lundi, 18 septembre 2006
Bethsabée recevant la lettre de David
Apparemment, celui-ci on est sûr qu'il est de Willem Drost, élève de Rembrandt, superbe ! Merci VK
22:18 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Rembrandt, Drost, Sollers
Le cavalier polonais
Rembrandt, lire ici
19:04 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : Rembrandt, Sollers, cavalier polonais
Un simple passager de l’éternel retour du Salut
Il fait son travail intense et compliqué de mélodies et de rythmes, il devient un corps-parole, un corps-mélodie, un corps-rythme, de façon à aller, par-delà la mort, dans un monde qu’il se sera fait. Il n’est pas exclu que, pendant son voyage, il tombe sur une déesse « vêtue d’espace », portant au cou un collier de crânes et, autour du buste, des nœuds de serpents. Il n’est pas exclu non plus qu’il apprenne à faire parler et danser les cailloux, les pierres, les rochers. Le voici donc, avec sa poignée d’herbe, allant du profane au sacré.
Pour le retour, il ne va évidemment pas dire, qu’il quitte la vérité pour aller vers la fausseté. Sa formule est délicate et modeste : « Maintenant, je suis seulement ce que je suis. »
Où suis-je ? Qui suis-je ? Un simple passager de l’éternel retour du Salut. Mais oui, du Salut.
Paris, le 30 septembre 118
Philippe Sollers, Une vie divine, fin du livre. D'autres extraits à lire ici
13:30 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Sollers, Une vie divine, Salut
Riviera di Chiaia
Le soleil est brûlant à l’extérieur, avec le bruit vermeil de l’été, les ombres longues qui descendent sur la ville, et ce moutonnement de bruit. Je marche seul, parmi les ombres. Elle est là, souvent, qui me parle dans le dos, guide ma marche. Son souffle léger, comme un murmure de vent, dans un roulis d’étoiles, et ce parfum entêtant. Je sens la douceur de ses mains, suis enveloppé par son être chaud, suivi par son ombre, arpentant les rues. Riviera di Chiaia. De là j’aime à monter sur les hauteurs, passer de la lueur extrême aux plaines de l’ombre. Dans les bassi où le soleil n’arrive jamais. La ville la plus lumineuse d’Europe, la plus brûlante a le goût des cryptes, des catacombes, ce besoin d’un retour quotidien vers les entrailles de la terre, les origines.
(Extrait de "Fugue baroque", n & b éditions)
09:31 Publié dans Baroque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fugue baroque, Naples
dimanche, 17 septembre 2006
n'importe quelle explication vaut mieux que pas d'explication du tout
Ramener quelque chose d'inconnu à quelque chose de connu, cela soulage, rassure, satisfait, et procure en outre un sentiment de puissance. Avec l'inconnu, c'est le danger, l'inquiétude, le souci qui apparaissent - le premier mouvement instinctif vise à éliminer ces pénibles dispositions. Premier principe : n'importe quelle explication vaut mieux que pas d'explication du tout. Comme au fond il ne s'agit que d'un désir de se débarrasser d'explications angoissantes, on ne se montre pas très exigeant sur les moyens de les chasser : la première idée par laquelle l'inconnu se révèle connu fait tant de bien qu'on la " tient pour vraie ". La preuve du plaisir (ou de l'efficacité) comme critère de la vérité... Ainsi, l'instinct de causalité est provoqué et excité par le sentiment de crainte. Aussi souvent que possible le " pourquoi ? " ne doit pas tant donner la cause pour elle-même qu'une certaine sorte de cause : une cause rassurante, qui délivre et soulage.
Nieztsche, Le crépuscule des idoles
Peinture de Frédérique Azaïs
20:34 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Nietzsche, causalité, Frédérique Azaïs
Lexique d'anthropoclastie
Plage : mine de pétrole à ciel ouvert
Patrie : surface géographique que le con défend jusqu'à la mort bien qu'il n'en soit pas propriétaire
Obéir : reconnaître la supériorité d'un autre. En obéissant continuellement, nous prouvons sans contexte notre infériorité
Libéraliser : travailler au retour de l'esclavage
Havane : Gode de riche. Chez les sado-masochistes, on l'utilise allumé
Ecu : ancêtre de l'€. Dommage, on a râté des expressions du genre : L'écu baisse en bourse.
Démocratie : Partage du pouvoir entre plusieurs dictateurs.
Malchance : bouc-émissaire de notre incompétence.
Ukase : Toute décision prise par un homme politique. "Il me manque une ukase" (Nicolas II)
Cher : Qualité d'un être que l'on apprécie beaucoup, sans oublier qu'il faut battre le cher quand il est faux.
Misogyne : 1. Sage s'il s'agit d'un homme. 2. D'une intelligence très supérieure à l'homme s'il s'agit d'une femme.
