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lundi, 29 mars 2021

Édouard Manet, assis, tenant son chapeau, par Degas, vers 1865

samedi, 20 mars 2021

Changer le cours de nos vies

Les adieux, 1981, Miro.jpg« Et puis, il y a ceux que l’on croise, que l’on connaît à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure et changent le cours de votre vie. »
Victor Hugo
Miro, Les adieux, 1981

17:38 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : victor hugo, miro

jeudi, 18 mars 2021

Alberto Giacometti & Francis Bacon, 1965

alberto giacometti, Francis Bacon, Graham KeenPhoto © Graham Keen

mardi, 16 mars 2021

Camille Pissaro, autoportrait, 1900

Camille Pissaro, autoportrait, 1900.jpg

dimanche, 14 mars 2021

Ecrire

« Écrire, c'est comme avoir un rendez-vous d'amour dangereux. »
Françoise Sagan
MatisseMatisse.jpg

Berthe Morisot, le bain au Mesnil, 1892

Berthe-Morisot-The-Bath-at-Mesnil.JPG

21:21 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : berthe morisot

Elisabeth Vigée Le Brun : autoportrait au chapeau de paille, 1787

elisabeth vigée le brun

mercredi, 10 mars 2021

Voyage en hauts lieux !

Maison Soulages Sète.jpgArticle sur "Hauts-lieux de l'Histoire dans l'Hérault" paru dans l'Agglo-rieuse.
 
