vendredi, 07 mars 2014
Berthe Morisot
Par Edouard Manet
21:54 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : edouard manet, berthe morisot
Le déjeuner dans l'atelier
Edouard Manet, 1868
21:38 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : edouard manet
La lecture
Edouard Manet, 1868
21:33 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : edouard manet
lundi, 03 mars 2014
Surhumain
15:41 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : arthur rimbaud
samedi, 01 mars 2014
Ouvrons un livre...
15:16 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)
Un pas de côté
© Pejac
Viral Photography
#450
15:14 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0)
Américain
"Acheter est américain, penser non."
Andy Warhol
Oh, Jeff...I Love You, Too...' (1964) by Roy Lichtenstein and 'Campbell's Soup I: Black Bean' (1968) by Andy Warhol
15:06 Publié dans Papillote | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : andy warhol
mardi, 25 février 2014
Avec toi
"Je voudrais me promener avec toi, par un jour de printemps, sous un ciel un peu gris, avec quelques feuilles mortes restant encore de l'année précédente et tourbillonnant dans le vent, par les rues d'un faubourg de la ville, et que ce soit un dimanche. Dans ces banlieues jaillissent souvent des pensées mélancoliques et grandioses ; et à certaines heures flotte une sorte de poésie qui fait vibrer ensemble les cœurs de ceux qui se désirent.
En outre, naissent d'indicibles espérances, encouragées par les horizons infinis qu'on découvre au-delà des maisons, par les trains qui s'enfuient, et les nuages qui accourent du grand nord. Nous nous enlacerions simplement les mains et irions d'un pas léger, tenant des discours insensés, stupides et chaleureux. Jusqu'à ce que s'allument les réverbères et que les immeubles délabrés suintent les histoires sinistres de la ville, les aventures, les romances si longtemps attendues.
Alors nous demeurerions silencieux, nous tenant toujours par la main, car les âmes n'ont pas besoin de mots pour se comprendre. "
Dino Buzzati
10:32 Publié dans amour, Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : dino buzzati
dimanche, 23 février 2014
Un paquebot pris en otage
En cette année 1985 et depuis une bonne décennie en Méditerranée, l’attention des gouvernements et des services secrets est focalisée sur la piraterie aérienne. Des mesures de sécurité draconiennes ont été prises dans les aéroports. Mais personne n’avait imaginé qu’une prise d’otage puisse arriver... sur un bateau, et encore moins sur un paquebot ! Jusqu’à ce fameux 7 octobre…
L’Achille Lauro est un superbe bâtiment de 192 mètres de long et 25 mètres de large. Il peut emporter 1 372 passagers et 300 hommes d’équipage. Curieusement, au moment où commence cette histoire, il a déjà un passé chargé.
Extrait de "Histoires vraies en mer Méditerranée". Un paquebot pris en otage, début du texte, Raymond Alcovère, Papillon rouge éditeur.
http://www.papillon-rouge.com/
15:13 Publié dans Histoires vraies en Mer Méditerranée | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoires vraies en mer méditerranée, achille lauro
samedi, 22 février 2014
Vivement l'an 2000 !
22:17 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : an 2000
vendredi, 21 février 2014
Pararchute
« Je conseille aux idées élevées de se munir d'un parachute. »
Francis Picabia
10:17 Publié dans Papillote | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : francis picabia
mercredi, 19 février 2014
Zénith
"Une passion amoureuse atteint son zénith lorsque les amants ont l’impression que tout le monde est contre eux"
Bertrand Russel
Exergue du chapitre 11 de "Rien compris au rock and roll"
Raymond Alcovère, 2011, Clairdeplume34 éditions
Ava
20:57 Publié dans Rien compris au rock and roll | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bertrand russel, ava gardner
mardi, 18 février 2014
Dans son être même
"Il fallait qu’un bâton de chaise fût bien fait. C’était entendu. C’était un primat. Il ne fallait pas qu’il fût bien fait pour le salaire ou moyennant le salaire. Il ne fallait pas qu’il fût bien fait pour le patron ni pour les connaisseurs ni pour les clients du patron. Il fallait qu’il fût bien fait lui-même, en lui-même, pour lui-même, dans son être même."