Autrefois : Quand il faisait soi-disant bon vivre.
Eric Dejaeger, éditions Gros textes. Rions de soleil, Cave de Fontfourane, 05380 Châteauroux les Alpes
15:34 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : Eric Dejaeger, humour, dictionnaire
Frédérique Azaïs, peintre
10:17 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Peinture abstraite, Frédérique Azaïs
Appel à candidatures
09:00 Publié dans Infos pratiques | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Appel à candidatures, trains de culture, languedoc-roussillon
samedi, 16 septembre 2006
Gildas Pasquet, photographe
Photo : Gildas Pasquet
03:35 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photo, Gildas Pasquet
vendredi, 15 septembre 2006
Jours d’une légèreté extraordinaire
Jours d’une légèreté extraordinaire, tout à coup, par effraction, un coin de ciel entrevu, un tableau de Ruysdael, voluptueux, vaporeux, tourmenté, translucide, vrai. Une coupe de fruits et ses volumes comme les a vus Cézanne, un ami rencontré, la vraie beauté est simple, sans fioritures, évidente, la voix de Louis Armstrong It’s a wonderful world , la révolution va se dérouler ainsi, furtivement et dans la beauté, le vieux monde s’affaissera comme un château de cartes.
22:30 Publié dans En cours d'écriture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ruysdael, révolution, légèreté
En inventant l'écrivain
"La génialité même est indissolublement liée à la bêtise ; et l'interdiction, sous peine de passer pour bête, de trop parler de soi, l'humanité a su la tourner de façon originale : en inventant l'écrivain. Lui, a le droit, au nom du sens de l'humain, de raconter qu'il a bien mangé, que le soleil brille dans le ciel, il le droit de s'extérioriser, de divulguer des secrets, de faire des confidences, de livrer brutalement des bilans personnels - du moins nombre d'entre eux y tiennent-ils ! - ; tout cela comme si l'humanité s'autorisait là exceptionnellement tout ce qu'elle s'interdit ailleurs. de la sorte, elle parle inlassablement d'elle-même et se trouve avoir raconté déjà des millions de fois, grâce aux écrivains, les mêmes histoires et les mêmes aventures, sans en retirer pour elle le moindre progrès ou gain de sens. Ne serait-elle pas là, dans l'usage qu'elle fait de sa littérature et la docilité de celle-ci à cet usage, suspecte à son tour, après tout de bêtise ?"
De la bêtise, Robert Musil, éditions Allia
Merci à Thomas d'avoir recopié ce texte sur le blog de JLK
09:15 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Musil, bêtise, écrivain
jeudi, 14 septembre 2006
La Baignoire, ça repart !
21, 22 et 23 septembre à 19 heures
« TORÉADORS »
de Jean-Marie Piemme
avec Gregory Nardella et Béla Czuppon
D¹un côté, Momo, l¹émigré du Sud intégré dans la gérance d¹un petit salonlavoir ; de l¹autre Ferdinand, fils de la blanche Russie, cadre désintégré et sans domicile fixeŠ
Un texte d¹une ironie grinçante et jubilatoire sur la compétition dans notre monde libéral.
Entrée : 5 euros
29, 30 septembre et 1er octobre de 15HOO à 20H00
Karen Thomas,
artiste peintre, exposition dans le cadre de « Montpellier Quartiers Libres ». Textes de Magali Wiener.
Entrée Libre
Le programme de la première partie de la saison sera disponible sur place dès la première manifestation.
Nous vous attendons nombreux pour partager avec vous des moments de découverte et d'échange durant cette nouvelle saison !
Parlez-en!
Merci
À bientôt
Béla Czuppon
La Baignoire, 7 rue Brueys 34000 Montpellier
tel 06 14 47 06 99
18:52 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : La baignoire, théâtre, Nina Houzel
L'Occident incarne la crise elle-même
Je crois que l’Occident n’est pas en crise pour la bonne raison qu’il incarne la crise elle-même, qu’il est le facteur de la crise permanente, de crise au sens tragique, révolutionnaire ou contre-révolutionnaire, au sens négatif mais aussi au sens positif. C’est-à-dire qu’on peut faire d’une part un tableau extraordinaire de toutes les négativités de la culture occidentale, de sa gestion de la mort, un tableau qui irait, si vous voulez, de l’Inquisition au nucléaire, en passant par les camps de concentration, et puis d’autre part faire aussi, exactement de façon symétrique, un tableau de ses positivités qui irait de la peinture à la musique en passant par la littérature et par tout ce que vous voudrez comme sublimation, comme art, comme philosophie, comme connaissance. Donc, l’Occident, je crois qu’il faut le définir comme ça : c’est le principe même de la crise. Critiquer l’Occident, c’est critiquer la crise, c’est-à-dire penser qu’il pourrait y avoir un état sans contradiction de l’humanité, un âge d’or, une résolution des conflits, quelque chose qui tendrait à un messianisme...
