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jeudi, 16 mars 2006

Qu'est-ce qui manque?

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08:56 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (4)

mercredi, 15 mars 2006

Le CPE sur le web

Contacts ici

18:31 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

Il n'a peur de rien ni de personne, pas même de lui-même, ce qui est un grand tort

Lisez "L'erreur de casting" ici

08:35 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 14 mars 2006

Loin d'être une expérience...

C’est que, loin d'être une expérience, comme on nous l’a affirmé, une nouvelle mouture du Contrat première embauche (CPE) pourrait être généralisée au beau milieu de l'été, au moment où les syndicats sont les plus vulnérables. C'est ce qu'affirmait déjà Le Canard Enchaîné du 15 février. Et ce que Dominique de Villepin aurait affirmé lors d'un dîner, le 8 février. Un CPE peu ou prou modifié aurait ainsi vocation à devenir le contrat de travail unique... qui mettrait fin à l'embrouillamini des multiples contrats plus ou moins précaires. Ainsi, l'exception deviendrait la règle, sous prétexte qu'il y a trop d'exceptions ! On comprend mieux que les syndicats de salariés musclent leur riposte et soutiennent les journées d’action étudiantes d’aujourd’hui et de jeudi, avant les manifestations de samedi qui fonctionneront comme point d’orgue de cette mobilisation.

Article en entier à lire ici

17:55 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (8)

lundi, 13 mars 2006

Forza

Le président du Conseil italien, Silvio Berlusconi, a quitté précipitemment une émission de Rai 3 dimanche, en reprochant à la journaliste des opinions de gauche. A lire et voir ici

18:29 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (12)

dimanche, 12 mars 2006

Nouvelles de Chine

medium_image006.jpgCi dessous la chronique de Bernard Guetta, hier matin, sur France Inter à propos du discours de Wen Jiabao au parlement chinois.

Texte de la chronique :
Si ce n'était pas une autocritique, ça y ressemblait. Ouvrant, hier, la session annuelle du Parlement chinois - 2927 délégués dont la fonction essentielle est d'entériner les décisions de la direction communiste -, le Premier ministre Wen Jiabao a promis de mieux répartir les bénéfices de la croissance afin, a-t-il dit, que « l'ensemble de la population partage les fruits de la réforme et du développement ».
C'était dire que ce n'est pas le cas aujourd'hui et ce l'est même si peu que 87 000 manifestations de mécontentement, protestations collectives et, parfois, émeutes, ont été officiellement recensées l'année dernière dans les campagnes. La colère gronde parmi les paysans chinois, 800 millions de personnes, 60% de la population, car, en trente années de croissance économique continue, deux Chine se sont créées - celle des grandes villes et, surtout, de la côte, en plein boom, et celle des campagnes, abandonnées à leur sort et traitées en réservoir de main-d'oeuvre bon marché fuyant la misère.
A côté de ce qui se passe dans cette autre Chine, Dickens et Zola n'avaient rien vu et la tension sociale est devenue si grande dans ce pays, si menaçante pour sa stabilité et la pérennité du régime communiste, que Wen Jiabao n'a pas hésité à énumérer les injustices les plus criantes du moment.
Il a notamment cité les conditions d’expropriation des terres agricoles au profit des nouvelles industries, source des manifestations les plus violentes de ces derniers mois ; l'envol des coûts de la santé et de l'éducation qui ferme les écoles et les hôpitaux aux plus pauvres ; le développement de la pollution industrielle qui ravage les campagnes quand elle n'empoisonne pas l'eau des villes et l'abandon pur et simple des populations évacuées des zones de construction de barrage.
C'est clair, c'est dit. La direction chinoise a pris la mesure de maux dont la dénonciation avait coûté licenciements et prison à tant de journalistes, de médecins et de militants des droits de l'homme. Alors, promis, « l'essentiel des investissements d'infrastructure ira aux zones rurales », les fonds de soutiens à l'agriculture seront augmentés cette année de 15% par rapport à 2005, les villes vont soutenir les campagnes et l'industrie « payer de retour l'agriculture » afin de construire une « nouvelle campagne socialiste », une « tâche historique majeure », a dit Wen Jiabao.
Il était temps mais, s'il est à la hauteur des promesses, ce coup de barre social risque de se heurter à deux difficultés de taille. La première est que 8% de croissance ou pas, le budget chinois n'est pas sans limites, que ce qui sera donné à une Chine sera retiré à l'autre et que cela risque de freiner le développement des zones en expansion, autant dire la croissance. Le puissant monde des affaires grogne déjà et, plus inquiétant encore, la corruption des administrations régionales auxquelles Wen Jiabao s'en est pris hier pourrait bien faire disparaître ces budgets sociaux en fumée. La « tâche historique » ne sera pas aisée.

17:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 11 mars 2006

"Il suffit d'un seul homme"

Tu me la sors bonne !

13:46 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1)

vendredi, 10 mars 2006

Chef d'oeuvre en péril

Faire battre Berlusconi le 9 avril, par Umberto Eco, à lire ici

09:06 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (15)

jeudi, 09 mars 2006

Y a d'la Rumba dans l'air

CPE actu ici :

Le doute grandit au sein de l'UMP

La mobilisation gagne un nombre croissant d'universités

09:43 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

mercredi, 08 mars 2006

"Non, il n'est pas fou. Juste maniaco-dépressif."

