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lundi, 18 mars 2024

Le Saut dans le vide, nouvelle version

le saut dans le videNotre projet de livre d’artiste prend un tour nouveau. Comme vous le savez, nous avions précédemment lancé une édition de notre livre n’ayant malheureusement pas répondu à nos standards de qualité.

Cependant, nous n'avons jamais perdu de vue notre objectif de partager avec vous un produit d'exception. Et c'est avec une immense joie que nous vous annonçons aujourd'hui la préparation d'une réédition luxueuse de notre livre. Cette nouvelle édition sera présentée en grand format et imprimée par un éditeur professionnel sur un papier de qualité supérieure pour un rendu extrêmement qualitatif. Nous sommes certains que cette réédition saura non seulement répondre mais aussi dépasser vos attentes et enrichir la découverte de nos œuvres communes.

le saut dans le vide« Visite l'intérieur de la terre, en rectifiant, tu trouveras la pierre cachée. » L'ancestrale formule alchimique est le sujet, la quête, du "Saut dans le vide." de Raymond Alcovère : Un voyage à travers les spiritualités, de la Chine à la Grèce antique, sur les traces du Philosophe inconnu... D'après des œuvres originales de Claude-Henri Bartoli.

 

L’ouvrage original sera exposé à la brasserie Le Dôme, 2 avenue Clémenceau à Montpellier à partir du 30 avril. Le vendredi 3 mai à 18 H, aura lieu au même endroit une soirée de lancement avec lecture de l’œuvre par l’auteur.

Nous lançons une souscription pour cet ouvrage de 28 pages en format A3 (29 x 42 cm).

Les 50 premiers souscripteurs recevront en cadeau une œuvre originale de Claude-Henri Bartoli, format 21 x 32, technique mixte (acrylique, encre et pastel).
Prix de l’ouvrage : 50 € (+ 10 € de frais d’envois si vous n’habitez pas Montpellier), par chèque ou virement à Raymond Alcovère. Contact :
raymond.alcovere@gmail.com

En vous remerciant de votre patience, Raymond Alcovère et Claude-Henri Bartoli

dimanche, 17 mars 2024

Gerard van Honthorst (1592 – 1656), Jeune femme jouant de la viole de gambe

Gerard van Honthorst

08:26 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gerard van honthorst

vendredi, 15 mars 2024

Le français

Philippe Sollers"L'avantage du français, c'est sa concision et sa commotion. Il n'est pas fait pour communiquer, mais pour dégager, abréger, juger et tuer."
Philippe Sollers (Médium)
Photo : Gabor Dvornik

mercredi, 13 mars 2024

Insomnies

"J'aime les insomnies de trois heures du matin, les plus dures, les plus inquiétantes, les plus éclairantes. C'est tout de suite, en sursaut, le choix entre la vie et la mort. Il faut vite saisir la vie, malgré ses brûlures, car la mort est trop longue et désespérément ennuyeuse. La mort est une condamnation éternelle à l'ennui."
Incipit de l'ultime roman de Philippe Sollers, "La Deuxième Vie"; postface de Julia KristevaFc2S0kxWIAABh1U.jpg

Chuchoter

jean-rené huguenin"Des deux voix qui parlent en vous, écoutez toujours celle qui chuchote".
Jean-René Huguenin (Journal)
Photo : Andria Darius Pancrazi

vendredi, 08 mars 2024

Il était temps !

gabriela manzoniGabriela Manzoni

18:27 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gabriela manzoni

lundi, 04 mars 2024

Falaise près de Dieppe,1882, Claude Monet

Claude Monet

18:18 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : claude monet

dimanche, 03 mars 2024

Nous sommes tout

rêve, Borges, David Galistan« Quand on rêve, la pensée prend des formes dramatiques. C’est ce que disait Dryden. La nuit, lorsque nous rêvons, nous sommes l’acteur, l’auteur, le spectateur et le théâtre. Nous sommes tout. »
Jorge Luis Borges, Conversations à Buenos Aires
Photo : David Galistan

samedi, 02 mars 2024

Jean-Michel Folon

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vendredi, 01 mars 2024

Dorothy Malone et Humphrey Bogart in "The Big Sleep"

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20:38 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)

Pas sot !