Montpelliérain pur jus Raymond Alcovère -à qui l'on doit déjà des romans et un polar- (8 ouvrages en tout) après avoir signé: "Ces Héraultais qui ont fait l'histoire" signe cette fois "Hauts Lieux de l'histoire dans L'Hérault" chez le même éditeur. Nous invitant tour à tour a emprunté le chemin du Pic Saint-Loup que bien entendu aussi  le littoral héraultais. Qui ne fut pas toujours ce lieu de villégiature tel qu'on peut le pratiquer aujourd'hui. Invitation aussi à aller voir du côté de l'île singulière (Sète) et ses incontournables joutes, à visiter l'abbaye de Valmagne, ou la villa gallo-romaine de Loupian ou encore le château de Castries. Mais aussi les Arènes de Lunel, l'ancienne manufacture royale de Villeneuvette ou la grotte des demoiselles à Saint-Bauzille-de-Putois. L'intérêt du présent ouvrage c'est que plus qu'un simple guide "ordinaire", il apporte un éclairage tout particulier sur des faits finalement peu connus ou totalement ignorés. Camp d'Agde.jpgAinsi si on commence à connaître de plus en plus l'histoire de la migration espagnole, et le douloureux épisode de la Retirada -l'histoire de l 'exode des réfugiés espagnols de la guerre civile fuyant la victoire franquiste dès février 39- à travers le mémorial du camp de Rivesaltes dans les PO en revanche, bien moins connu est l'épisode du camp d'internement d'Agde. L'ouvrage d'Alcovère remplit pleinement son rôle d'entretien de la mémoire en remémorant (ou en faisant découvrir) ce haut lieu (et même si réduit d'espace) qu'à été courant des années 60-70 le "Pet au diables" aux Matelles. Endroit dont les bancs de l'époque se souviennent avoir accueillis réception des augustes arrières-trains de Bel ou de Brassens -excusez du peu. Jacques Palliès avait du reste déjà consacré un livre entier à la mémoire de ce lieu et de son génial créateur Jean-Pierre Lesigne (aux éditions de l'Harmattan). 0-Rockstore-Ville-de-Montpellier-01.jpgOn creuse aussi à travers cet ouvrage dans les sous-sol et fondation de l'actuel Rockstore -rue de Verdun à Montpellier- anciennement lieu de culte mais pas pour le dieu rock mais bien temple pour les protestants. A travers les écrits de cet érudit de Raymond on croise aussi Pantagruel envoyé en cure  à Balaruc par son diable d'auteur François Rabelais. A propos de Maguelone et de son abbaye, R A aurait pu préciser que chaque année -hormis les années de pandémie...- s'y déroule un festival de musique ancienne depuis maintenant quelques décennies de  première importance.A propos d'abbayes on part ensuite pour celle d'Aniane et celle de St Guilhem-le-désert. Abbaye de Gellone ayant du reste l'honneur de la photo de couverture du livre. Jean Jaurès n'est pas oublié à travers la place portant son nom comme Jean Moulin du reste dont la célèbre photo de lui portant chapeau à été prise dans les jardins du Peyrou. Alcovère ne pouvait pas passer sous silence le clapas et ses universités dont celle la prestigieuse (connue du monde entier) de médecine particulièrement en cette année anniversaire des 800 ans. C'est sans doute en se souvenant de ce qu'avait affirmé en son temps Valéry Larbaud (1881-1957) que François Truffaut a jeté son dévolu sur la ville pour venir y tourner "L'homme qui aimait les femmes" sorti  1977. the_man_who_loved_women_lhommequiaimaitlesfemmes-1600x900-c-default.jpgEt même si le poète saluait surtout la "plastique" de la statue des" trois grâces". L'auteur de ces quelques 250 pages nous met également au parfum, n'hésitant pas à faire de la ville une capitale en la matière spécialement vraie entre le XI et XVIII siècle où Paris et Grasse lui seront alors préférés.Difficile de faire l'impasse sur Jacques Cœur. En revanche, le cardinal De Bonzi sentant le souffre est lui moins connu. L'ouvrage ne comporte pas de coquilles apparentes en revanche celle se situant dans la capitale héraultaise à l'angle des rues du Palais et celle de La Coquille est elle parfaitement visible  page 107. L'histoire que relate l'auteur de Diane de Ganges morte empoisonnée à l'arsenic le 5 juin 1667 pourrait largement faire l'objet d'un polar en tenue d'époque.Plus loin on est invité à s'asseoir dans le fauteuil de JB Poquelin alias Molière à Pézenas. Si nous n'avons guère de nouvelles du Domaine Bonnier de La Mosson situé à un jet de pierres du stade de la Mosson,  en revanche on peut en avoir ici. Thomas_Jefferson_by_Rembrandt_Peale,_1800.jpgDétour obligatoire par les vignes dont le président étasunien (de 1801 à 1809) Thomas Jefferson fut un chaleureux ambassadeur (l'ayant été lui-même pour son pays entre 1785 et le début des hostilités révolutionnaires). Impossible aussi dans pareil ouvrage historique de faire l'impasse sur la grande révolte et l'incroyable mobilisation de 1907. 600 000 manifestants (et alors que le pays ne comptait alors que quelque 41 M d'habitants. Avène que pourra et surtout pour ceux goûté aux eaux "miraculeuses" de ses bains. Retour aussi dans ce récit sur la découverte en ce début de siècle et au large de la paisible Palavas du trésor de la "Jeanne-Elisabeth" reposant depuis quelques 250 ans dans le fond marin. Le coup d'État de Louis Napoléon Bonaparte n'aura pas été sans conséquence sur la révolte dans les hauts cantons au mitan du XIXème siècle avec forte répression du pouvoir national en guise de réponse. L'ouvrage se poursuit avec flottant dans l'air une odeur de café en provenance directe des usines Jacques Vabre installé à Lavérune. Qui sait que  les marques "Carte Noire" ou "Café Grand-Mère" sortent de là ?! Raymond Alcovère revient  aussi sur un fameux loupé, celui, concernant le célébrissime peintre Pierre Soulages toujours habitant avec Colette son épouse les hauteurs du Mont St Clair. Lequel Soulages  aurait bien aimé que sa ville d'adoption abrite aussi un musée portant son nom. Mais c'est finalement la ville natale du chantre de l'outrenoir  Rodez qui concrétisera la chose. Ce dont elle se félicite depuis chaque jour durant. iz6DloCH.jpgC'est par un salut à Agnès Varda celle-là même qui immortalisera la "Pointe Courte" sétoise sur pellicule et par  aussi, un salut  à l'éphèbe agathois que se referme le livre dont la lecture se révèlera un salutaire bain rafraîchissant d'utile savoir.
Jean de Laguionie

mardi, 09 mars 2021

JLG

EwCvWAiWEAkwyLi.jpg— Pourquoi tu as l’air triste ?

