samedi, 07 juillet 2012
Faites infuser
"Ne désespérez jamais. Faites infuser davantage."
Henri Michaux , Face aux verroux.
00:46 Publié dans Papillote | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : henri michaux
mercredi, 04 juillet 2012
Squeeze n°5
Squeeze n°5 déboule tout feu tout flamme.
Thème : LA POUDRIÈRE – DES TEXTES QUI FONT BOUM !
Auteurs au sommaire : Pascal Nyiri-Brévard, Raymond Alcovère, Paul Sunderland, Petrus Borel, Philippe Sarr, Clélie Vian, Olivier BKZ, Paul Gounon, Lemon a.
Buzz : Olivier Gay
http://revuesqueeze.com/telecharger-la-revue/revue-squeeze-n5/
12:17 Publié dans Revues | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : squeeze, le chancellor
vendredi, 29 juin 2012
Au Off du Festival International du Roman Noir de Frontignan
J'y serai ce vendredi après-midi !
03:50 Publié dans Evénements | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : firn, frontignan
jeudi, 28 juin 2012
Je suis une vallée
- Et quel malheur vouliez-vous qu'il m'arrivât ? Comme dit je ne sais quel vers latin que j'ai oublié, ou plutôt que je n'ai jamais bien su : La foudre ne frappe pas les vallées ; et je suis une vallée, mon cher Rochefort, et des plus basses qui soient.
"Vingt ans après", Alexandre Dumas, chapitre 3
04:25 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alexandre dumas, les trois mousquetaires
samedi, 23 juin 2012
Comment être chinois ?
« Pour peu que les viscères se placent sous la dépendance du cœur et lui restent soumis, la résolution triomphe, la conduite sera ferme, l’entendement florissant, les humeurs concertées, en sorte que l’on voit tout, entend tout et réussit en tout. Le souci ne trouvera nulle part à s’introduire ni les miasmes par où attaquer. »
Écrits de Maître We ou Livre de la pénétration du mystère.
18:08 Publié dans Chine | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 21 juin 2012
Chez mon libraire, ce n'est pas plus cher
11:10 Publié dans Evénements | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 17 juin 2012
Source
"Au Mossad, un dicton affirme qu'une information ne vaut que ce que vaut sa source"
Gordon Thomas, exergue du chapitre 16 de "Rien compris au rock and roll", roman d'espionnage
05:52 Publié dans Rien compris au rock and roll | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rien compris au rock and roll
Sous sa plume, la vérité devient saisissante
"Je veux parler de cette exactitude dans l'expression sensible de la vérité, que nul autre que lui ne semble avoir atteint. C'est peu de dire que, sous sa plume, la vérité devient saisissante : elle est parfois gênante, au point d'être mal supportée - quand le lecteur, par hasard, a connu telle personne, qui lui servit de prototype."
Georges Bataille, Hemingway à la lumière de Hegel (1953)
05:11 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges bataille, hemingway
lundi, 11 juin 2012
Au petit Presse
Je serai en dédicace ce vendredi 15 juin au Petit Presse, 1 rue Anatole France, à Frontignan
21:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 09 juin 2012
La lecture
«La lecture», qui représente madame Manet en 1868, est prétexte à un éblouissant «morceau de peinture», une symphonie de blancs qui fera dire à Zola: «Je ne crois pas qu'il soit possible d'obtenir un effet plus puissant avec des moyens moins compliqués».
05:31 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : edouard manet
mercredi, 06 juin 2012
Ciao Ray !
21:29 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : ray bradbury
mardi, 05 juin 2012
Recto bar, verso tombeau.
Un tableau qui vous poursuit vous donne l'impression d'être recto et verso. Son recto vous parle de son verson, à vous d'être des deux côtés à la fois. Le Bar est un paquebot vu par un sous-marin à 20 000 lieux sous les mers. Voyez ces hublots d'aquarium, cette foule de poissons morts qui se croient vivants. La bergère, qui sert au comptoir, est folle, c'est entendu, elle a une telle intensité d'absence qu'elle seule va survivre au naufrage. Manet, dans son atelier, a peint un grand panneau égyptien, et la sublime innocente est là comme une momie ressuscitée. Recto bar, verso tombeau.
Extrait de L'éclaircie, Philippe Sollers, roman
02:58 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : edouard manet, philippe sollers
vendredi, 01 juin 2012
Comédie du livre déprimante
Comédie du livre déprimante, pour couronner le tout, je discutais avec une amie, et deux lycéennes nous interpellent, elles cherchaient Albert Camus, c'est véridique, j'ai cru qu'elles plaisantaient, mais non, elles le cherchaient vraiment !!!
22:32 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (4)
mercredi, 30 mai 2012
Comédie du livre
Vendredi 1 er juin, je serai sur le stand de la librairie Sauramps, de 10 H à 19 H, pour mon dernier livre : Rien compris au rock and roll. Ce même jour, de 16 H à 16 H 45, à l'Espace Pierre Clerc pour une interview par Sylvie Léonard en compagnie de Françoise Renaud et Janine Teisson.
Au plaisir de vous y retrouver
21:40 Publié dans Evénements | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 28 mai 2012
La briéveté
" La brièveté est flatteuse et plus avantageuse dans le commerce du monde ; elle gagne par sa politesse ce qu'elle perd par sa petitesse. Entre deux mots, il faut choisir le moindre ; et les maux et les sons, s'ils sont brefs, ne sont qu'un moindre mal. La quintessence est plus efficace que les farragos. "
Baltazar Gracian
18:23 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : baltasar gracian
Normalitude !
18:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 27 mai 2012
Avant des gens braquaient des banques
Aujourd'hui, c'est le contraire !
23:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Solaire
Vision des anges déchus. Une ville solaire, à l’écart des grandes routes du Mexique. Abandonnée de tous, sauf du vent. Et de l’autobus quotidien au départ de la grande ville. Avant, il y avait de l’or, maintenant il reste un hôtel, quelques bars sur la rue principale, des maisons basses. Un soleil âpre et mordant et le vent qui balaie la poussière. Je suis serveur dans cet hôtel, logé, nourri. Venu ici à cause d’un livre, Sur la route, de Jack Kerouac, et de l’arrivée au Mexique, vers la fin, qui ressemble au paradis.
Un jour, j’ai eu envie de partir. J’ai pris le train, le bateau, l’autocar, fait du stop. Comme dans le livre, tout peut arriver et tout arrive d’ailleurs, d’un instant à l’autre, du noir désespoir à des plaisirs fulgurants. Tout ce dont on peut rêver à vingt ans, là, à portée de main. On passe à travers les villes, les pays, comme une étoile filante, de vagues ombres se profilent. On aperçoit des reflets, des lignes se dessinent, furtives. Il est trop tôt pour s’arrêter. On est parti pour savoir comment était fait le destin, en explorer les contours. Le jeu est dangereux mais on ne le sait pas encore, ou on en rêve secrètement.
Raymond Alcovère, Le bonheur est un drôle de serpent, roman, 2009, Lucie éditions, début du texte
Peinture de Frédérique Azaïs-Ferri : Sur la route, 2006
05:57 Publié dans Le Bonheur est un drôle de serpent | Lien permanent | Commentaires (1)
Le pont des immortels
00:17 Publié dans Chine | Lien permanent | Commentaires (0)
Renoir
00:16 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : renoir