lundi, 10 avril 2006
"De battre le pavé mon coeur s'est relancé."
Eric Fottorino, dans sa chronique du jour du Monde, note cette formule trouvée par un manifestant anti-CPE, en hommage au film de Jacques Audiard bien sûr. Lequel, par son titre, nous rappelait que la poésie tient parfois à des petits riens. En effet les mêmes mots, dans leur ordre normal n'auraient pu faire un titre de film, alors que là... En attendant, sans doute que la vie de nombreux lycéens et étudiants aura pris un cours nouveau, ce printemps...
15:59 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
La poésie N'EST QUE de petits riens!
Moult merci!
Écrit par : sancho | lundi, 10 avril 2006
Maigre consolation
Écrit par : Qwyzyx | lundi, 10 avril 2006
Voire...
Écrit par : Ray | lundi, 10 avril 2006
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