Charles Péguy
Sur ce thème, on pourra aussi voir cela :
00:56 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : charles péguy
dimanche, 16 février 2014
Les jours sont ronds
«Les jours commencent et finissent dans une heure trouble de la nuit. Ils n’ont pas la forme longue, cette forme des choses qui vont vers des buts : la flèche, la route, la course de l’homme. Ils ont la forme ronde, cette forme des choses éternelles et statiques : le soleil, le monde, Dieu. La civilisation a voulu nous persuader que nous allons vers quelque chose, un but lointain. Nous avons oublié que notre seul but, c’est vivre et que vivre nous le faisons chaque jour et tous les jours et qu’à toutes les heures de la journée nous atteignons notre but véritable si nous vivons. Tous les gens civilisés se représentent le jour comme commençant à l’aube ou un peu après, ou longtemps après, enfin à une heure fixée par le début de leur travail ; qu’il s’allonge à travers leur travail, pendant ce qu’ils appellent « toute la journée » ; puis qu’il finit quand ils ferment les paupières. Ce sont ceux-là qui disent : les jours sont longs. Non, les jours sont ronds.»
Jean Giono
12:14 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jean giono
vendredi, 14 février 2014
La fabuleuse machine d'Anticythère
Le matin du 4 avril 1900, à l’approche de Pâques, la tempête gronde dans les eaux de la Grèce. Des pêcheurs d’éponges venus de Symi, tout près de la Turquie, s’abritent dans la petite île d’Anticythère. Elle est sur le passage de la plupart des bateaux, entre la Crète et le Péloponnèse. Vers midi, une accalmie arrive, le ciel se dégage. Elias Lykopantis enfile alors son scaphandre et plonge aux abords de la côte. Il remonte à la surface le sourire aux lèvres : il a vu, par 62 mètres de fond, des hommes nus et des chevaux ! Pour le prouver, il remonte avec la main d’une statue en bronze. On saura plus tard qu’elle appartient à la statue dite du « Philosophe ». Certaines des plus belles œuvres de l’Antiquité sont aux pieds de ces marins ; sculptures et verres précieux ! Mais pas seulement... Un objet étrange - il ne mesure pas plus de 20 centimètres et n’a pas tout de suite retenu l’attention parmi tous ces trésors - s’avérera être une découverte inestimable. Elle va bouleverser notre connaissance de l’Antiquité.
Extrait de "Histoires vraies en mer Méditerranée". La fabuleuse machine d'Anticythère, début du texte, Raymond Alcovère, Papillon rouge éditeur.
20:01 Publié dans Histoires vraies en Mer Méditerranée | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoires vraies en mer méditerranée, machine d'anticythère
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16:00 Publié dans amour | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 13 février 2014
Toute honte bue...
02:18 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : vin
mardi, 11 février 2014
Anna Marly
Anna MARLY, née Bétoulinsky, en Russie. Artiste renommée dès les années 30, elle compose des centaines de chansons, dont le "chant des partisans", adapté ensuite en français par Joseph Kessel et Maurice Druon. Elle a eu une vie incroyable, riche, mouvementée, engagée...
01:28 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : anna marly, chant des partisans
Rien que leur âme libre
10 février 1898, naissance de Joseph KESSEL, journaliste et grand romancier français qui sut nourrir son œuvre de sa vie aventureuse et héroïque. Profondément engagé dans la Résistance au nazisme, Kessel composera, avec Maurice Druon, les paroles du chant des partisans, hymne de la résistance. Ses romans, en particulier l’Equipage, Belle de jour, l’armée des ombres, Terre de feu, le Lion, connaîtront – et connaissent encore – un immense succès et de nombreuses adaptations au cinéma. La plupart de ses livres sont disponibles aux éditions Folio.
« Ces gens auraient pu se tenir tranquilles. Rien ne les forçait à l’action. La sagesse, le bon sens leur conseillait de manger et de dormir à l’ombre des baïonnettes allemandes et de voir fructifier leurs affaires, sourire leurs femmes, grandir leurs enfants. Les liens matériels et les biens de la tendresse étroite leur étaient ainsi assurés. Ils avaient même pour apaiser et bercer leur conscience, la bénédiction du vieillard de Vichy. Vraiment, rien ne les forçait au combat, rien que leur âme libre. »
L’armée des ombres. 1943
01:25 Publié dans Grands textes, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : joseph kessel
dimanche, 09 février 2014
Question d'équilibre
Henri Cartier-Bresson, 1957
20:02 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : henri cartier-bresson