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dimanche, 26 septembre 2010

Lapsus lingue

Un must, à déguster ici

20:26 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : rachida dati, lapsus

vendredi, 24 septembre 2010

C'est énorme ce qui est en train de se passer...

6a00e5502f71d4883300e550ab8c888834-640wi.jpgA écouter Philippe Sollers, ce soir chez Taddei

http://www.youtube.com/user/pietro68bleu

23:56 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : philippe sollers

dimanche, 19 septembre 2010

Le peintre Robert Lobet ouvre son blog

!cid_0F0A3B21-2A42-4B73-8548-E6BA36E07525@home.jpgEt c'est superbe, ici

Vous voyez là un de ses oeuvres...

22:17 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robert lobet

jeudi, 16 septembre 2010

Paradis

"Paradis : Je l'ai vu à Venise et à Florence. Il y en a donc deux, ce qui constitue une excellente nouvelle, je trouve."

Jean-Pierre Marielle, extrait de son abécédaire, lire ici :

 

Sachez-le !

tuerfume.jpg

19:33 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (2)

samedi, 11 septembre 2010

Appel à textes

!cid_image003_jpg@01CB51B6.jpgNous recherchons des textes courts (1 500 caractères maxi) pour le prochain Magazine en ligne "Autour des auteurs" en Languedoc-Roussillon, sur le thème "Mémoires". Vous
pouvez envoyer vos contributions et propositions, même si vous ne résidez pas en
Languedoc-Roussillon à Françoise Renaud : renaufran@free.fr
Le numéro 19... (et les précédents) sont visibles ici :
http://www.autour-des-auteurs. net/magazine/new_mag.html
 


vendredi, 10 septembre 2010

Désir ! Désir !

"Depuis dix mille ans, j'ai crié dans l'infini : Vérité ! Vérité ! Depuis dix mille ans l'infini me répond : Désir ! Désir !"

George Sand

12:39 Publié dans citation | Lien permanent | Commentaires (1)

mercredi, 08 septembre 2010

Delbar Shahbaz ouvre son site

2_m.jpgUne visite s'impose :

http://www.delbarshahbaz.com/index.htm

 

17:33 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : delbar shahbaz

lundi, 06 septembre 2010

Ca a débuté comme ça

Zorro.jpgPour les amateurs de premières phrases, ce site est une vraie mine :

Quelques exemples :

  • Je vais vous dire mon problème : je ne baise pas assez !
  • Passé huit heures du soir, les héros de roman ne courent pas les rues dans le quartier des Invalides. Antoine Blondin, L'Europe buissonnière
  • L'amour est un acte sans importance, puisqu'on peut le faire indéfiniment. Alfred Jarry, Le Surmâle
  • La bêtise n'est pas mon fort. Paul Valéry, Monsieur Teste

lundi, 30 août 2010

Le sans-pourquoi

" Primo Levi a soif. Une congère s'est formée au bord d'une fenêtre. Il sort du baraquement, veut casser le morceau de glace pour étancher sa soif. Un kapo allemand l'interrompt. " Pourquoi ? " demande Primo Levi. Hier ist kein warum, répond le nazi ( " Ici, il n'y a pas de pourquoi. ").La réponse nazi vaut pour l'ensemble du camp. Le sans-pourquoi est le mot d'ordre d'un monde où aucune autre expérience n'est possible que la dévastation.Mais le sans-pourquoi est aussi, plus secrètement, le nom de ce qui brille dans les ténèbres. Un mystique du XVII° siècle, Angelus Silesius, écrit : " La rose est sans pourquoi, elle fleurit parce qu'elle fleurit. " Aucune causalité ne détermine la floraison de la rose ; elle existe pour rien, et cette libre gratuité coïncide avec la poésie elle-même. Le sans-pourquoi désigne ici le contraire de l'arbitraire nazi ; il est le nom de ce qui résiste à l'emprise. "
Prélude à la délivrance / Yannick Haenel François Meyronnis / L'Infini / Gallimard

samedi, 28 août 2010

Variations

renoir baigneuse.jpg" C'est quand on les saisit par derrière que les seins donnent la sensation d'être le plus grands. Quand on les surprend ainsi et qu'on les presse, on devine leur aspiration, on les sent tirer, tirer en avant, s'échapper, se tendre, saillir. C'est de cette façon seulement, en les prenant par derrière, qu'on les confond et qu'on les devine : car, sans même le vouloir, quand ils sont surpris de face, ils se rétractent un peu, se retirent dans leur coquille, se blottissent... Oh, cette chasse défendue qui consiste à les saisir tout à coup par derrière ! Comme ils s'y livrent, pareils à une femme à qui on met par surprise les deux mains sur les yeux ! Ils croient que c'est l'Idéal qui les saisit ainsi, et ils se dilatent de plaisir. "

Variétés et observations / Seins / Ramon Gomez de la Serna / traduct. Jean Cassou, Valery Larbaud et Mathilde Pomès / Ryôan-ji / André Dimanche Éditeur

Renoir, Baigneuse

mardi, 24 août 2010

Jacki Maréchal expose à Lourmarin

1805463726.jpgVoir ici

dimanche, 15 août 2010

Tiepolo

gesuati_tiepolo2_560.jpgPeu d’artistes, après Michel-Ange, ont été aussi souverains que Tiepolo dans l’art du plafond. C’est son élément, son ciel, son eau, sa vision renversée des corps, des chairs, des tissus, des matières. Chaque touche de pinceau est une note. Vous levez la tête, vous vous tordez le cou, vous le regardez grâce à un miroir dans l’allée centrale, vous recommencez, votre poids est toujours trop lourd, trop terrestre. Tiepolo, c’est du Saint-Esprit dans les cintres, du vent spirituel dans les voiles, les trombes, les effondrements calculés, les spirales, vol plané ou piqué, démonstration que la vie humaine en oiseau est possible. Ça descend vers vous, ça vous oblige à monter. Descente, ascension : c’est le fond de ce que cette religion veut dire.

