mardi, 20 juin 2006
La firme
14:01 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
Là-bas si j'y suis
10:14 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 08 juin 2006
Tsunami sur l'Elysée
19:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (2)
samedi, 13 mai 2006
Vive la liberté !
Le régime est toujours de boue, comme l'écrivait "Le canard enchaîné" il n'y a pas longtemps !
18:06 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (13)
mercredi, 10 mai 2006
Ce n'est plus un gouvernement
10:58 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 08 mai 2006
Une bonne idée !
Avec vos factures de téléphone, d'électricité, vous recevez des publicités. Ne les jetez pas ! Joignez-les à votre paiement, laissez-leur le soin de s'en débarrasser ! Vous recevez des courriers pour des prêts, des cartes de crédit, souvent accompagnés d'enveloppes pré-affranchies : "T". Débarrassez-vous de tous ces courriers inutiles en les mettant dans les enveloppes "T" ! Envoyez ainsi la pub du dépanneur local à votre opérateur de téléphonie, le coupon-rabais de pizzas à votre banque, etc. Pensez à vérifier que vos coordonnées ne figurent pas sur les documents envoyés en retour, et amusez-vous bien !
22:05 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (2)
jeudi, 04 mai 2006
Une autre époque
"Ceux qui lancent ces boules puantes finissent par sentir plus mauvais que ceux qui les reçoivent", avait un jour déclaré le général de Gaulle pour expliquer son refus d'"utiliser" dans la campagne présidentielle de 1965 la francisque reçue par François Mitterrand pendant la guerre. C’était une autre époque où le président de la république payait les factures d’électricité de ses appartements privés, pas encore celle des "frais de bouche", pour ne parler que ça.
Extrait de l'édito de Jean-Marcel Bouguereau, Nouvel Observateur
09:18 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (2)
mercredi, 03 mai 2006
La chute
09:29 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 02 mai 2006
La pub s'incruste dans nos neurones
Paris, Marie passe devant une affiche de cinéma. Automatiquement, la bande-annonce se télécharge sur son téléphone portable vidéo. L'adresse du cinéma le plus proche apparaît ainsi que l'horaire de la prochaine séance en version originale puisqu'elle est professeur d'anglais. Tentée, elle achète sa place en ligne pour une séance dans une heure. Une publicité pour une chaîne de restauration rapide toute proche s'affiche alors sur son écran. Si elle s'y rend immédiatement, une promotion sur sa formule préférée lui sera offerte. En chemin, son oeil s'arrête sur un écran publicitaire électronique qui la "reconnaît". Une animation s'affiche : veut-elle participer à un jeu concours pour une crème revitalisante adaptée aux femmes de 40 ans, l'âge de Marie ? Elle est séduite, mais ça, la marque le sait déjà grâce à son étude de "neuromarketing". Résultat : elle reçoit dans la minute un bon d'achat sur son téléphone portable.
13:37 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (4)
Le style c'est l'homme
“J'aurais aimé être informé qu'on savait que je n'avais pas à être suspecté”
C'est le style du futur Résident de la République, à lire ici
12:15 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
Ethique en toc
09:51 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 14 avril 2006
L'arrogance est un signe des temps
La cocaïne, ça fait juste des cons arrogants, bavards, très sûrs d'eux, agressifs, paranos, certainement pas géniaux (...)
14:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (7)
Place aux événements voyous, par Jean Baudrillard
Le pouvoir, lui ou ce qu'il en reste, n'a plus qu'une fonction sécuritaire, préventive et policière : annuler, liquider, effacer les traces de ces événements hors norme. Quant à en effacer les causes, c'est impossible il faudrait changer toutes les données ; or le pouvoir tel qu'il est ne vit que de cette situation pourrie. Désamorcer de telles situations, sauver les apparences (exactement ce qui se fait actuellement en France). Mais on sait que toutes ces procédures de récupération n'ont jamais fait que fomenter d'autres événements plus graves encore. Derrière les défis idéologiques des uns aux autres, derrière la confusion de la scène médiatique, il faut saisir quelle situation mondiale est en jeu : celle de l'affrontement entre une puissance hégémonique, maîtresse des rapports de force, et une résistance irréductible qui peut surgir de partout.
A ce niveau-là, les jeux ne sont pas faits, et le suspense est total.
09:32 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (4)
mardi, 11 avril 2006
Condamnation de Jean-Michel Maulpoix
Communiqué :
L'écrivain Jean-Michel Maulpoix, également professeur à l'Université de Nanterre et Président de la Maison des écrivains, vient d'être condamné par la Cour d'appel de Montpellier à 5000 euros d'amende et de frais de justice pour avoir relayé sur son site web personnel un témoignage relatif à des violences policières. Par la même décision, la Cour relaxe le poète Brice Petit, auteur de ce récit largement diffusé sur internet.
Il n'y a eu aucune instruction du dossier. Jean-Michel Maulpoix n'a jamais eu affaire à la justice. Il ne connaissait ni Brice Petit ni les personnes visées par ce texte. Personne ne lui a jamais demandé le retrait de ce texte de son site, ni de la quinzaine d'autres qui l'ont également publié sans être inquiétés. Il a seulement accompli un geste de solidarité citoyenne sur internet.