A lire sur le blog de Victor Kirtov, cette passionnante interview de Philippe Sollers (datant de 1980) sur le thème : Occident et monde de l'Islam, on a encore rien vu
08:34 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Occident, Islam, Sollers
mercredi, 13 septembre 2006
Nina Houzel, suite
Photo : Nina Houzel ; Voir ici son site
19:05 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : photo, Nina Houzel
Nina Houzel
Photo : Nina Houzel ; Voir ici son site
15:30 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photo, Nina Houzel
J'écris court par altruisme : je n'aime pas emmerder les gens
Croire que l'on est quelqu'un, c'est refuser d'être soi
OTAN, suspends tes vols !
A quoi bon changer de place ? A cinquante mètres d'ici ou aux antipodes, il y a toujours un con à proximité.
Les blondes incendiaires ont-elles une incidence sur le réchauffement de la planète ?
Pour une fois que j'étais l'homme de la situation, il n'y avait pas de situation...
Quand je serai poussière, y aura-t-il encore du vent ?
Et si Dieu n'était pas un autodidacte ?
Le film X le plus cher de l'histoire du cinéma ? Le Titan nique
Taguer un mur, c'est accepter son existence
J'écris court par altruisme : je n'aime pas emmerder les gens
Extraits de : Les pensées d'un ortieculteur, Eric Dejaeger, Les ateliers du Tayrac (05 65 62 14 50)
09:56 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Eric Dejaeger, humour
mardi, 12 septembre 2006
Maîtres
« Quand on ne sait pas, on croit que ce sont ceux qui savent qui vous arrêtent. Alors qu’au contraire, si on les fréquente, au lieu de vous encombrer, ils vous prennent par la main et vous font gentiment balbutier votre petite histoire. »
Cézanne visitant le Louvre avec Joachim Gasquet, à propos des « Vénitiens et des Espagnols »
08:45 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Cézanne
lundi, 11 septembre 2006
Occi'zen, enfance et art
invente des rencontres pour relier les petits et les grands,
pour ‘alléger’ la souffrance des enfants en difficulté (physiques et/ou psychologiques).
L’association crée ainsi des passerelles entre les univers culturel, artistique et humanitaire :
enfants en difficulté, artistes, peintres, photographes, sculpteurs, écrivains.
Ils se découvrent ou se retrouvent autour d’événements :
expositions de photos et peintures, Machine à contes et spectacles pour enfants, Festival du monde, parcours artistiques …
Toujours, avec la volonté de créer un échange et un partage, Occi’zen offre ces moments au grand public,
là aussi de tous horizons et dans des lieux toujours différents : Ecole, Restaurant Le Jardin des Sens, Maison pour tous etc.
Agir pour les enfants d’ici et d’ailleurs
En France, action menée depuis début 2004 au sein de l’hôpital : ateliers peinture pour les enfants lourdement opérés.
Cet échange permet aux enfants de vivre un moment à part, une bulle ‘d’Occi’zen’ dans un quotidien souvent très lourd.
Des missions sont réalisées à l’étranger, notamment Maroc :
- collecte de vêtements, chaussures, cahiers, fournitures pour distribuer directement aux plus démunis,
- rencontre enfants et artistes et création commune (dessins, peintures…), spectacles de rues...
Suite à des collectes organisées en France, dans les écoles et auprès des particuliers, Occi’zen a réalisé dix missions depuis 2003 dans les villages de Ouled Driss et Mhamid (portes du désert marocain) et à K’laa M’Gouna, dans la montagne à proximité de Ouarzazate. Les affaires sont données directement aux enfants et familles qui en ont besoin. Ces échanges sont possibles grâce à la collaboration avec les institutions, le chef du village, les instituteurs, l’équipe médicale.
l’instant du conte : relier les petits et les grands. Ce recueil de contes a été inventé par l’association. Il est vendu 10 euros au profit de l’enfance en difficulté. Un recueil acheté permet d’en offrir un aux enfants (hôpital et école en France, école Maroc…).
Projets 2006, 2007…
En France : poursuivre les ateliers peinture/enfant au sein de l’hôpital, réaliser un défilé de mode avec des enfants en difficulté, offrir aux enfants de l’hôpital un ballet sur la naissance et la vie…
Au Maroc : rénover une école aux portes du désert, amener des fournitures et vêtements, initier une Caravane des Couleurs avec : crèche, infirmerie, alphabétisation et rencontre avec les artistes et les enfants en chemin, construire une maison aux enfants et aux étoiles pour accueillir les enfants abandonnés avec : aide à la scolarisation (soutien scolaire, bourse et parrainage, fourniture de vélo et cartable), hygiène de vie et espace ouvert sur l’art (danse, théâtre, peinture…).
