mercredi, 26 novembre 2008
Sans le vrai deux, il n’y a pas de vrai trois
" Je crois que la Chine peut amener quelque chose à l’Occident avec son intuition ternaire. L’Occident a privilégié la logique duelle, ce qui constitue sa grandeur. Cette séparation du sujet et de l’objet fut sa démarche originale. Cela étant, maintenant qu’on a conquis la matière et le monde entier, il est peut-être temps de valoriser la dimension ternaire. La Chine n’a peut-être pas assez privilégié le deux, qui représente le droit, le respect de l’autre, la démocratie et la liberté. Or sans le vrai deux, il n’y a pas de vrai trois."
François Cheng
00:15 Publié dans Chine | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : chine, françois cheng, lionel andré
Commentaires
Oh ! merci pour ces échos et ces liens.
" l'aventure personnelle, l'aventure prodiguée, communauté de nos aurores " René Char (rougeur des matinaux)
en amitié et poésie, bien à vous
Lionel André
Écrit par : lionel andré | mercredi, 26 novembre 2008
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