Dans son texte Brice Petit reprochait aux agents de police de l'avoir brutalisé et mensongèrement accusé d'outrage. Il a été relaxé de l'accusation d'outrage par la même décision qui condamne Jean-Michel Maulpoix. Il a aussi été relaxé des poursuites engagées contre lui pour avoir affirmé que les policiers l'avaient brutalisé. C'est donc qu'il disait la vérité et c'est donc la vérité que le texte publié sur internet dénonçait.
Mais Jean-Michel Maulpoix, simple internaute solidaire, a lui été condamné grâce aux règles procédurales de la diffamation qui lui interdisent de démontrer qu'il a dit la vérité et qu'il était de bonne foi. On lui a appliqué à la lettre une loi obsolète au bénéfice de policiers dont les mensonges et la brutalité ne sont pas démentis par la même décision de justice
Existe-t-il une liberté d'expression si elle ne protège pas une personne qui dit la vérité et est de bonne foi ?
Soutien : soutien.maulpoix@gmail.com
Lettre de JM Maulpoix :
Chers amis,
Je vous remercie de vos messages de soutien. Le mieux que l'on puisse faire est de donner quelque publicité à cet insensé verdict. Il faudrait que des écrivains, des libraires, des éditeurs, des animateurs de sites internet ou de blogs, et de simples lecteurs, protestent contre l'absence de discernement et de mesure de l'aveugle machine judiciaire qui met en cause la liberté d'expression qui nous est chère.
Je vous transmets, à ce propos, le texte d'un communiqué rédigé par mes avocats. Si vous en avez la possibilité, aidez-moi à le répandre...
Bien amicalement à vous,
JM.Maulpoix
10:57 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 10 avril 2006
"De battre le pavé mon coeur s'est relancé."
Eric Fottorino, dans sa chronique du jour du Monde, note cette formule trouvée par un manifestant anti-CPE, en hommage au film de Jacques Audiard bien sûr. Lequel, par son titre, nous rappelait que la poésie tient parfois à des petits riens. En effet les mêmes mots, dans leur ordre normal n'auraient pu faire un titre de film, alors que là... En attendant, sans doute que la vie de nombreux lycéens et étudiants aura pris un cours nouveau, ce printemps...
15:59 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3)
vendredi, 07 avril 2006
Italie : le mal-être de la "génération 1 000 euros"
19:33 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
La stratégie de Lisbonne
De quoi s’agit-il ? Lors d’une réunion qui s’est tenue en mars 2000 dans la capitale portugaise, le Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement s’est fixé comme « objectif stratégique » à l’horizon 2010 de « devenir l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde, capable d’une croissance économique durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale ». Derrière ce slogan alléchant, la liste de 28 objectifs à atteindre par chaque gouvernement est plus discutable, puisqu’il s’agit entre autres « d’accélérer la libéralisation » de services publics « tels que le gaz, l’électricité, les services postaux et les transports », de procéder à « l’élimination des entraves aux services » et de « moderniser » la protection sociale, notamment en « supprimant les obstacles à l’investissement dans les fonds de pension ». Certains objectifs se contentent d’indiquer des orientations, l’Union jouant un rôle de coordination : les États membres sont invités à « réduire le niveau général des aides d’État », à « réduire la pression fiscale qui pèse sur le travail » ou encore à « relever le niveau d’emploi », ce qui justifie de reculer l’âge de la retraite, etc. Toutes les « réformes économiques et sociales » d’ampleur étaient sous-tendues par l’idée qu’il était possible de faire du social par la voie libérale.
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jeudi, 06 avril 2006
Le petit Nicolas et l'âne mort
Le petit Nicolas déménage à la campagne et achète un âne d'un vieux fermier pour 100 euros. Le fermier doit livrer l'âne le lendemain mais justement, le lendemain...
- Désolé fiston mais j'ai une mauvaise nouvelle, l'âne est mort.
- Bien alors, rendez-moi mon argent.
- Je ne peux pas faire ça. Je l'ai déjà tout dépensé.
- OK alors, vous n'avez qu'à m'apporter l'âne.
- Qu'est-ce que tu vas faire avec ?
- Je vais le faire gagner par un tirage au sort.
- Tu ne peux pas faire tirer un âne mort !
- Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu'il est mort.
Dans sa situation, le fermier se dit qu'il ne peut pas vraiment refuser. Il ramène donc l'âne au petit Nicolas. Un mois plus tard, il revient voir le petit Nicolas :
- Qu'est devenu mon âne mort ?
- Je l'ai fait tirer au sort. J'ai vendu 500 billets à 2 euros l'unité et j'ai fait un profit de 898 euros.
- Et personne ne s'est plaint ?
- Seulement le gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 euros."
Épilogue : Nicolas a vieilli et est devenu...
16:48 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
"Avec lui, vous verrez, ce sera baroque"
François MITTERRAND l’avait prédit à la sortie de son dernier Conseil des ministres : Jacques CHIRAC sera président de la République, et, avec lui, "vous verrez, ce sera baroque".
16:40 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
Je suis un couillon
Les électeurs de gauche, insultés par le président du conseil, créent un mouvement : "Je suis un couillon"
13:23 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)