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jeudi, 10 mai 2007

Sans que nous le sachions

“Quelquefois l’avenir habite en nous sans que nous le sachions”

Marcel Proust

(plus vivant que jamais, lire ici)

dimanche, 29 avril 2007

Bienvenue au club

"Ah l'heureux temps d'autrefois, où le président Mitterrand, me prenant à part dans un clin d'oeil, me disait qu'il était en train de lire Casanova : "Bienvenue au club", lui ai-je soufflé, à l'époque."

Philippe Sollers, Le Journal du mois, JDD du 29 avril 2007

mercredi, 18 avril 2007

Allez, un p'tit chèque de 8,5 millions d'euros !

Ca ne se refuse pas quoi !

mardi, 17 avril 2007

Le lobby le plus puissant des Etats-Unis

A lire ici

jeudi, 12 avril 2007

Pétition en ligne sur l'incinérateur de Marseille à Fos sur Mer

Lire ici sur le blog de Christian Julia

mercredi, 11 avril 2007

La continuation de la politique

L'écriture est la continuation de la politique par d'autres moyens

Philippe Sollers, Théorie d'ensemble 

mardi, 03 avril 2007

Tous les resquilleurs en prison ?

medium_029.jpg

lundi, 02 avril 2007

Big Brother vous parle

Qui contrôlera demain internet ? A lire ici

dimanche, 18 mars 2007

Laissez-les grandir ici

SIGNEZ, FAITES SIGNER LA PÉTITION NATIONALE

« LAISSEZ-LES GRANDIR ICI ! »

samedi, 17 mars 2007

Une prise en mains technique, généralisée, de la vie même des humains

medium_15.jpgDiriez-vous que ce que l’on appelait l’« espace public » - les meetings, les réunions - se réduit désormais à l’espace médiatique ?

Ph. Sollers : Ce n’est pas moi qui ai inventé la formule « société du spectacle ». Ça ne veut pas dire simplement la représentation médiatique, ça signifie que tous les rapports humains sont médiatisés par des images et que « les gens », comme on dit, ont de plus en plus tendance à jouer un jeu de rôle par le truchement de leur image à l’intérieur d’un film général. Il y a une évacuation de la perception individuelle, de la sensation de soi immédiatement représentée par des images. Donc le spectacle comme société, puisque c’est la même chose. Mais attention, cela ne veut pas dire simplement des moyens de communication ou la télévision, ce que Bourdieu avait tendance à croire, alors qu’il avait tort dans sa logique de marxiste archaïque à tendance stalinienne avérée. Il s’agit d’une prise en mains technique, généralisée, de la vie même des humains

Interview à lire en entier ici

Photo : Jean-Louis Bec

lundi, 12 mars 2007

Caméléon Bonaparte

medium_30.jpgC'est ainsi que la BBC surnomma notre Résident de la République. A Lire ici le jugement implacable de la presse étrangère.

Photo : Jean-Louis Bec

mercredi, 07 mars 2007

Place aux événements voyous

medium_DSCN1650.jpgDerrière les défis idéologiques des uns aux autres, derrière la confusion de la scène médiatique, il faut saisir quelle situation mondiale est en jeu : celle de l'affrontement entre une puissance hégémonique, maîtresse des rapports de force, et une résistance irréductible qui peut surgir de partout. A ce niveau-là, les jeux ne sont pas faits, et le suspense est total

C'était Jean Baudrillard, à propos du CPE, qui, à lui tout seul, a souvent relevé le niveau de la presse française, notamment Libé...

A lire ici, avec d'autres de ses contributions...

Photo : Nina Houzel

mardi, 20 février 2007

Carnets indiens, avec Nina Houzel (28)

medium_COORG_5_037.jpgUn symbole visé, lire ici

Photo : Nina Houzel 

lundi, 19 février 2007

Mobilisation en faveur d'Ingrid Betancourt

Les proches d'Ingrid Betancourt appellent à la mobilisation pour le cinquième anniversaire de l'enlèvement de la Franco-Colombienne, détenue depuis le 23 février 2002 par la guérilla marxiste (lire ici)

Comité de soutien : ici

vendredi, 16 février 2007

Censure, suite : pétition

medium_Puces_2005_15_.JPGPour ceux d'entre vous qui souhaiteraient signer la pétition contre la censure subie par le directeur de collection Denis Guiot et par la romancière Nathalie Le Gendre, vous pouvez le faire sur le site :
http://www.actusf.com/
ou directement par courriel "Pétition Mango" auprès de Jean-Marc Ligny qui fédère :
jmligny@wanadoo.fr ou cafard2006@freesurf.fr
en précisant votre nom, qualité (auteur ou autre), ville de résidence.

