samedi, 25 juillet 2020
Sans avoir jamais existé
12:20 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : henri heine
mercredi, 22 juillet 2020
Miroir
16:42 Publié dans Grands textes, illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rainer czerwonka, zhuangzi
Voici les temps des trajets par train depuis Paris en 1882
10:17 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : train
samedi, 18 juillet 2020
Qui est vivant ?
20:29 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : van gogh, yannick haenel
Comment identifier le doute avec certitude ?
18:39 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0)
Une image de la France au Moyen Âge (début XVe)
11:41 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : moyen age
vendredi, 17 juillet 2020
La poésie
09:24 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : léon-paul fargue
mardi, 14 juillet 2020
Felix Vallotton, mon portrait, 1885
10:25 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : félix vallotton
lundi, 13 juillet 2020
Fond
16:34 Publié dans humour, presse | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : boris vian
vendredi, 10 juillet 2020
On n’est jamais plus heureux qu’à deux
On n’est jamais plus heureux qu’à deux. Sans témoin. Tout à donner à l’autre, que personne n’en sache rien. Mystère des rencontres, de l’intime. Irréductible au qu’en dira-t-on, au regard extérieur qui objective, juge, transforme, colporte, trahit. Rien que le regard doucement posé de l’autre. Bien sûr ça ne dure qu’un temps, l’autre n’est jamais complètement à soi. Mais on peut rêver un moment. De même à l’instant où on voit la beauté, penser que l’univers en est tissé. Il l’est peut-être...
Raymond Alcovère, extrait de "Fugue baroque", roman, édtions n & b, 1998
Photo : Ferdinando Scianna
18:50 Publié dans Fugue baroque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fugue baroque, ferdinando scianna
jeudi, 09 juillet 2020
Toute impatience a disparu
Jusqu’à la fin Cézanne s’est consacré au travail. La série de portraits du jardinier Vallier est éblouissante. J’aime par dessus tout l’aspect des gens qui ont vieilli sans faire violence aux usages en se laissant aller aux lois du temps. Je hais l’effort de ces lois. L’homme assis tranquillement dans son jardin, c’est Cézanne, en paix, fondu dans la nature. A un moment on est l’œuvre, l’artiste a atteint son but. Le jardinier Vallier, c’est nous. Voilà son legs ; visiblement, toute impatience a disparu.
Extrait du roman "Le sourire de Cézanne", Raymond Alcovère, n & b éditions, 2007
Cézanne, Le jardinier Vallier
11:48 Publié dans Le Sourire de Cézanne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le sourire de cézanne, cezanne
vendredi, 03 juillet 2020
Voici l'état de guère
22:19 Publié dans Humeur, humour, Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 27 juin 2020
La rage dedans
22:11 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 26 juin 2020
J'envie l'art !
12:05 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 24 juin 2020
La vie ne conclut pas
18:22 Publié dans Papillote | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : léo malet, milo manara
mardi, 23 juin 2020
Dilemme ?
15:35 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 19 juin 2020
Couverture de "Les Hauts-lieux de l'Histoire dans l'Hérault"
Sortie le 16 octobre aux éditions Le Papillon rouge
16:17 Publié dans Evénements | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les hauts-lieux de l'histoire dans l'hérault
jeudi, 18 juin 2020
La Danse des vifs, une lecture du "Sourire de Cézanne", par Jean-Louis Kuffer
20:24 Publié dans Le Sourire de Cézanne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean-louis kuffer, le sourire de cézanne
Paul Valéry, Lettres à Jean Voilier
09:30 Publié dans amour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paul valéry
mardi, 16 juin 2020
Attacus Atlas
L'Attacus Atlas, le plus grand et probablement l'un des plus beaux papillons au monde ! (Asie du Sud-Est)
11:31 Publié dans Ecologie, Paysages, Sublime | Lien permanent | Commentaires (0)