— Parce que tu me parles avec des mots, et moi je te réponds avec des sentiments.

(Jean-Luc Godard - Pierrot le fou)

19:13 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean-luc godard

samedi, 06 mars 2021

à lever les yeux

Dostoïevski"Le ciel était si étoilé, un ciel si lumineux, qu'à lever les yeux vers lui on devait malgré soi se demander : se peut-il que sous un pareil ciel vivent des hommes irrités et capricieux ?"
Dostoïevski
Ponte Vecchio, Florence

20:29 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dostoïevski

mercredi, 03 mars 2021

Procédés magiques

Krissy Hunt.jpg« Il existe des procédés magiques qui suppriment les distances de l'espace et du temps : les émotions. »
Simone de Beauvoir
Photo de Krissy Hunt

mardi, 02 mars 2021

Clair de femme

romain garyLorsqu'on a aimé une femme de tous ses yeux, de tous ses matins, de toutes les forêts, champs, sources et oiseaux, on sait qu'on ne l'a pas encore aimée assez et que le monde n'est qu'un commencement de tout ce qui vous reste à faire.
Romain Gary,
Clair de femme

Un virage sur la route, Paul Cézanne, 1905

Paul Cézanne

vendredi, 26 février 2021

Fragonard, Le berceau

Fragonard, le berceau.jpg

Matisse, La femme au manteau violet, 1947

Matisse, 1947, la femme au manteau violet.jpg

mercredi, 24 février 2021

Naples, 1959, Herbert List

naples,herbert list

20:35 Publié dans Photo, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : naples, herbert list

Autobiographie

Stendhal« Je craignais de déflorer les moments heureux que j’ai rencontrés, en les écrivant, en les anatomisant. Or c’est ce que je ne ferai point, je sauterai le bonheur. »
Stendhal

19:32 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stendhal

lundi, 15 février 2021

Paul Valéry : il avait tué la marionnette

Couverture Ces Héraultais qui ont fait l'histoire.jpgPaul Valéry s'excusait : « Je vous reçois un peu débraillé. C'est que j'étais en train de réfléchir. » Tous les jours, pendant près de cinquante ans, de 4 heures à 7 heures du matin, il écrit ses Cahiers, que Roger Nimier appelle « le grand travail matinal de toute sa vie ». Selon Paul Claudel, il n'était pas un « pur intellectuel » mais « avant tout un voluptueux ». Alors qu'en est-il de ce personnage complexe, un des plus grands esprits de son temps ?

« Je suis né dans un de ces endroits où j'aurais aimé naître. » Paul Valéry ne tarit pas d'éloges sur Sète, l'île singulière où il voit le jour le 30 octobre 1871. La mer, près de laquelle il est né, le hantera toute sa vie : « Il n'est pas de spectacle pour moi qui vaille ce que l'on voit d'une terrasse ou d'un balcon bien placé au-dessus d'un port. » Il rêvera d'être marin, et toute sa vie, adorera nager.

Son père, d'origine corse, est vérificateur principal des douanes, et sa mère, génoise, fille du consul d'Italie. Il entame ses études chez les Dominicains, les poursuit au lycée de Montpellier puis s’inscrit à la faculté de Droit en 1889. Passionné par les mathématiques et la musique, il écrit aussi de la poésie ; ses premiers poèmes sont publiés dans la Revue maritime de Marseille.

