vendredi, 05 janvier 2018
Stephen Mcnally
21:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stephen mcnally
Claude Monet
13:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : claude monet
jeudi, 04 janvier 2018
Il ne voulait pas être président !
23:52 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 02 janvier 2018
Partons. Partons enfin. Partons loin.
20:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 31 décembre 2017
Oh ! ça se gâte !
19:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bon envol !
19:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 29 décembre 2017
La pluie, par Gustave Caillebotte, 1875
20:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gustave caillebotte
mercredi, 27 décembre 2017
Rock and roll déjà
Franz Hals
10:20 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : franz hals
mardi, 26 décembre 2017
Matière
"Le rêve est l'aphorisme du sommeil."
Georges Perros
10:00 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges perros
samedi, 23 décembre 2017
Voie
"L'écriture est la peinture de la voix."
Voltaire
Photo : Monica Denevan
08:59 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : voltaire
jeudi, 21 décembre 2017
Dialogue
Alla Sokolova, Dialog (Siena international Photography Awards, 2016)
18:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 20 décembre 2017
Happy birthday
Paul Klee, Fire at Full Moon - 1933. Happy birthday to the father of abstract art, born on this day in 1879.
19:17 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paul klee
dimanche, 17 décembre 2017
Troisième acte
« J’ai la tête et les mains si pleines du troisième acte qu’il ne serait pas étonnant que je me transforme moi-même en troisième acte »
Mozart
Extrait de Roman de romans, Raymond Alcovère, 2016, éditions les Réfractaires
Photo de Wayne F. Miller, Naples 1944
13:39 Publié dans Roman de romans | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mozart, roman de romans
vendredi, 15 décembre 2017
Sérieux !
« Un homme sérieux a peu d'idées. Un homme à idées n'est jamais sérieux. »
Paul Valéry
Photo de Graham Smith
17:52 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paul valéry
(Proverbe d'origine inconnue)
N'essayez pas d'impressionner les autres, essayez de vous impressionner vous-même
(Proverbe d'origine inconnue)
Photo : Dina Kiriakou
03:26 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dina kiriakou
jeudi, 14 décembre 2017
Le ciel
"Le ciel a-t-il formé cet amas de merveilles
Pour la demeure d'un serpent ?"
Pierre Corneille
22:41 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre corneille
samedi, 09 décembre 2017
Comme ces livres qui sont vraiment des livres
"Je me disais : ce livre tombe à pic ; comme tous les livres, comme ces livres qui sont vraiment des livres, il arrive au bon moment."
Yannick Haenel, Cercle
21:45 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : yannick haenel
samedi, 02 décembre 2017
Les escaliers de San Felice, le bien nommé
Spaccanapoli. Merveilles du baroque, les escaliers de San Felice, le bien nommé. À l’image de la ville, vastes, ronds comme des coquilles, tournoyants, espace perdu mais peu importe, beauté, rondeurs, plaisir... Les églises ressemblent à des bonbonnières, des biscuits, écrins parfumés, bariolés, lardés de marbre, de stucs, blancs, écrus, roses, verts, pendeloques, niches, tableaux, gris-gris, tout est fait pour que l’esprit chavire, se perde. Ici les plus belles choses sont cachées, les napolitains préfèrent les garder pour eux. Souvent rien ne signale l’entrée d’une cour superbe, d’un escalier virevoltant, d’une église étincelante. Sans doute un des secrets du bonheur, vivre caché...
L’art à Naples n’est pas séparé de la vie, tous ces édifices sont habités, occupés, une statue soutient un fil à étendre le linge, dans cette cour des vespas sont entassées. Invasion rassurante, au contraire de ces villes-musées, léchées, sans aspérités, froides. Commerciales.
Rien de plus étranger aux napolitains que le rendement, l’efficacité. Les glaces qu’ils ont inventées, ils ont laissé aux milanais le soin de les commercialiser, de s’enrichir. Le plaisir de l’instant l’emporte sur tout.
Raymond Alcovère, extrait de Fugue baroque, roman, prix 98 de la ville de Balma, n&B éditions
20:42 Publié dans Fugue baroque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fugue baroque, naples
jeudi, 30 novembre 2017
À voir changer la couleur des pierres, surgir la lumière crue et acide du Sud
À voir changer la couleur des pierres, surgir la lumière crue et acide du Sud, l’âpreté qui annonce les rivages de la Méditerranée, je revivais. L’odeur des aiguilles de pin brûlées, leur bruit sec, craquant sous le pas, la torpeur sous la canicule, l’attente interminable des siestes sans sommeil de l’enfance, le temps arrêté, puis le soir, vent marin qui s’insinue, rédemption, flots de fraîcheur à travers les rues, fluidité et mouvement partout, toutes ces sensations remontaient à la surface. J’étais heureux du chemin parcouru. S’y mêlaient l’apaisement du retour, une envie de quiétude. Michel était le meilleur ami de mon oncle. Il m’hébergea le temps que je m’installe. C’était bon de parler ma langue, entendre son accent, retrouver les phrases, les intonations de l’enfance. Pendant toute une semaine, temps humide et doux, partir à la pêche au petit matin, casser la croûte avec un verre de vin clairet à la première chaleur, puis rentrer dès que le vent tourne au Nord, la mer devenue plaque incandescente, criblée de moutons bondissants, respirer les odeurs de sel comme un peu de soi, imaginer cette côte encore sauvage, avec les moustiques, les macreuses aux reflets myosotis qui glissent sous leurs flancs le bleu du ciel, les étangs regorgeant d’anguilles, sans le bruit des avions, des voitures et des bateaux à moteur.
Raymond Alcovère, Le Bonheur est un drôle de serpent, roman, Lucie éditions, 2009, extrait
Photo : Eric Frey
18:33 Publié dans Le Bonheur est un drôle de serpent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le bonheur est un drôle de serpent
Summer Wind, photography by Andreas Heumann
16:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : andreas heumann