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mercredi, 19 janvier 2022

Rencontres

François Cheng, Stu Levy“N'oubliez pas, on vit juste pour quelques rencontres” : François Cheng
Stu Levy, Golden Gate Bridge, 1994

dimanche, 26 septembre 2021

L’univers

François Cheng, Edd Allen« L’univers n’est pas obligé d’être beau, et pourtant il est beau. »
François Cheng
Photo : Ed Allen

samedi, 28 août 2021

L'arbre et la pierre

François Cheng"L'arbre et la pierre incarnent des vérités essentielles. En eux circulent encore le souffle originel. "

François Cheng

dimanche, 30 mai 2021

Dévisager le visage

François Cheng, RembrandtFrançois Cheng : « Par-delà paysages et corps, l’art occidental est parmi tous les arts du monde celui qui a le plus dévisagé le visage, le plus scruté toutes les facettes de son mystère. Mystère de sa beauté émouvante, mystère non moins hallucinant de sa capacité à glisser vers la hideur. Entre beauté et hideur se concentre sur un visage toute une gamme d’expressions à travers lesquelles la vie irrévélée cherche à se dire : tendresse, ravissement, jubilation, élan et quête, extase, solitude, mélancolie, colère, désolation, désespoir... Parmi tous ceux qui ont sondé ce mystère, Rembrandt, qui vient après les grands Renaissants, est certainement digne d’occuper la place la plus éminente. »
Rembrandt, autoportrait, Scottish National Gallery, Edinburgh

09:53 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : françois cheng, rembrandt

samedi, 21 novembre 2015

Beauté

François Cheng"Le monde n'est pas obligé d'être beau, pourtant il est beau."
François Cheng

vendredi, 13 novembre 2015

Regarder

CThh53YUEAATiEu.jpg« J’aime à rappeler une remarque d’Henri Maldiney selon laquelle le substantif regard et et le verbe regarder sont deux mots que bien des langues peuvent envier au français. Car la combinaison de re et garder est riche de connotations. Plus que le fait de capturer une vue, une image, elle évoque la reprise ou le renouveau de quelque chose qui a été gardé et qui demande, à chaque nouvelle occasion, à être développé en tant que devenir. Ajoutons que le regard comporte en outre l’idée d’égard ; il incite toujours l’être qui regarde à un engagement plus profond. »

François Cheng

mercredi, 26 novembre 2008

Sans le vrai deux, il n’y a pas de vrai trois

DSC_2429.JPG" Je crois que la Chine peut amener quelque chose à l’Occident avec son intuition ternaire. L’Occident a privilégié la logique duelle, ce qui constitue sa grandeur. Cette séparation du sujet et de l’objet fut sa démarche originale. Cela étant, maintenant qu’on a conquis la matière et le monde entier, il est peut-être temps de valoriser la dimension ternaire. La Chine n’a peut-être pas assez privilégié le deux, qui représente le droit, le respect de l’autre, la démocratie et la liberté. Or sans le vrai deux, il n’y a pas de vrai trois."

François Cheng

Lionel André : encre & pastel (2008)

lundi, 11 septembre 2006

Chaque matin est le premier du monde à nos yeux

medium_resultat.jpgNous ne possédons pas la durée, mais nous vivons l’instant, qui est le vrai mode d’être de la beauté. Cézanne revient cent fois devant la montagne Sainte Victoire, à chaque instant différente, comme chaque matin est le premier du monde à nos yeux. L’Univers existe depuis des milliards d’années, mais chacun de nous le découvre comme pour la première fois. Or la beauté que nous y percevons est à l’origine du sacré. L’intuition du sacré correspond au sentiment profond que l’Univers tend vers quelque chose, comme une fleur tend vers la plénitude de sa présence en beauté.
(Extrait d'une interview de François Cheng par Jean-Louis Kuffer, à lire dans son intégralité ici, à propos de son livre : Cinq méditations sur la beauté)