mardi, 14 octobre 2025
Sublime Catherine Trottmann
16:52 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : catherine trottmann, haendel
vendredi, 10 octobre 2025
Pas assez

17:16 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : logan zillmer, la rochefoucauld
mercredi, 08 octobre 2025
Nous ne cherchons jamais les choses, mais la recherche des choses

17:18 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pascal, jasper tejano
lundi, 06 octobre 2025
Avec nous les copains ça ne prend pas

09:40 Publié dans Ces Héraultais qui ont fait l'Histoire, Chanson | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges brassens, boby lapointe, ces héraultais qui ont fait l'histoire
lundi, 29 septembre 2025
Rencontres de hasard

18:55 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fernando pessoa
dimanche, 28 septembre 2025
Cévennes, près des cascades de l'Orgon
16:23 Publié dans Paysages | Lien permanent | Commentaires (0)
On était en septembre

09:41 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ray bradbury, mark littlejohn
samedi, 27 septembre 2025
L'étreinte : Josef Kunstmann, 1949
19:43 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : josef kunstmann
mardi, 23 septembre 2025
Le Sourire de Cézanne
Vu aujourd'hui la très belle expo du Musée Granet à Aix-en-Province sur Cézanne. Petit retour en arrière sur mon roman "Le Sourire de Cézanne", paru en 2007. Voici l'article que lui avait consacré Jean-Louis Kuffer.
20:55 Publié dans Le Sourire de Cézanne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le sourire de cézanne, jean-louis kuffer
mardi, 16 septembre 2025
Soyez moins lourds

10:44 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : yves heurté, jérôme liebling
dimanche, 14 septembre 2025
Maigret voyage
Simenon, mais si ! Quel talent quand même ! Une affaire délicate, celle-ci. Elle se passe chez les riches, les ultra-riches comme on dirait aujourd'hui. Et du coup Maigret n'est pas à son aise, ce n'est pas son milieu. Les règles ne sont pas les mêmes, il lui faut prendre des gants, arrondir les angles. Il lui faudra deux jours d'imprégnation, à l'intuition comme d'habitude : il voyage, Monte-Carlo, Lausanne, des palaces évidemment, avant de revenir au point de départ de l'affaire : l'hôtel Georges V. On a droit à sa visite hallucinante en pleine nuit, y compris de l'envers du décor, ce que les clients ne voient pas, de tout le personnel au service de... Maigret "enregistrait tous les détails, machinalement." C'est toujours comme ça qu'il trouve...
11:33 Publié dans Critique, Histoire littéraire, Les oubliés, littérature policière | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges simenon, maigret
dimanche, 07 septembre 2025
Autobiographie des films
"La poésie sauve le monde, même si le monde n’existe plus." Yannick Haenel fait son autobiographie des films sur Pileface Sollers et dans Charlie !
15:59 Publié dans Cinéma, Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : yannick hanel
vendredi, 05 septembre 2025
Et puis, soudain...
Et puis, soudain, Philippe Sollers se confie, l’air de rien, dans L’Éclaircie (p. 165) : « Je ne suis pas un écrivain, je suis beaucoup plus, mais les gens ne me prennent pas au sérieux. Ils me prennent au sérieux comme écrivain (et encore). Tant pis pour eux. »
Image : Philippe Berthet
18:56 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philippe sollers, philippe berthet
jeudi, 04 septembre 2025
Hugo sur Baudelaire

17:44 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : baudelaire, victor hugo
mercredi, 03 septembre 2025
Fusée

20:28 Publié dans écriture | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 30 août 2025
Il était temps

17:28 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : romain gary, morten lasskogen
dimanche, 17 août 2025
Apprentissages