Une bulle d’Occi’zen pour les enfants : Occi’zen travaille avec des associations ou structures spécialisées dans le domaine de l’enfance, avec des partenaires institutionnels et privés pour inventer des événements et sorties pour les enfants, pour créer une ‘bulle d’Occi’zen’ dans leur quotidien, un moment à part. Un moment où l’enfant oublie sa souffrance et retrouve l’adulte, accompagnateur et positif. Ces événements sont toujours reliés à l’art, qui ouvre les portes de l’imaginaire des petits et des grands et facilite la création et le lien de manière universelle et naturelle.
Suite à une opération à l’hôpital, les enfants ne peuvent pas toujours se déplacer. Un artiste de l’association, Gildas Pasquet a imaginé de créer un tee-shirt ‘Occi’zen’ en série limitée pour financer la réalisation d’une table horizontale. Ainsi, les enfants peuvent dessiner allongé et oublier un instant leur souffrance.
50 artistes pour aider les enfants…
Pour la 2ème année consécutive, Occi’zen et son équipe de bénévoles ont organisé une Vente aux enchères de Tableaux au profit de l’enfance en difficulté en partenariat avec le restaurant des frères Pourcel le jardin des Sens, des collectivités, des partenaires privés (Société Générale, Haribo, Sauramps…) et des associations œuvrant dans le domaine de l’enfance.
Cette vente, jardins d’enfance, a rassemblé 50 artistes connus nationalement ou internationalement comme Hervé di Rosa, De Rougemont ; des peintres français, marocains, espagnols…Plus de 250 personnes sont assisté à la Vente aux enchères du 22 novembre 2004. Une partie des bénéfices de la Vente permet de financer les missions Occi’Zen à Ouarzazate au Maroc et d’équiper l’école primaire d’Ouled Driss en matériel (chaises, bureaux…). L’autre partie a été offerte à l’association Gal’hopin qui invite des artistes à l’hôpital pour peindre, chanter avec les enfants malades, pour ‘oublier’ le médical un instant.
Carnaval d’ici et d’ailleurs pour les enfants du désert marocain
Le 22 mai 2004, à l’école primaire de Palavas-les-Flots : atelier dessin avec les enfants et les artistes, déguisement et maquillage, artisanat, exposition photo et peinture sur Enfances d’ailleurs, collecte pour les « enfants du désert ». Plus d’une centaine de personnes ont assisté à la soirée orientale : danse, défilé de mode, repas.
Festival Enfance et Plongée
Septembre 2002 création à Sète du 1er festival Enfance et plongée avec Enzo Majorca, plongeur inspirateur du Grand Bleu ; réalisation d’un clip sur la reconstruction de l’enfant par la plongée.
Peau d’Ane et la machine à rêves pour les enfants défavorisés
Journée La machine à rêves avec le spectacle Peau d’Âne (thème : l’inceste) en décembre 2002 à Montpellier, en présence d’une centaine d’enfants des quartiers défavorisés.
En 2002 : de NRJ au rallye pour les enfants
Sorties avec les enfants type concert avec NRJ avec accès aux coulisses et journées découverte 4x4 et rallye en mai 2002 à Château Lastours dans l’Aude.
09:36 Publié dans Infos pratiques | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : association, humanitaire, enfance
Chaque matin est le premier du monde à nos yeux
Nous ne possédons pas la durée, mais nous vivons l’instant, qui est le vrai mode d’être de la beauté. Cézanne revient cent fois devant la montagne Sainte Victoire, à chaque instant différente, comme chaque matin est le premier du monde à nos yeux. L’Univers existe depuis des milliards d’années, mais chacun de nous le découvre comme pour la première fois. Or la beauté que nous y percevons est à l’origine du sacré. L’intuition du sacré correspond au sentiment profond que l’Univers tend vers quelque chose, comme une fleur tend vers la plénitude de sa présence en beauté.
(Extrait d'une interview de François Cheng par Jean-Louis Kuffer, à lire dans son intégralité ici, à propos de son livre : Cinq méditations sur la beauté)
03:30 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : François Cheng, JLK
dimanche, 10 septembre 2006
L'université populaire de Montpellier ouvre ses portes
Samedi 16 septembre à 19h se tiendra salle Rabelais la séance inaugurale de l'Université Populaire Montpellier Méditerranée, qui aura pour thématique cette année "Individu et société"
Dans le cadre de cette séance, Miguel Benasayag, à l'invitation de l'association des Amis du Monde Diplomatique, donnera une conférence intitulée "la connaissance comme antidote à la domination libérale du monde".
21:07 Publié dans Evénements | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Université populaire, Montpellier