En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Autour des auteurs BiblioObs Blandine Longre Ca a débuté comme ça Carnets du Dessert de lune K-libre, l'actu de la littérature policière Langue sauce piquante Les anges Lire Littérature occitane Martine Laval Occitanie livre et lecture Ph. Sollers, site officiel Poésie française Portail du livre Sur Philippe Sollers Wodka Zazieweb
Alain Bagnoud sur "Rien compris au rock and roll" Entretien avec Progreso Marin (revue En-je) Jean-Jacques Marimbert sur "Le bonheur est un drôle de serpent" Jean-Jacques Nuel sur "Le Sourire de Cézanne" K-Libre sur "Rien compris au rock and roll" Mireille Disdero sur "Le Bonheur est un drôle de serpent" Mireille Disdero sur "Le Sourire de Cézanne" Roland Fuentès sur "Le Sourire de Cézanne" Viktor Kirtov sur "Le Sourire de Cézanne" Courrier International Divergences FM La Gazette de Montpellier Le blog de l'agglorieuse Le Monde Le Nouvel Obs Libération Marianne Mediapart Midi libre Rue 89
Je sais pourquoi je déteste le dimanche : c'est parce que des gens occupés à rien, se permettent d'être oisifs comme moi.
(Jules Renard, Journal, 29 juin 1895)
11:23 Publié dans Papillote | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jules renard
Commentaires
Quand j'étais enfant, puis plus tard et avant qu'Internet existe, je disais pareil. Maintenant je ne m'ennuie plus, j'ai de quoi m'occuper.
Écrit par : elisabeth | dimanche, 13 juillet 2014
Les commentaires sont fermés.