15:50 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : john cowper powys
vendredi, 15 août 2025
Pizzicato
Rome est cette ville hyperbolique dans les goûts, les saveurs, l’hérésie du baroque, balcons joufflus, débordant de clématites, roses thé, murs ocres délavés, défraîchis, crevassés, granuleux, palette chaude de couleurs - carte du tendre - ors, arabesques, extases, élévations, annonciations, effractions, assomptions, anges musiciens, mosaïques, effigies, brocarts, trompe-l’œil, bas reliefs, enjambements, stucs, travertins, bustes, porphyres, rocailles, frontispices, acanthes, treilles, couronnes, guirlandes, entrelacs, tourbillons, gargouilles, néréïdes, tritons, coquillages, naïades, fontaines jaillissantes, murmures de la pierre et de l’eau égrenant la ville en chapelets de plaisirs, glissando, flots de lumière en tranches napolitaines autour des sept collines avec le Tibre aux reflets céladon comme une couleuvre lovée à ses pieds, en veilleur impassible, gardien du temple.
Le baroque, c’est effacer, tordre, pulvériser. Tout art est baroque. On peut regarder le même chef d’œuvre des années après, il aura changé, ou plutôt il nous aura devancé.
Ici tout me ramène à toi, voilà ce que me racontent ces dentelles de pierre, sonates en or mineur, pizzicato, ces rideaux fuchsia, façades ondoyantes de palais, volupté ciselée dans le marbre. L’intérieur vaut l’extérieur, la vie sinue entre les deux, dissimulée dans les plis du temps.
Dans les Caves du Vatican, cette antre d’Ali Baba, l’éternité se dessine sous nos yeux ; perdus dans un dédale somptueux, immergés dans le plafond de la Sixtine et les Stanze de Raphaël, la peinture est la chair du monde.
Raymond Alcovère, extrait de "Le Bonheur est un drôle de serpent", roman, 2009, éditions Lucie
09:37 Publié dans Le Bonheur est un drôle de serpent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le bonheur est un drôle de serpent, rome
mardi, 05 août 2025
Le monologue de Novalis
"Il y a quelque chose de drôle, à vrai dire, dans le fait de parler et d'écrire ; une juste conversation est un pur jeu de mots. L'erreur risible et toujours étonnante, c'est que les gens s'imaginent et croient parler en fonction des choses. Mais le propre du langage, à savoir qu'il est tout uniment occupé que de soi-même, tous l'ignorent. C'est pourquoi le langage est un si merveilleux et fécond mystère : que quelqu'un parle tout simplement pour parler, c'est justement alors qu'il exprime les plus originales et les plus magnifiques vérités. Mais qu'il veuille parler de quelque chose de précis, voilà alors le langage et son jeu qui lui font dire les pires absurdités, et les plus ridicules. C'est bien aussi ce qui nourrit la haine que tant de gens sérieux ont du langage. Ils remarquent sa pétulante espièglerie ; mais ce qu'ils ne remarquent pas, c'est que le bavardage négligé est justement le côté infiniment sérieux de la langue. Si seulement on pouvait faire comprendre aux gens qu'il en va, du langage, comme des formules mathématiques : elles constituent un monde en soi, pour elles seules ; elles jouent entre elles exclusivement, n'expriment rien si ce n'est leur propre nature merveilleuse, ce qui justement fait qu'elles sont si expressives, que justement en elles se reflète le jeu étrange des rapports entre les choses. Membres de la nature, c'est par leur liberté qu'elles sont, et c'est seulement par leurs libres mouvements que s'exprime l'âme du monde, en en faisant tout ensemble une mesure délicate et le plan architectural des choses. De même en va-t-il également du langage : seul celui qui a le sentiment profond de la langue, qui la sent dans son application, son délié, son rythme, son esprit musical; - seul celui qui l'entend dans sa nature intérieure et saisit en soi son mouvement intime et subtil pour, d'après lui, commander à sa plume ou à sa langue et les laisser aller : oui, celui-là seul est prophète. Tandis que celui qui en possède bien la science savante, mais manque par contre et de l'oreille et du sentiment requis pour écrire des vérités comme celles-ci, la langue se moquera de lui et il sera la risée des hommes tout comme Cassandre pour les Troyens.
Mais si je pense avoir, par ceci, précisé de la façon la plus claire l'essence même et la fonction de la poésie, je sais aussi que pas un homme ne le saurait comprendre et que, l'ayant voulu dire, j'ai dit quelque chose de tout à fait stupide, d'où toute poésie est exclue. Pourtant s'il a fallu que je parle ? si, pressé de parler par la parole même, j'avais en moi ce signe de l'intervention et de l'action du langage ? et si ma volonté n'avait aucunement voulu ce qu'il a fallu que je dise? Alors il se pourrait bien que ce fût là, à mon insu, de la poésie, et qu'un mystère de la langue eût été rendu intelligible... Et aussi, donc, que je fusse un écrivain de vocation, puisqu'il n'est d'écrivain qu'habité par la langue, puisque l'écrivain né n'est seulement qu'un inspiré du verbe!"
Novalis
19:32 Publié dans Grands textes, illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : novalis
dimanche, 27 juillet 2025
Le temps

15:38 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marcel proust, paul huf