Tiepolo est un ange, il devrait être depuis longtemps béatifié. Le mot « bienheureux » lui va comme une palette. Des anges, il en faut plein, avec des jambes, des pieds et des bras, pour maintenir la nacelle en navigation, écouter les nuages, varier les teintes, laisser des échancrures montrer des apparitions. Bon prétexte pour glorifier la peau, les soies, les bijoux, les velours, volupté, faste, mouvement et froissement du calme. La Vierge, comme modèle, est renouvelable à volonté, on vient encore d’en voir trois passant sur les quais. Encore une fois, vous êtes au bord de l’eau, vous accostez, vous montez les marches, vous passez la porte de bois massif, vous entrez, vous levez les yeux, le ciel réel vous tombe d’un coup sur la tête.

Philippe Sollers, Dictionnaire amoureux de Venise

samedi, 14 août 2010

Présence de Maître Eckhart

paolo-veronese-saint-michael.jpg« Mon corps est plus dans mon âme que mon âme n’est dans mon corps ».

Maître Eckhart

Paolo Veronese

A lire ici, présence de Maître Eckhart

vendredi, 06 août 2010

C'est bon Banone !

130px-Flag_of_Groland.svg.pngUne fausse pub, absolument délicieuse... Ici

Signé Groland

04:38 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : banone, groland

jeudi, 05 août 2010

Un blog à découvrir : Branloire pérenne, de Frédérick Houdaer, écrivain

portrait.3.jpgA découvrir ici

Y ai trouvé cette citation : “ La lâcheté est presque toujours due à la simple incapacité de suspendre l’activité de son imagination. ”
Hemingway

05:00 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : frédérick houdaer

mardi, 03 août 2010

"Super flics", une série policière africaine

47514_vignette_superflics-affiche.jpgDécouvrez "Super flics", une série policière africaine qui met en scène un duo de policiers plutôt atypiques.

"
Super flics" est une comédie policière qui nous vient tout droit du Burkina Faso. Réalisée par Issa Traoré de Brahima et Aminata Diallo Glez, elle regroupe au fur et à mesure des épisodes des célébrités du théâtre et du cinéma africain.

Tournée à la fois au Burkina Faso et en Côté d'Ivoire, cette série de 32 épisodes produite par
Jovial's Production suit les aventures de Marc et Malika un duo de policiers peu conventionnels qui mènent la vie dure aux criminels...

A voir ici, une douzaine d'épisodes, c'est très drôle...

dimanche, 01 août 2010

Françoise Renaud, écrivain, ouvre son blog : Terrain fragile

IMG_0703.jpgOld Delhi — un monde en soi.
Elle est poussiéreuse. Bourdonnante. Dotée d’un décor fastueux comme toutes les vieilles citadelles de ces provinces. Comment s’y prendre pour la décrire ? Il faudrait être peintre pour restituer cet invraisemblable écheveau de matière qui la constitue entre brique et tournesol. Oui, seul un artiste saurait fixer sur la toile ce qui effraie et fascine en cet endroit : cette étrangeté, cette grâce de l’Inde, captive entre ruines et modernité.

Françoise Renaud, extrait de Old Delhi, à lire sur son tout nouveau blog, ici...

18:57 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1)

samedi, 31 juillet 2010

K-Libre, l'actu de la littérature policière

sarko-et-vanzetti.jpgA voir ici, ce site très bien fait sur la littérature policière, avec notamment, une critique du dernier Poulpe, l'excellent SARKO ET VANZETTI de Sergueï Dounovetz

lundi, 26 juillet 2010

Les Saules

md2045653349.jpg« Cependant le silence qui, à partir de cinq heures, succéda au vacarme était, d’une certaine manière, aussi oppressant. Rien ne venait plus couvrir le mugissement du Danube ; il emplissait l’air de murmures graves, plus musicaux que le bruit du vent, mais infiniment plus monotones. Le vent disposait de plusieurs notes qui montaient, puis descendaient, il jouait toujours une sorte de grand air élémentaire ; alors que le chant du fleuve se jouait au maximum sur trois notes graves, qui étaient par elles-mêmes lugubres. Dans l’état où étaient mes nerfs, ces notes me paraissaient  convenir merveilleusement bien à une sorte de musique du destin ».

Extrait de "Les Saules", la plus longue nouvelle du recueil : "Elève de quatrième dimension.". Algernon Blackwood, né en 1869 est peu connu. Il a pourtant écrit quelques nouvelles fantastiques très réussies, comme celle-ci, ou encore "Le Camp du chien", dans le recueil du même nom. On peut trouver ces textes dans la collection mythique "Présence du fantastique" chez Denoël.