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lundi, 16 janvier 2006

Diminution des postes aux concours de recrutement de l’enseignement secondaire

Un appel à signature ici, sur le portail français des sciences sociales

13:20 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3)

Connaître son défaut dominant

Chacun en a un, qui fait son contrepoids à sa perfection dominante ; et si l’inclination le seconde, il domine en tyran. Que l’on commence donc à lui faire la guerre en la lui déclarant ; et que ce soit par un manifeste. Car s’il est connu, il sera vaincu ; et particulièrement si celui qui l’a le juge aussi grand qu’il paraît aux autres. Pour être maître de soi, il est besoin de réfléchir sur soi. Si une fois cette racine des imperfections est arrachée, l’on viendra à bout de tous les autres.

Balthazar Gracian

Vu de l'étranger

FRANCE - L'esprit Le Pen gagne du terrain ; A lire ici

10:16 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1)

Ca plane

Un site consacré à la S.F. à découvrir ici

dimanche, 15 janvier 2006

1875

medium_cezanne-matkmaal1875.jpg1875 : Rimbaud remet le manuscrit des Illuminations à Verlaine, manuscrit qui va disparaître pendant 10 ans.

Cézanne en 1875

« Peindre d’après nature, ce n’est pas copier l’objectif, écrivait Cézanne, c’est réaliser des sensations. »

Combat spirituel

Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d'hommes

Rimbaud

14:40 Publié dans Papillote | Lien permanent | Commentaires (8)

samedi, 14 janvier 2006

Là où l'apparence constitue justement le salut

Le caractère contre nature de la sagesse se révèle dans son hostilité à l'art : vouloir connaître là où l'apparence constitue justement le salut - quel renversement, quel instinct de néant !

Nietzsche

16:40 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0)

La conscience tranquille

medium_cezanne-mt-st-victoire-vue-des-lauves-1902-06.2.jpg"Je suis retourné aujourd'hui voir ses tableaux; l'ambiance qu'ils créent est unique. Sans en examiner aucun en particulier, quand on se trouve entre les deux salles, on sent leur présence qui se referme sur vous comme une réalité colossale. Comme si ces couleurs vous débarrassaient définitivement de toute incertitude. La conscience tranquille qu'ont ces rouges, ces bleus, leur véracité simple vous éduquent; pourvu que l'on se montre parmi eux parfaitement disponible, on dirait qu'ils font quelque chose pour vous."

(Rainer Maria Rilke, le 13 octobre 1907)

16:10 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (8)

Dans le silence

medium_cezanne-a.jpg« D’autres ont des bustes, des statues : sa grandeur à lui est dans le silence qui n’a cessé de l’entourer ; sa grandeur à lui est de n’avoir ni buste ni statue, ayant taillé le pays tout entier à sa ressemblance, dressé qu’il était contre ses collines, comme on voit le sculpteur, son maillet d’une main et son ciseau de l’autre, faire tomber le marbre à larges pans ».

Ramuz à propos de Cézanne

Autoportrait

09:15 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (3)

Le temps

Le temps est circulaire, laissons le circuler, aller et venir autour de nous, son centre est partout et sa circonférence nulle part, c’est sa force, fluide, imprenable, il avale tout, même l’espace.

08:56 Publié dans Sublime | Lien permanent | Commentaires (0)

Un explorateur-né

Quand j'essaie de m'imaginer le portrait d'un lecteur parfait, cela donne toujours un monstre de courage et de curiosité, et en outre quelque chose de souple, de rusé, de prudent, un aventurier et un explorateur-né.

Nietzsche, Ecce homo

vendredi, 13 janvier 2006

Comme c'est amusant...

Comme c'est amusant, les secrets d'Etat vingt ans après. Comme elles sont détendues, les discussions. Comme tout cela est fun. Comme elle est goûteuse, la liberté de la presse...

A lire ici le toujours excellent Daniel Schneidermann : la veillée mortuaire de Mitterrand 

11:50 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3)

Renaissance

Je crois que nous vivons une période assez analogue à la fin de l’Antiquité et à la Renaissance

Intéressante interview de Michel Serres dans les Carnets de J.L.K. à lire ici

09:30 Publié dans Interview | Lien permanent | Commentaires (2)

Toujours passionnant !

Acrimed, L'observatoire des médias, qui s'intéresse au dessous des cartes.

Dernier article publié : Le journalisme d'imputation : Chavez accusé d'antisémitisme

00:28 Publié dans Info | Lien permanent | Commentaires (0)

Début de biographie de H. K.

Voici les premiers mots de la biographie de Hozan Kebo tel qu'on la trouve dans ce fameux (et historique) "Hors-Série" de Microbe :

Né dans la province d'Hiroshima le 6 août 1945 ("jour éclatant s'il en est" aime-t-il à prédiser). Fuyant sa famille d'ancienne aristocratie, il s'installe en Californie au milieu des années 60. Il se liera d'amiité avec Richard Brautigan ("my trout-brother" comme il l'appelle)...

Extrait de The (ya) Basta of H.K.

Contact

00:10 Publié dans Sublime | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 12 janvier 2006

Dhan Tzing Mo a dit :

medium_klee_paul-flora_on_sand-1927-m.jpgLe samouraï n'effraie pas l'escargot

L'enfant ne craint pas la vieillesse

Le galet a toute confiance dans la vague

Hozan Kebo

(Extrait de : The (ya) Basta of H.K. Hors-série de la revue Microbe)

20:45 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (4)

(Mais les haïkaïs m'alourdissent)

je me sens léger

quand j'écris un poème

de trois vers

Hozan Kebo

(Extrait de : The (ya) Basta of H.K. Hors-série de la revue Microbe)

18:41 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

Jardins tunisiens, Paul Klee

medium_klee.tunisian-gardens.jpgPaul tes couleurs sont des fanaux, des lanternes dans le soir mauve, la cime étoilée des songes. Des cris, des hurlements, alliant l’ombelle au plus noir de la nuit, l’or au soufre, l’obscur à l’éclat.

12:09 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (2)

mercredi, 11 janvier 2006

Paul Klee

  medium_klee_giardino-leggendario.jpgPaul ton œuvre est devant mes yeux. Un repos, une paix de l’âme. Lés immenses, tendus de soleil. Les couleurs crient, répondent, se repoussent, ce dialogue entre elles est notre viatique, nous qui ne savons rien, qu’interroger le silence, à grands traits rageurs, impatients. J’aurais voulu décrire ta palette, son scintillement, comme toi éclairer la nuit. Elle parle de l’innocence, elle remonte loin dans l’histoire. Parfois on y distingue une obscurité de caverne, une profondeur d’ébène, chaude, puis éclate un fraternel printemps.

22:10 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (12)

Lentement...

 Et pour finir : pourquoi devrions-nous dire si fort et avec tant d'ardeur ce que nous sommes, ce que nous voulons ou ne voulons pas ? Considérons-le avec plus de froideur, de distance, d'intelligence, de hauteur, disons-le comme cela peut être dit entre nous, si discrètement que le monde entier ne l'entende pas, que le monde entier ne nous entende pas ! Surtout, disons-le lentement...

Nietzsche, Aurore