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lundi, 01 février 2010

Musique

photo_file_3806.jpgTous les arts tendent à la musique, cet art dans lequel la forme est le fond.

Borges

Peinture de Nicolas de Staël

jeudi, 19 mars 2009

Une rondelle ne fait pas le printemps mais...

john-lennon-cropped-480.jpgInstant Karma !

mardi, 10 mars 2009

Michel Arbatz samedi 14 mars salle Rabelais à Montpellier

az.jpgOn a découvert Michel Arbatz dans les années 90 avec son disque consacré à Robert Desnos, auquel Télérama attribua ses ffff. Depuis, il a multiplié les expériences de théâtre musical et produit de nombreux spectacles et albums de chanson.

Son style : Jongleur de mots, funambule du sens, Raymond Devos de la chanson selon certains.

Sur scène, il est accompagné selon diverses formules par des musiciens virtuoses qui empruntent au jazz sa grande liberté d’improvisation, et citent sans complexe java, flamenco ou rythmes maghrébins.

Samedi 14 mars à 21 H salle Rabelais à Montpellier, résa au 04 67 63 60 30 ou :

lamaison2lachanson@gmail.com

Michel Arbatz
chant, textes, guitare, bandonéon, oud, percussions

Olivier Roman Garcia
Guitares, mandoline, sanzas, percussions

Guetteur de la mûrisserie : Philippe Goudard

Régie : Charlie Thicot

az_photo.jpg

 

"Je suis un glose-trotter qui essaie de comprendre le monde. Pas facile : chaque jour, il me  faut tout reprendre de A à Z. Voilà le titre : de A à Z.
Voici donc venir un nouveau spectacle, avec une quinzaine de chansons, poésongs, et sketches originaux. et je me suis enfermé pour pondre cette heure de music-hall.
Je ne savais pas d’avance ce qui allait sortir de ma tête, de mes doigts, et de la scène. Effrayant, n’est-ce pas ?
Bien sûr, je savais quand même deux ou trois choses : mon amour des mots, mon amour des oiseaux, des abeilles et des femmes (les hommes aussi, vous fâchez pas), des poètes, des guitares, et de mon Orient prénatal. Je pratique toujours l’escroquerie instrumentale  (bandonéon, oud et percussions), je clame, je brâme, je slamme parfois et… je rame, aussi, beaucoup.

Je sais aussi que je serai sur scène avec un guitariste qui n’a pas froid aux doigts, Olivier Roman Garcia, un jeune fou échappé d’Alcatraz entre Pat Metheny et le flamenco. Et qu’on aime tous les deux la légèreté, car il faut être très léger, en ces temps de lourdeur, si on veut chanter plus pour rêver plus. Je vous envoie quelques textes. Bons baisers de Sibérie »

