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samedi, 02 mars 2024

Jean-Michel Folon

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vendredi, 01 mars 2024

Dorothy Malone et Humphrey Bogart in "The Big Sleep"

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20:38 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)

Pas sot !

Jean Piaget

20:36 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean piaget

mardi, 27 février 2024

Puzzle

Marc Pautrel« Ton texte est un puzzle, que tu résous lentement, mois après moi, année après année. » : Marc Pautrel

Photo : Klaus Leidorf

lundi, 26 février 2024

Proust en famille

Marcel ProustMarcel Proust, à la droite de sa mère et son jeune frère Robert, à gauche, qui a fait des études de médecine et est devenu chirurgien…

vendredi, 23 février 2024

Ce point final n’en est peut-être pas un

Medusa, from the Lac Rose, Charlotte Lapalus photographer.jpgA près de quarante ans, Léonore voit un mort pour la première fois. Et c’est son père. Il émane une douce lumière de lui. Une certaine qualité de silence enveloppe la pièce. Une présence. Chaude malgré le froid du corps.
Une lueur bleutée, vague et indécise, flotte, presque par inadvertance. Elle embrasse son front glacial, lui parle un peu, effrayée par ce grand silence blanc, puis repart, enveloppée par cette aura.
Elle se remémore les instants de bonheur plutôt que cette longue agonie, qui restera pourtant gravée dans sa mémoire. Son père n’a jamais cessé de la protéger et il le fera toujours. Elle se rappelle son sourire. Elle est régénérée. Depuis des années il était là sans y être et ce point final n’en est peut-être pas un.
Raymond Alcovère, Le Sourire de Cézanne, roman, extrait, N&B éditions, 2007
Photo : Charlotte Lapalus

mardi, 20 février 2024

Angel Nenov

Angel Nenov

16:04 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : angel nenov

Earth laugh in flowers

Emerson, Claude Monet"Les fleurs sont le rire de la Terre."
Ralph Waldo Emerson
(Earth laugh in flowers)
Claude Monet

J'aime

SosekiSans savoir pourquoi, j’aime ce monde où nous venons pour mourir …
Natsume Soseki

15:59 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : soseki

dimanche, 18 février 2024

A notre première rencontre

le bonheur est un drôle de serpent, Erik WitsoeA notre première rencontre au Mexique, j’avais eu l’impression déjà que tout se figeait, on devenait imperméables à tout mouvement. De nouveau, presque palpable, une corde sensible, tendue entre nous, entrait en résonance chaque fois qu’on la frôlait. Et on avait envie de la frôler souvent. Pas trop pour ne pas l’agacer et brouiller son mouvement mais c’était troublant, cette vibration, les abîmes qui se creusaient parfois où s’engouffre le désir, on observait l’attirance grandir, deux aimants cherchant inutilement à se retenir.
Certaines inflexions de voix, des images communes apparaissaient brusquement dans la conversation. Pourtant peu de choses, a priori, nous reliaient. Ces balises, incertaines d’abord, s’allumaient au fur et à mesure comme des harmoniques. Elle hésitait toujours entre l’exubérance et la discrétion. Parfois, elle voulait aller tellement vite vers l’autre qu’elle brûlait les étapes, une question à double sens ou un brin d’ironie la prenait en défaut, elle essayait par tous les moyens de se rétablir, craignant que le monde lui échappe. On est tous comme ça à un moment, avec cette peur que la pièce se joue sans nous, et pourtant elle se joue sans nous.
Le Bonheur est un drôle de serpent, roman, extrait, Raymond Alcovère, Lucie éditions, 2009
Photo : Erik Witsoe

samedi, 17 février 2024

La splendeur de la vie

Kafka"Il est parfaitement concevable que la splendeur de la vie se tienne prête à côté de chaque être et toujours dans sa plénitude, mais qu’elle soit voilée, enfouie dans les profondeurs, invisible, lointaine. Elle est pourtant là, ni hostile, ni malveillante, ni sourde ; - qu’on l’invoque par le mot juste, par son nom juste, et elle vient. C'est là l'essence de la magie, qui ne crée pas, mais invoque."

Franz Kafka, Journal. 18 octobre 1921

19:09 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kafka

Voilà son style

Stendhal, Ernst Haas, Philippe Sollers"Voilà son style, dont il dit lui-même qu'il est "horriblement difficile à imiter, car il n'est qu'une suite de nuances vraies."
Philippe Sollers, à propos de Stendhal, dans "Trésor d'amour"
Photo de Ernst Haas

L'arrivée

vittorio pandolfiVittorio Pandolfi

19:03 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vittorio pandolfi

vendredi, 09 février 2024

Gilbert Cram

gilbert cram

09:54 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gilbert cram

jeudi, 08 février 2024

Le Tintoret

Tintoret

11:52 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tintoret

mardi, 06 février 2024

Résumé des chapitres précédents...

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18:14 Publié dans Papillote | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 04 février 2024

Tous ces instants mis bout à bout

le bonheur est un drôle de serpentParfois, dans les moments de grande émotion, on a l’intuition de ce que deviendra notre vie plus tard. Il y avait la volupté de ses gestes, ses mots. J’essayais d’imaginer la vie avec elle, mais je ne me sentais pas à la hauteur. Pourtant, tous ces instants mis bout à bout devaient constituer un beau brin de bonheur. J’aurais vendu mon âme pour que cette soirée dure encore. Et elle, impassible. Heureusement, son aura, l’échauffement de mon esprit étaient bénéfiques ; les idées se précipitaient. Je les découvrais même avec gourmandise, emporté dans une frénésie qui m’envoûtait et avec laquelle j’essayais de l’envoûter. J’usais de tout ce qui était en mon pouvoir pour l’attirer dans mes filets, ce rêve impossible. Le plus périlleux, oublier sa beauté, me concentrer sur la discussion. Je me sentais comme un noyé qui tente de grands moulinets de bras, seul au milieu de l’eau et personne pour lui porter secours. Edmundo allait et venait entre les tables. Sans se départir de sa placidité, il m’envoya deux ou trois œillades dans le reflet de la glace avant d’aller se coucher. Maigre mais utile viatique.
Et la nuit avançait. Des siècles, des civilisations entières avaient vécu puis disparu depuis le début de la soirée. Avec le même naturel qui flottait dans ses gestes, elle me fit comprendre qu’elle voulait dormir. Son autocar partait tôt le lendemain matin.
Raymond Alcovère, Le Bonheur est un drôle de serpent, roman, extrait, Lucie éditions, 2009

Caravage...

caravage

10:24 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : caravage

samedi, 03 février 2024

Uta von Naumburg, sculptée entre 1243 et 1249 par le maître de Naumbour

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11:21 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0)

Vrai ou faux ?

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09:53 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : oscar wilde