Jean Piaget

20:36 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean piaget

mardi, 27 février 2024

Puzzle

Marc Pautrel« Ton texte est un puzzle, que tu résous lentement, mois après moi, année après année. » : Marc Pautrel

Photo : Klaus Leidorf

lundi, 26 février 2024

Proust en famille

Marcel ProustMarcel Proust, à la droite de sa mère et son jeune frère Robert, à gauche, qui a fait des études de médecine et est devenu chirurgien…

vendredi, 23 février 2024

Ce point final n’en est peut-être pas un

Medusa, from the Lac Rose, Charlotte Lapalus photographer.jpgA près de quarante ans, Léonore voit un mort pour la première fois. Et c’est son père. Il émane une douce lumière de lui. Une certaine qualité de silence enveloppe la pièce. Une présence. Chaude malgré le froid du corps.
Une lueur bleutée, vague et indécise, flotte, presque par inadvertance. Elle embrasse son front glacial, lui parle un peu, effrayée par ce grand silence blanc, puis repart, enveloppée par cette aura.
Elle se remémore les instants de bonheur plutôt que cette longue agonie, qui restera pourtant gravée dans sa mémoire. Son père n’a jamais cessé de la protéger et il le fera toujours. Elle se rappelle son sourire. Elle est régénérée. Depuis des années il était là sans y être et ce point final n’en est peut-être pas un.
Raymond Alcovère, Le Sourire de Cézanne, roman, extrait, N&B éditions, 2007
Photo : Charlotte Lapalus

mardi, 20 février 2024

Angel Nenov

Angel Nenov

16:04 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : angel nenov

Earth laugh in flowers

Emerson, Claude Monet"Les fleurs sont le rire de la Terre."
Ralph Waldo Emerson
(Earth laugh in flowers)
Claude Monet

J'aime

SosekiSans savoir pourquoi, j’aime ce monde où nous venons pour mourir …
Natsume Soseki

15:59 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : soseki

dimanche, 18 février 2024

A notre première rencontre

le bonheur est un drôle de serpent, Erik WitsoeA notre première rencontre au Mexique, j’avais eu l’impression déjà que tout se figeait, on devenait imperméables à tout mouvement. De nouveau, presque palpable, une corde sensible, tendue entre nous, entrait en résonance chaque fois qu’on la frôlait. Et on avait envie de la frôler souvent. Pas trop pour ne pas l’agacer et brouiller son mouvement mais c’était troublant, cette vibration, les abîmes qui se creusaient parfois où s’engouffre le désir, on observait l’attirance grandir, deux aimants cherchant inutilement à se retenir.
Certaines inflexions de voix, des images communes apparaissaient brusquement dans la conversation. Pourtant peu de choses, a priori, nous reliaient. Ces balises, incertaines d’abord, s’allumaient au fur et à mesure comme des harmoniques. Elle hésitait toujours entre l’exubérance et la discrétion. Parfois, elle voulait aller tellement vite vers l’autre qu’elle brûlait les étapes, une question à double sens ou un brin d’ironie la prenait en défaut, elle essayait par tous les moyens de se rétablir, craignant que le monde lui échappe. On est tous comme ça à un moment, avec cette peur que la pièce se joue sans nous, et pourtant elle se joue sans nous.
Le Bonheur est un drôle de serpent, roman, extrait, Raymond Alcovère, Lucie éditions, 2009
Photo : Erik Witsoe

samedi, 17 février 2024

La splendeur de la vie

Kafka"Il est parfaitement concevable que la splendeur de la vie se tienne prête à côté de chaque être et toujours dans sa plénitude, mais qu’elle soit voilée, enfouie dans les profondeurs, invisible, lointaine. Elle est pourtant là, ni hostile, ni malveillante, ni sourde ; - qu’on l’invoque par le mot juste, par son nom juste, et elle vient. C'est là l'essence de la magie, qui ne crée pas, mais invoque."

Franz Kafka, Journal. 18 octobre 1921

19:09 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kafka

Voilà son style

Stendhal, Ernst Haas, Philippe Sollers"Voilà son style, dont il dit lui-même qu'il est "horriblement difficile à imiter, car il n'est qu'une suite de nuances vraies."
Philippe Sollers, à propos de Stendhal, dans "Trésor d'amour"
Photo de Ernst Haas