Voilà l'édito créé en tandem avec un autre site (qui relaie aussi la pétition) et qui rappelle les faits :

Vous le savez sans doute - ou pas -, les éditions Mango ont refusé de publier dans leur collection "Autres Mondes", Les Orphelins de Naja, le dernier roman de Nathalie Le Gendre. Un roman pourtant inscrit au programme des sorties 2007, mais qui met en scène des pratiques pédophiles au sein d'une église du futur. Un sujet à l'évidence trop sensible pour le responsable éditorial de Fleurus et Mango Jeunesse, puisqu'il a annoncé à Denis Guiot, le directeur d'"Autres Mondes", que Les Orphelins de Naja ne sortirait pas. Motif : "Il ne veut pas d'emmerdes avec les actionnaires".
Les actionnaires en question c'est la holding de contrôle franco- belge Médias-Participations, et qui essaime discrètement dans des secteurs aussi divers que la bande dessinée (Dargaud, Le Lombard et
Dupuis), la presse (Rustica, Votre maison Votre jardin, Cuisine et terroirs), l'animation (Ellipse animation) et la télévision (Télé Melody et KTO). La fondation de ce groupe en 1985, s'est largement appuyée sur le succès du magazine Familles Chrétiennes. À sa tête alors, Rémy Montagne, avocat d'affaires, conservateur et catholique militant. Un militantisme qui va largement infuser au sein des différentes sociétés du groupe.
En dépit du décès de son fondateur en 1991, le Médias-Participations est resté sur sa ligne éditoriale originelle, et c'est elle, aujourd'hui, qui conduit à ce pénible épisode autour du roman de Nathalie Le Gendre.
On peut certes parler de censure ou de pratiques moyen-âgeuses, mais à notre sens, c'est à la fois bien pire, et en même temps dramatiquement contemporain. Car nous avons ici affaire à une pratique d'autocensure sournoise, motivée uniquement par une mesquine pétoche de technocrate. Bien moins grandiloquente que la peur du scandale, c'est la trouille de se faire taper sur les doigts qui motive la décision de la direction éditoriale de Mango. Il sont les sujet banals de la peur qu'insuffle le pouvoir de
l'argent. Stress du cadre sup' qui sent grincer la goupille de son siège éjectable. Au final c'est presque la peur de la peur qui les anime. Ils veulent être tranquilles. Auquel cas, ils n'ont sans doute pas choisi le bon secteur d'activité.

"Je ne veux pas d'emmerdes avec les actionnaires.", le nouveau mantra des grands prêtres de la concentration économique qui ne sortent plus sans leur parapluie. Il résonne dans les couloirs moquettés des grands groupes industriels, et se banalise un peu plus chaque jour. Surtout pas de vagues, surtout pas de vagues !. Et c'est précisément parce qu'il nous semblait important d'en faire - des vagues -, que d'un commun accord, ActuSF et le Cafard Cosmique ont décidé de relayer ensemble cette lettre ouverte adressée à Mango, à l'initiative de Jean-Marc Ligny. Parce que c'était une occasion de rappeler qu'on n'écrit pas des livres avec un tableur, qu'une ligne comptable n'a jamais fait rêver - en tout cas pas nous - et qu'on ne dirige pas une maison d'édition avec seulement une calculette et des formules statistiques. Cette autocensure minable, uniquement conditionnée au politiquement correct, apanage des lâches et des thuriféraires d'un pouvoir diffus d'actionnaires fantômes est un cancer qui appelle toute notre vigilance et dont il nous faut d'urgence inoculer le vaccin, sous peine de se retrouver un jour vide de toute intelligence.

ActuSF / Le Cafard Cosmique

Photo : Gildas Pasquet

samedi, 10 février 2007

Censure

A lire ici, un message reçu de Joëlle Wintrebert, pour l'association "Autour des auteurs" :

Ci-dessous un message de Denis Guiot, directeur de la collection jeunesse "Autres Mondes" aux éd. Mango, récemment rachetées par Fleurus. Jusqu'à ce rachat, qui avait provoqué la démission d'un certain nombre de directeurs de collection chez Mango, Denis Guiot était le seul et unique maître d'oeuvre d'une collection unanimement saluée dans la presse et couronnée d'innombrables prix. Personne n'avait jamais discuté ses choix, le contrat moral était clair. Il semble par surcroît que la censure morale se double d'une censure économique. Si les chiffres de vente de la collection étaient ceux de Harry Potter, nul doute que le problème se poserait tout différemment. .. ou de façon plus feutrée.

