lundi, 06 juillet 2009
Les mollahs disent merci à Bambi
02:35 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (4)
dimanche, 05 juillet 2009
Un peu de Malraux alors...
« L'artiste n'est pas le transcripteur du monde, il en est le rival »
« Le plus grand mystère n'est pas que nous soyons jetés au hasard entre la profusion de la matière et celle des astres ; c'est que, dans cette prison, nous tirions de nous-mêmes des images assez puissantes pour nier notre néant »
« L'art transforme le destin en liberté, c'est un anti-destin »
Photo : Malraux (à droite) lorsqu'il partit dans les années 30 en expédition pour retrouver la reine de Saba
01:02 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : andré malraux
samedi, 04 juillet 2009
L'évangile selon saint Selon
Rimbaud, qui, écrit-il, devient un " opéra fabuleux " (paroles et musique), voit son âme éternelle, et lui donne l'ordre, en la tutoyant, d' " observer son voeu, malgré la nuit seule et le jour en feu ". Un voeu qu'on a prononcé, et qu'on observe (double sens du mot) , passe au-delà de la nuit et du jour. Là, de façon peu démocratique, elle se " dégage des humains suffrages, des communs élans, elle vole selon ".Tchouang-tseu
03:56 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : nina houzel, philippe sollers, tchouang tseu
Les poèmes
03:33 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : roland giguère
vendredi, 03 juillet 2009
Sans doute, un jour...
"Sans doute, un jour, devant les étendues arides ou reconquises par la forêt, nul ne devinera plus ce que l'homme avait imposé d'intelligence aux formes de la terre en dressant les pierres de Florence dans le grand balancement des oliviers toscans."
André Malraux; Les Voix du silence
11:24 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : andré malraux, toscane
jeudi, 02 juillet 2009
Un seul est parti
Une souris mélancolique me regarde pendant que je fais la vaisselle. Il y a quelques jours déjà qu'elle sort du tas de bois que j'ai monté devant la fenêtre, et qu'elle me regarde à travers la vitre. Elle a dû faire son nid entre les bûches, et lorsqu'elle entend l'eau de mon évier couler dehors, elle grimpe tout en haut du tas, et ses yeux gris m'évoquent la mélancolie.
A lire ici la suite de cette nouvelle de Hubert Mingarelli :
http://www.telerama.fr/livre/la-mer-la-baie-de-somme-une-...
Photo de Henri Cartier-Bresson
00:31 Publié dans Nouvelle | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : hubert mingarelli, henri cartier-bresson
mercredi, 01 juillet 2009
La gloria di colui che tutto move
La gloire de celui qui meut toutes choses00:15 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1)

