Il devient l'ami de Pierre Louÿs, futur auteur de La Femme et le Pantin, qui lui fait connaître André Gide ; tous les trois se promènent à Palavas et au Jardin des Plantes de Montpellier, où on peut lire encore les mots du poète : « Nous irons doucement par les ruelles fort pierreuses et tortueuses de cette vieille ville à cet antique jardin où tous les gens à pensées, à soucis et à monologues descendent vers le soir. » 

C’est alors qu’il va connaître sa fameuse Nuit de Gênes, du 4 au 5 octobre 1892 : une nuit d’orages et d’insomnie qui le bouleverse et dont il sort résolu à « répudier les idoles de la littérature, de l’amour et de l’imprécision. » Désormais, il se consacrera essentiellement à « la vie de l'esprit ».paul valéry,ces héraultais qui ont fait l'histoire

En 1894, il s’installe à Paris où il travaille comme rédacteur au Ministère de la Guerre. Mais c’est à Montpellier, au 9 rue de la Vieille intendance, « dans une chambre où Auguste Comte a passé ses premières années » qu’il écrit Monsieur Teste. Pour Borges, ce personnage est «peut-être la plus extraordinaire invention des lettres contemporaines.» Même s’il l’a souvent nié, Valéry n'a jamais pu se défendre d'avoir peint un autoportrait. Sa créature, en effet, l'a accompagné toute sa vie.

En 1900, il  épouse Jeannine Gobillard, nièce de Berthe Morisot. Trois enfants naissent, qui le montrent bon père et bon époux. Autre changement, il trouve un emploi de secrétaire particulier auprès du publiciste Édouard Lebey, directeur de l’agence Havas où il restera plus de vingt ans. Il semble s'être éloigné de la littérature mais a déjà commencé la rédaction de ces Cahiers qui ne seront publiés qu’après sa mort. Il y consigne quotidiennement l’évolution de sa conscience et de ses rapports au temps, au rêve et au langage.

Depuis toujours admirateur de Mallarmé, Paul Valéry devient un des fidèles des  « mardis » du poète. Lui-même revient à la poésie seulement en 1917, sous l’influence d’André Gide notamment, avec la publication de La Jeune Parque, dont le succès est immédiat ; suivront ses autres grands poèmes (Le Cimetière marin, en 1920) ou recueils poétiques (Charmes, en 1922).

Ces années coïncident avec ce que Cocteau appellera une première « grêlée d'honneurs ».  Il multiplie les conférences, voyages officiels et communications de toute sorte ; en 1924, il remplace Anatole France à la présidence du Pen Club français, puis lui succède à l’Académie française où il est élu le 19 novembre 1925.

Ses centres d’intérêt sont multiples ; l'art sous toutes ses formes, en particulier la peinture et la danse, mais aussi la science exercent sur lui une véritable fascination. Il fréquente assidûment les grands savants de son temps, visite leurs laboratoires, se tient informé des recherches de pointe dans toutes les disciplines. Avec toujours cet objectif : mieux connaître le fonctionnement de l'esprit humain, parvenir à analyser les opérations mentales qui sont à l'origine de la création littéraire, artistique et scientifique.

Le Journal de Gide est amusant, on y trouve ce genre de notations : « Après-midi avec P.V. Longue conversation qui me laisse fourbu. » « Paul m’invite à dîner. Rentré très tard, épuisé. » « Plaisir intense de revoir V., entre deux trains. Mais je repars brisé, la tête en feu. »

Cet homme en apparence froid et réservé qui a écrit « nos plus importantes pensées sont celles qui contredisent nos sentiments. » vit une folle histoire d’amour avec Jeanne Loviton, dite Jean Voilier : entreprenante et libre, elle est aussi une grande séductrice. Dominique Bona  décrit ainsi Valéry : « Fragile, anxieux, désespéré et sombre, tout entier dépendant de celle qu'il appelle « Mon terrible toi, mon amour », l'auteur des innombrables Cahiers, exercices d'intelligence, archétypes de l'esprit de raison, de volonté et de maîtrise, avait donc un cœur et il suffit de lire les extraits des quelque mille lettres que Valéry a écrites à Jean Voilier pour comprendre que ce cœur battait. Encore plus fort que pour Catherine Pozzi, son précédent amour, car sa passion pour Jean Voilier est aussi la dernière. « Tu sais bien que tu étais entre la mort et moi. Mais hélas il paraît que j'étais entre la vie et toi. »

