dimanche, 09 février 2014
Question d'équilibre
Henri Cartier-Bresson, 1957
20:02 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : henri cartier-bresson
samedi, 08 février 2014
Accrochez-vous !
18:15 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vertige
En couleur
18:09 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (1)
Il ventait...
16:30 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vent
jeudi, 06 février 2014
Dans le bleu : Hérault du Jour du 6 février 2014
18:30 Publié dans Histoires vraies en Mer Méditerranée | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : histoires vraies en mer méditerranée, hérault du jour
dimanche, 02 février 2014
Certaines nuances d'ordre émotionnel
Quant aux dieux, comment les reconnaître ? Les écrivains ont toujours été, en cela, heureusement sans préjugés. ils ont toujours agi comme s'ils sous-entendaient une observation lumineuse d'Ezra Pound : "Aucune métaphore plus appropriée n'ayant été trouvée pour traduire certaines nuances d'ordre émotionnel, j'affirme que les dieux existent." L'écrivain est celui qui voit ces "nuances d'ordre émotionnel".
Roberto Calasso, La littérature et les dieux
Jan Gossaert, Danaé, 1527
06:13 Publié dans Grands textes, illuminations | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : roberto calasso, jan gossaert, ezra pound
jeudi, 30 janvier 2014
Pour éviter toute révolte
02:32 Publié dans Grands textes, Politique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : aldous huxley
mercredi, 29 janvier 2014
Venise
Venise ne sera jamais tout à fait une ville comme les autres et nous n’en partagerons jamais tout à fait le charme. Sans doute y apportons-nous toujours un peu plus que ce qui nous conduit dans une autre ville ; et cela même nous isole et nous divise. Cette passion singulière qu’exige Venise, n’est jamais assez vraie, n’est jamais assez grande, parce qu’elle est de la finalité d’un voyage ; ce voyage fût-il celui de la vie. Pour s’accorder à Venise il faudrait ne pas venir y chercher ce qui s’y trouve, et sans doute d’abord ne pas trouver ce que l’on y apporte. Venise ne nous propose pas une rencontre mais une séparation ; non pas « une arrivée », mais un départ. Le « charme » de Venise tient aussi pour nous à ce qu’installés dans nos certitudes, dans nos inquiétudes, dans nos passions, nous n’y arriverons jamais. Nous n’y arriverons jamais faute de savoir quitter l’espace et le temps qui nous quittent. C’est me semble-t-il ce dont témoignent, en clichés, cet ensemble de souvenirs poétiques : je ne suis pas amoureux de Venise, je suis amoureux d’une lumière, d’un éclat, d’un départ, je suis « amoureux de l’amour ».
Marcelin Pleynet
18:46 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : venise, marcelin pleynet
mardi, 28 janvier 2014
Tellement d'eau potable
17:46 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 27 janvier 2014
Limbe bibliothèque
"Il y a dans la littérature, une Limbe bibliothèque où se tiennent en rangs sur les étagères des livres qui n’ont pas été écrits. On allait les écrire. Invisibles la plupart du temps ces livres sont pleurés comme des dieux perdus par des lecteurs inconsolables. Le livre que Joyce n’a pas écrit. Le livre que Stendhal avait envie d’écrire. Le dernier livre de Dostoïevski. Ils me manquent. Je vous attends. Vous alliez être. L’aurait-il jamais écrit, Kafka, son livre du saint des saints ? Et Shakespeare était gros d’un seigneur dont le soleil halète parmi les planètes. "
Hélène Cixous
02:52 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hélène cixous
dimanche, 26 janvier 2014
Le monde aujourd'hui
10:41 Publié dans Instantané, Politique | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 24 janvier 2014
Comment écrire une histoire géniale : huit trucs de Kurt Vonnegut

03:21 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kurt vonnegut
Incertain
"Rien ne m'est sûr que la chose incertaine."
François Villon
02:56 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : françois villon
mardi, 21 janvier 2014
Deux ou trois images simples
"Une oeuvre d'homme n'est rien d'autre que ce long cheminement pour retrouver par les détours de l'art les deux ou trois images simples et grandes sur lesquelles le cœur, une première fois, s'est ouvert."
A. Camus - L'envers et l'endroit (Préface)
19:21 Publié dans Grands textes, illuminations | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : albert camus
vendredi, 17 janvier 2014
Ils arrivent...
16:26 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : soucoupe volante
mercredi, 15 janvier 2014
Derrière les volets
19:43 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 14 janvier 2014
Images d'enfance
12:31 Publié dans Illustrateurs | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 12 janvier 2014
Paysage d’hiver - Wang Hui (1632-1717)
14:57 Publié dans Chine, Peinture | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : wang hui
samedi, 11 janvier 2014
Le drame de Mers el-Kébir
Au début du mois de juin 1940, la France est en pleine débâcle. Le gouvernement a été déplacé à Bordeaux : dans quelques jours l’armistice va être signé par le maréchal Pétain. Il reste un point fort à l’armée française, c’est sa flotte, l’une des plus puissantes du monde. Elle devient à ce moment-là un enjeu capital. En effet, tant que les Etats-Unis ne sont pas entrés en guerre, la Royal Navy britannique ne fera pas le poids, si jamais la flotte française passe du côté de l’Allemagne et de l’Italie.
L’amiral Darlan commande alors la Marine française, il est très respecté par les anglais. Churchill qui vient d’accéder au pouvoir, le connaît bien. La loyauté des marins français lui est également acquise. Lors d’une rencontre avec Churchill, il a assuré qu’il ne livrerait jamais ses navires à Hitler. Mais Churchill est inquiet à propos de l’armistice qui va être signé, il n’a aucune confiance dans le nouveau Gouvernement français. Il envoie un émissaire britannique pour supplier Darlan d’ignorer les ordres du gouvernement de Vichy et lui demande d’envoyer la flotte en Grande-Bretagne avant la signature de l’armistice. Darlan le rassure et s’engage de nouveau à ne jamais laisser la flotte tomber aux mains des allemands. Churchill pense à ce moment-là que le départ des navires français vers les ports britanniques est imminent. Or les jours passent et la marine française ne bouge pas...
"Le drame de Mers el-Kébir", début du texte, extrait de Histoires vraies en mer Méditerranée, Papillon rouge éditeur
17:46 Publié dans Histoires vraies en Mer Méditerranée | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoires vraies en mer méditerranée, mers el-kébir
vendredi, 10 janvier 2014
Dans la Gazette de Montpellier du jour
00:26 Publié dans Histoires vraies en Mer Méditerranée | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : histoires de mer en méditerranée