dimanche, 10 avril 2022
La Bastoche, rue de Lappe, années 30, photo de Brassaï
11:09 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, brassaï
Paris, 1928
11:05 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
mardi, 31 juillet 2018
Bouche de Métro, place de la Bastille, Paris 1960
19:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, guimard
samedi, 26 mai 2018
La tour Eiffel d'en dessous
09:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, tour eiffel
lundi, 28 mars 2016
rue Rambuteau vers 1900, à côté de Saint-Eustache
21:40 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
mardi, 15 mars 2016
Paris - Pécheur sur la Seine 1950
19:37 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
vendredi, 11 mars 2016
Denise Bellon, Paris Pont-Neuf 1930
20:31 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : denise bellon, paris
vendredi, 04 mars 2016
Paris 1947, photo Ilse Bing
00:18 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ilse bing, paris
vendredi, 11 septembre 2015
C'était Paris !
20:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
vendredi, 13 février 2009
L'orgie parisienne ou Paris se repeuple
Ô lâches, la voilà ! Dégorgez dans les gares !
Le soleil essuya de ses poumons ardents
Les boulevards qu'un soir comblèrent les Barbares.
Voilà la Cité sainte, assise à l'occident !
Allez ! on préviendra les reflux d'incendie,
Voilà les quais, voilà les boulevards, voilà
Les maisons sur l'azur léger qui s'irradie
Et qu'un soir la rougeur des bombes étoila !
Cachez les palais morts dans des niches de planches !
L'ancien jour effaré rafraîchit vos regards.
Voici le troupeau roux des tordeuses de hanches :
Soyez fous, vous serez drôles, étant hagards !
Tas de chiennes en rut mangeant des cataplasmes,
Le cri des maisons d'or vous réclame. Volez !
Mangez ! Voici la nuit de joie aux profonds spasmes
Qui descend dans la rue. Ô buveurs désolés,
Buvez ! Quand la lumière arrive intense et folle,
Fouillant à vos côtés les luxes ruisselants,
Vous n'allez pas baver, sans geste, sans parole,
Dans vos verres, les yeux perdus aux lointains blancs ?
Avalez, pour la Reine aux fesses cascadantes !
Ecoutez l'action des stupides hoquets
Déchirants ! Ecoutez sauter aux nuits ardentes
Les idiots râleux, vieillards, pantins, laquais !
Ô coeurs de saleté, bouches épouvantables,
Fonctionnez plus fort, bouches de puanteurs !
Un vin pour ces torpeurs ignobles, sur ces tables...
Vos ventres sont fondus de hontes, ô Vainqueurs !
Ouvrez votre narine aux superbes nausées !
Trempez de poisons forts les cordes de vos cous !
Sur vos nuques d'enfants baissant ses mains croisées
Le Poète vous dit : " Ô lâches, soyez fous !
Parce que vous fouillez le ventre de la Femme,
Vous craignez d'elle encore une convulsion
Qui crie, asphyxiant votre nichée infâme
Sur sa poitrine, en une horrible pression.
Syphilitiques, fous, rois, pantins, ventriloques,
Qu'est-ce que ça peut faire à la putain Paris,
Vos âmes et vos corps, vos poisons et vos loques ?
Elle se secouera de vous, hargneux pourris !
Et quand vous serez bas, geignant sur vos entrailles,
Les flancs morts, réclamant votre argent, éperdus,
La rouge courtisane aux seins gros de batailles
Loin de votre stupeur tordra ses poings ardus !
Quand tes pieds ont dansé si fort dans les colères,
Paris ! quand tu reçus tant de coups de couteau,
Quand tu gis, retenant dans tes prunelles claires
Un peu de la bonté du fauve renouveau,
Ô cité douloureuse, ô cité quasi morte,
La tête et les deux seins jetés vers l'Avenir
Ouvrant sur ta pâleur ses milliards de portes,
Cité que le Passé sombre pourrait bénir :
Corps remagnétisé pour les énormes peines,
Tu rebois donc la vie effroyable ! tu sens
Sourdre le flux des vers livides en tes veines,
Et sur ton clair amour rôder les doigts glaçants !
Et ce n'est pas mauvais. Les vers, les vers livides
Ne gêneront pas plus ton souffle de Progrès
Que les Stryx n'éteignaient l'oeil des Cariatides
Où des pleurs d'or astral tombaient des bleus degrés. "
Quoique ce soit affreux de te revoir couverte,
Ainsi ; quoiqu'on n'ait fait jamais d'une cité
Ulcère plus puant à la Nature verte,
Le Poète te dit : " Splendide est ta Beauté ! "
L'orage t'a sacrée suprême poésie ;
L'immense remuement des forces te secourt ;
Ton oeuvre bout, la mort gronde, Cité choisie !
Amasse les strideurs au coeur du clairon sourd.
Le Poète prendra le sanglot des Infâmes,
La haine des Forçats, la clameur des Maudits ;
Et ses rayons d'amour flagelleront les Femmes.
Ses strophes bondiront : Voilà ! voilà ! bandits !
- Société, tout est rétabli : - les orgies
Pleurent leur ancien râle aux anciens lupanars :
Et les gaz en délire, aux murailles rougies,
Flambent sinistrement vers les azurs blafards !
Rimbaud
Delacroix
00:15 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : rimbaud, delacroix, liberté, paris
dimanche, 12 octobre 2008
Paris brûle-t-elle ?
Lire ici la réponse à cette angoissante question !
Bon dimanche !
10:48 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, sexe des mots
lundi, 15 octobre 2007
Frédérique Azaïs, prochaines expos à Paris
Carrousel du Louvre, 27 et 28 octobre, Art Shopping, Stand D7, salle 2
GMAC Bastille, du 30 octobre au 4 novembre, stand 1 ère expo
Galerie 3 F, du 29 octobre au 4 novembre, 38 rue des 3 Frères, Paris 18 è
Contacts : 06 87 27 62 91 / 06 63 57 07 49
http://frederiqueazais.hautetfort.com/
14:27 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Frédérique Azaïs, expos, Paris
jeudi, 28 décembre 2006
Le Grand appartement
Un film joyeux, débridé, qui bouscule pas mal de conventions, ne se prend pas au sérieux, c'est pas si fréquent ! C'est le cas de ce Grand appartement de Pascal Thomas. C'est l'histoire d'un loyer 48 que ses occupants veulent défendre contre la rapacité des propriétaires et des spéculateurs. Sous la légèreté, la fantaisie, la poésie, cette idée pas si absurde défendue par ses occupants : Paris serait-elle ce qu'elle est, si rentable aujourd'hui pour les capitalistes, si elle n'avait hébergé malgré leur pauvreté tous ses poètes et artistes ? A côté de deux grands comédiens, Pierre Arditi et Mathieu Amalric, Laetitia Casta s'en sort plutôt bien ; le film vaut aussi par cette multitude de seconds rôles qui firent jadis le grand cinéma français et ici joliment mis sur le devant de la scène, et qui dressent de Paris un portrait vivant et sympathique.
21:33 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, Le grand appartement, Paris
jeudi, 06 juillet 2006
Paris sous la neige
Photo ; René Jacques
22:21 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : photo, Paris, René Jacques, neige