Avec Valéry - sa poésie en témoigne - le cérébral ne s'éloigne jamais de la matière, du corps, du cœur, ils s'accordent. Toute sa vie, il s'attachera à l'intention qui le gouverne : tous les jours créer, se créer, s'arracher au nombre, aux fluctuations de la mode. Pour lui, l'art modifie la perception du monde et contribue à la création de soi, comme la lecture des grands livres. Il s'invente sans cesse, faisant de l'écriture l'instrument principal pour atteindre une grande liberté intérieure. Et il adorait les pirouettes, les pieds-de-nez comme : « Un homme sérieux a peu d'idées. Un homme à idées n'est jamais sérieux. » Ou encore : « Je suis aussi sociable en surface, et facile en relation, que séparatiste en profondeur. »paul valéry,ces héraultais qui ont fait l'histoire

Lorsqu’éclate la Seconde Guerre mondiale, Paul Valéry s’oppose vivement à la proposition d’Abel Bonnard qui voulait que l’Académie adresse ses félicitations au maréchal Pétain pour sa rencontre avec Hitler à Montoire. Directeur de l’Académie en 1941, il prononce l’éloge funèbre de Bergson et son discours est salué par tous comme un acte de courage et de résistance. Refusant de collaborer, Paul Valéry perd sous l’Occupation son poste d’administrateur du centre universitaire de Nice. Il meurt le 20 juillet 1945, la semaine même où s’ouvre, dans la France libérée, le procès Pétain. Après des funérailles nationales, il est inhumé à Sète, au cimetière marin. Il avait écrit : « La mort enlève tout sérieux à la vie. »

Le 30 mai 1945, il consignait ses dernières impressions: « Je ne vois rien à présent qui demande un lendemain. Ce qui me reste à vivre ne peut être désormais que du temps perdu. Après tout, j'ai fait ce que j'ai pu. Je connais assez bien mon esprit. (...) Je connais my heart aussi. » La vie de Monsieur Teste se terminait sur le mot cœur.

Fruttero et Lucentini, dans La Prédominance du crétin, lui consacrent un superbe texte qui clôt le recueil : « Monsieur Teste n’est pas un symbole commode, un héros triomphant que l’on peut suivre en rangs, en entonnant des slogans. En un certain sens, il a toujours été vaincu. Mais à intervalles assez longs, quand les trottoirs hurlants se sont momentanément vidés, on peut toujours, si on le désire, entendre son pas nocturne, régulier, imperturbablement solitaire. »

Raymond Alcovère, : un des  50 portraits de "Ces Héraultais qui ont fait l'Histoire", éditions Papillon Rouge,  2018

samedi, 13 février 2021

L’incroyable épopée de l’Association Sportive de Béziers, 11 titres en 15 ans

gettyimages-639617519-1024x1024.jpgPendant quinze ans, dans le rugby français, ce furent les années Béziers… Depuis son premier bouclier de Brennus en 1971, onze titres et quinze finales viendront ponctuer jusqu’en 1984 un palmarès inouï. On entendait alors dans les chaumières : « Si le rugby est né en Angleterre, son royaume est en Biterre ! »

Extrait de : "L’incroyable épopée de l’Association Sportive de Béziers, 11 titres en 15 ans"

Dans Hauts lieux de l'Histoire dans l'Hérault, Raymond Alcovère

Papillon Rouge éditeur

jeudi, 11 février 2021

Marcel Gotlib et Claire Bretecher, photo de William Karel, 1974

Marcel Gotlib, Claire Bretecher