"La direction éditoriale de Fleurus - Mango Jeunesse vient de censurer le roman de Nathalie Le Gendre "Les Orphelins de Naja", que j'avais prévu de faire paraître en mai 2007 dans la collection "Autres Mondes". Le roman ne paraîtra pas. La raison : le roman de Nathalie dénonçait certaines  pratiques pédophiles au sein d'une Eglise du futur sur une planète nouvellement colonisée. La direction éditoriale ne veut pas d' "emmerdes avec les  actionnaires" . C'est vrai que dans une collection appartement à un groupe publiant nombre d'ouvrages religieux et leader du marché européen du missel, ça ferait désordre... Sauf revirement - fort improbable - de la direction,  j'envisage de démissionner.
 Denis Guiot"

vendredi, 09 février 2007

Soutien aux éditeurs indépendants et aux revues littéraires

medium_industrie_188_.JPGLa Poste est un des outils privilégiés de diffusion des livres et revues littéraires des éditeurs indépendants, auprès des libraires, des bibliothèques et du public. Or, les transformations de La Poste, l'abandon des tarifs particuliers ou intermédiaires, la libéralisation des services, les fermetures de bureaux, mettent aujourd'hui leur existence en danger. Ceci porte préjudice aux écrivains, à la création littéraire, aux éditeurs, aux libraires, aux lecteurs, comme à toute la chaîne du livre (graphiste, photographe, imprimeur...).
Des tarifs postaux abusifs, la réduction programmée à l'accès des tarifs "presse" par de nouvelles contraintes administratives, l'abandon des tarifs réduits ("coliéco" "sacs postaux de librairies"... le refus de La Poste d'appliquer le tarif "livres et brochures" sur le territoire national), etc... remettent en question la pérennité de l'édition indépendante, et par voie de conséquence, entravent le droit d'expression, réduisent l'économie du livre et affaiblissent la démocratie.

Des centaines de petites structures éditoriales sont aujourd'hui contraintes à réduire ou à cesser leur activité.

Les soussignés s'inquiètent de cette situation et demandent à l'Etat, aux ministères concernés et à la direction de l'entreprise publique La Poste de créer un tarif préférentiel pour les livres et les revues (indépendamment, pour celles-ci, de l'attribution, ou non, d'un numéro de commission paritaire), afin de garantir pour demain la diversité culturelle et la libre circulation des idées.

Pour plus d'infos et signer la pétition, cliquer ici

Photo : Gildas Pasquet gildaspasquet@gmail.com 

vendredi, 02 février 2007

"5 minutes de répit pour la planète" a fait baisser la consommation d'électricité de 1 %

Lire ici

mercredi, 24 janvier 2007

Carnets indiens, avec Nina Houzel (15)

medium_P8250334.jpgLorsque Gandhi, comme je l'ai rappelé plus haut, disait que la Terre était assez riche pour satisfaire tous les besoins mais pas l'avidité, il visait juste, avec la concision qui lui était habituelle. En dépit de notre légitime inquiétude devant la rapide augmentation de la population mondiale,il demeure vrai que la planète est capable de nourrir plusieurs milliards d'êtres humains supplémentaires, pour peu que nous apprenions à faire la différence entre nos besoins réels et nos fantasmes subliminaux. Pour citer un exemple, est-ce une bonne idée pour les paysans indiens d'abandonner les cultures vivrières pour la production des fleurs (saturées de pesticides)destinées aux marches du Moyen-Orient, d'Europe, et d'ailleurs ? C'est le marché qui détermine ce que le paysan devra planter, disent les économistes.Selon cette logique, il est normal de passer de la production de nourriture pour les populations locales à la production de fleurs pour les  monarchiesdu désert. Lorsque l'économiste Kumarappa demanda à Gandhi de suggérer des critères qui pourraient aider un économiste à faire des bons choix, ce dernier lui répondit de choisir "le dernier homme" comme référence. Le conseil de Gandhi était clair : lorsque l'on doute du résultat d'une certaine décision politique, la solution consiste à se demander si cette decision serait de nature a améliorer le sort du "dernier homme", le plus pauvre de la communauté. Le "dernier homme" est généralement oublié dans les stratégies néolibéralesqui constituent les moteurs du présent processus de mondialisation. Les réserves de compassion s'épuisent chez tout le monde surtout  lorsque l'on n'est pas soi-même le "dernier homme". Mais tout le problème est  là. Ce processus nous afffecte du premier au dernier.

Lettres du Gange, Siddharta

Photo : Nina Houzel

samedi, 30 décembre 2006

Quelques considérations géopolitiques sur un monde en mouvement...

A lire ici, bonne journée !