçant son sillon imperturbable à travers les flots déchaînés. Plaisir redoublé par le sentiment de sécurité, sur ce bâtiment sourd aux hurlements de la tempête. Rêvant que mon âme soit pareille, un bloc insubmersible. Tout ce chemin parcouru en si peu de temps. Comme au Mexique, malgré ou à cause de l’absurdité du lieu, je me sentais à ma place, au cœur de cette rhapsodie bleu nuit de la pluie et du vent.

Raymond Alcovère, extrait de "Le Bonheur est un drôle de serpent", roman en recherche d'éditeur

Et maintenant, une pause de quelques jours, à bientôt...

mardi, 03 mars 2009

Marché de l'art du 8 mars 2009 au Mas de Calage (Saint-Aunès)

1324969781.jpgJ'y dédicacerai mes romans de 12 à 18 H

Dimanche 8 mars, Mas de Calage, sortie Montpellier Est, devant le Zénith, faire 1,5 km, tourner à gauche avant le pont de l'autoroute

Chemin du Mas de Calage - 34130 - Saint-Aunès  Tél : 04 67 29 54 67

De 10 h à 18 H

Avec également des ateliers d'analyse sensorielle des vins organisés par Isabelle Willis, propriétaire du Mas

Marché de l'art, avec de très nombreux artistes plasticiens :

  • Jean-Luc ARCELLI sculpture/peinture Viols le Fort
  • Frédérique AZAÏS-FERRI peinture/sculpture Vendargues
  • Emilie BARNAUD peinture/graffiti Isle sur Sorgues
  • Muriel CAYET peintre coloriste Mareuil (Cher)
  • Gisèle CAZILHAC peinture Montpellier
  • Marie-Claude CHAMPAGNAT sculpture Sète
  • Claire-Lise CHAUVIN mosaïste Sommières
  • Marion de LA FONTAINE sculpture Pignan
  • Isabelle DUBUIS peinture animalière fantaisiste Ardèche
  • Claudine DUMUR céramique raku/sculpture St Drézéry
  • Lydie FOLIOT peinture/sculpture Pignan
  • Dominique FOUQUART peintre coloriste Les Taillades (84)
  • Corinne GRIMA peinture Pérols
  • Béatrix HANSEMANN peinture St Jean de Fos
  • ISALES peinture St Georges d’Orques
  • Yann JOST sculpture / peinture Lodève
  • Françoise JULIEN R. peinture Montpellier
  • Véro LHOMMET mosaïste/plasticienne Villeneuve lès Maguelonne
  • Cécilia MAK peinture/dessin Sète
  • MALY mosaïste Montpellier
  • Marjolaine MAYRAN peinture/sculpture Lansargues
  • MIJA peinture St Géniès des Mourgues
  • PETIT Jean-Guillaume, peinture
  • Patrick PLANCHON sculpteur métal Colognac
  • Catherine POTRON peinture/sculpture/céramique Joyeuse (07)
  • Sofi SURJUS peinture Pérols
  • Lili VIALACRES céramique Montpellier
  • VIDAL DE RUEDA,peinture
  • Jean-Michel VINCENT eaux-fortes Nîmes
  • Bénédicte WATINE ELOY peinture Castelnau-le Lez Enseignante d’Arts Plastiques
  • Sébastien WOZNICA arborisculpteur St Georges d’Orques

Contact : Association Vent d'art 06 87 27 62 91, voir ici le dossier de presse complet

Peinture de Jean-Guillaume Petit :

09177m.jpg

lundi, 02 mars 2009

Bataille et Lautréamont

bataille2.jpg« Tout au long du XXe siècle, des écrivains ont mis leurs phrases à l’épreuve des Chants et des Poésies : Jarry, Tzara, Aragon et Breton, Ponge, Sollers, Debord. A chaque fois se produit un renversement des perspectives, une avant-garde naît, les coordonnées se redistribuent. »

Yannick Haenel ; lire ici ; en fin de note, voir et entendre Bataille (ici en photo)

samedi, 28 février 2009

Séraphine primé !

Tant mieux ! Voir ici

Jacki Maréchal expose à Grenoble

crbst_0914.jpgJeudi 19 mars 09 à partir de 18h

A l'espace : AURRAN & Associés
39 avenue de Vizille
38000 GRENOBLE

Voir ici