"La France a envie qu'on la prenne. Ça la démange dans le bassin. Celui qui l'emportera à la prochaine élection, ce ne sera pas un permanent de la politique, mais un saisonnier, un chenapan, un maraudeur."

A lire ici (et c'est édifiant) les bonnes feuilles d'un livre à paraître...

17:45 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (5)

Démocratie new look

On légifère puis on discute après !

La suite du mouvement dépendra, dans une très large mesure, de ce qui se passera dans les universités. Le 7 mars, étudiants et lycéens n'ont représenté qu'un tiers, au mieux la moitié des cortèges. Ou bien les facultés embrayent et suivent l'appel à la grève générale de l'UNEF, alors que seulement un quart l'ont précédé, et le bras de fer se durcit. Ou bien la grogne des étudiants ne se généralise pas et les syndicats auront alors du mal à maintenir, seuls et par solidarité, la contestation sociale.

Article en entier à lire ici

13:42 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 07 mars 2006

L'homme pressé

A lire ici

13:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1)

lundi, 06 mars 2006

Un million de dollars plus une voiture

Il est urgent de former une grande chaîne d'assistance à tous les rebelles du monde arabo-musulman, modérés, incroyants, libertins, athées, apostats, indifférents, schismatiques. L'Europe, si elle veut construire un islam laïque à l'intérieur de ses frontières, devrait encourager ces voix divergentes, leur apporter ses talents, son soutien financier, moral, politique. Il n'est pas de cause plus sacrée, plus grave et qui n'engage la concorde des générations futures. Mais avec une inconscience suicidaire, notre continent s'agenouille devant les fous de Dieu et bâillonne ou ignore les libres-penseurs. Combien de temps l'esprit de pénitence étouffera-t-il chez nous l'esprit de résistance ?

A lire en entier ici : Les deux blasphèmes, par Pascal Bruckner

09:05 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 05 mars 2006

Choc des civilisations ? Non : des philosophies, par André Glucksmann

Il est grand temps que les démocrates retrouvent leur esprit et les Etats de droit leurs principes ; il faut qu'ils rappellent solennellement et solidairement qu'il n'est pas question qu'une, deux, trois religions, quatre ou cinq idéologies décident ce que le citoyen est en droit de dire ou de penser. Il n'en va pas seulement de la liberté de la presse, mais de la permission de nommer un chat un chat et une chambre à gaz un fait abominable, abominable quelles que soient nos croyances et nos fois. Il en va du principe de toute morale : sur cette Terre, le respect dû à chaque individu commence par la mise en évidence universelle et le rejet commun des plus flagrants exemples d'inhumanité.

Point de vue à lire en entier ici

20:53 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 03 mars 2006

Georges Frêche poursuivi pour injures publiques

Dossier à lire ici, avec notamment l'extrait audio des propos de Georges Frêche

11:45 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (7)

L'ère du réflexe

Mais Villepin ne joue pas le jeu. Il va trop vite. En désarmant les médias, il laisse crûment apparaître ce qu'ils tentent de cacher : leur inclinaison profonde à la résonance plutôt qu'au raisonnement, leur soumission aux réflexes plutôt qu'à la réflexion.

Article à lire ici

09:25 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (4)

mercredi, 01 mars 2006

Les antisémitismes français

A lire ici

11:26 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 28 février 2006

Ce que Ségolène nous apprend

A lire ici

15:18 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 27 février 2006

Quel pitre ce Villepin !

Il va nous déclarer la guerre avec l'Italie, on aura tout vu !

22:02 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1)

dimanche, 26 février 2006

Je crois aux forces de l'esprit, je ne vous quitterai pas (TAS suite)

medium_veronese05.jpgExtrait du Journal du mois de Philippe Sollers, JDD du jour :

Jusqu'où pourra aller Ségolène Royal ? Ce qui est sûr, c'est qu'elle est en train de vieillir d'un coup ses partenaires socialistes. Ils pérorent, elle se tait. Ils font semblant d'avoir un programme, elle n'en a pas, d'où sa force. On dit qu'elle n'est qu'une image, mais nous sommes définitivement dans une société d'images. Plus profondément, on a oublié la déclaration métaphysique de Mitterrand avant sa disparition : "Je crois aux forces de l'esprit, je ne vous quitterai pas". Le miracle de Jarnac a eu lieu : Mitterrand s'est bel et bien réincarné sous nos yeux à travers sa fille, mais aussi à travers l'absente, Ségolène elle-même. Le vieux magicien avait préparé son coup fantastique : revenir en femme parmi nous, en force tranquille souriante et rassurante. Toutes les angoisses, toutes les catastrophes, toutes les violences travaillent pour Ségo. C'est l'infirmière courageuse et chic qu'il nous faut. Et c'est là qu'il convient d'écouter attentivement Bernadette Chirac depuis la ville sainte de Bénarès : "Segolène Royal peut être une candidate sérieuse, elle peut même gagner. Ses petits camarades socialistes ne lui feront pas de cadeaux, mais l'heure des femmes a sonné. Regardez Angela Merkel en Allemagne. Ségolène a un look, et à l'heure actuelle ça compte beaucoup. A l'avenir il y aura de plus en plus de femmes pour commander les hommes. C'est bien embêtant pour eux mais c'est ainsi. " Eh bien si Bernadette le dit, c'est parti.

Paolo Véronèse, Léda et le cygne

12:22 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (10)