Michel Arbatz

Plus d'infos ici

jeudi, 13 novembre 2008

Tempo jazzy

Copie de JAZZ en vrac.jpgJe ne rêve pas, c’est bien Harlem. Des néons clignotent, Minton's Playhouse, halo vanille-sang rogné par le soleil levant. Depuis quand suis-je là, au bord du temps ? Un bail, à croire mon corps pétri jusqu’à la moelle par la jam et le gin qui toute la nuit ont coulé sur le zinc mythique.
Dès l’enfance, le jazz m’a initié aux syncopes du monde, aux ruades de l’âme, dans une famille d’Italiens musiciens, chassés de la botte par la faim, via Nice, jusqu’au Maroc de Lyautey où, un demi-siècle plus tard, les Américains ont débarqué avec les galettes de Softly As In A Morning Sunrise et Sentimental Journey. Sur le Pleyel de la grand-mère, le glissando du Boléro au boogie s’est fait naturellement. Du Pô au Mississippi, la mandoline s’est muée en une six-cordes caressée par Skip James. Le bel canto s’est mis à mâcher le chewing-gum existentiel sous un soleil sans vibrato, exilé dans une capsule de bière collée sous la semelle. Allez, Lightin’, tape du pied! I got something to tell you, Make the hair rise on your head, Well I got a new way of loving, Make the springs scrinch on your bed ! Cheveux dressés sur ma cervelle en marmelade, j'ose à peine touiller ma vie intérieure. Comment j’ai fait pour me retrouver sur le trottoir du Minton's, faudrait le demander au Grand Horloger, mais exit Newton, le temps c’est pipeau et contrebasse, l’espace tient dans un harmonica trituré par Sonny Boy Williamson. Mon magnéto en bandoulière est brûlant, gonflé à bloc de noires et de blanches crochetées dans une fumée d’extase, le brouhaha d’esprits électrisés par Charlie Christian. Immémorial Stompin’ At The Savoy !
Encore sonné, je flotte. À ma droite, guitare sur l’épaule, Charlie a des yeux de lapin ouverts sur le dedans. Pas frais le génie du be-bop, tout rongé, mais du feu sous la peau. Le pianiste nous rejoint, blues au bec. Nous voilà partis vers l’hôtel, à deux pas, mais le film saute.
Coup de canon, il est midi. Je suis à la terrasse d’un café, marché aux Fleurs à Nice. Phébus tape allègrement. Devant moi, un vieux black hilare. Tout me revient en rafale. Hier soir, du beau monde à la Parade du Jazz, Cimiez noir de monde, B.B. King aux Arènes pour les étoiles et puis le trou. Je rate le dernier bus, traîne en coulisse. La bibine circule. Le batteur de Slam Stewart m’emmène, veut faire la Grande Corniche, vider une bouteille face à la mer. On grimpe à Saint-Michel, féérique. Il pleure de joie, fredonne un Spiritual et, scrutant l’horizon tracé par un cargo métaphysique, déroule sa vie dans une langue pâteuse. Il a connu Duke, Parker, Monk, Miles, Coltrane… Le soleil s’impatiente et tire un trait sur la nuit. Il me raconte le Minton's, quand Charlie brodait sur Stompin’ At The Savoy, en mai 41. Non, il ne se souvient pas du pianiste.
Il met son chapeau et se lève. Allez, au lit ! Faut pas trop chahuter les planètes, sinon on perd la boule.

Jean-Jacques Marimbert

Notes sur l'auteur : Né au Maroc au milieu du XXe siècle. Médecin quelques années à l'hôpital, dans la région toulousaine ; mission en 1980 avec MSF dans un camp de réfugiés en Somalie. PRAG de philosophie à l'Université de Toulouse-Le Mirail depuis 2001. Écrit et publie depuis 1995. Dernier livre paru : Le Corps de l’océan, coll. Carnets des Sept collines, Éd. J.-P. Huguet, 2007.

Jazz en vrac : tableau de Ginette Ayral, voir ici son site

 

vendredi, 31 octobre 2008

On a pas la thune

1394123241.jpgVoir et écouter ici la chanson de Damien Saez : Ce mot thune d'abord apparu au pluriel, revient maintenant au singulier, comme ici. A l'origine, il désigne bien une pièce de 5 francs.

dimanche, 24 août 2008

Love in vain

Version live 1972, avec un joli solo final de Mick Taylor, ici

03:43 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : musique, rolling stones

lundi, 16 juin 2008

Le 4 mars 1768

VIVportrait.jpgLe 4 mars 1768, en même temps que l'apparition de Antonio Vivaldi en ce monde, se produit un événement très rare : un tremblement de terre.

22:14 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : musique, vivaldi

mardi, 10 juin 2008

La musique

IMG_8628.jpg« La musique vous parle de vous-même et vous raconte le poème de votre vie : elle s’incorpore à vous, et vous vous fondez en elle. Elle parle de votre passion, non pas de manière vague et indéfinie, mais d’une manière circonstanciée, positive, chaque mouvement du rythme marquant un mouvement connu de votre âme, chaque note se transformant en mot, et le poème entier entrant dans votre cerceau comme un dictionnaire doué de vie. »

Baudelaire
Peinture récente de Frédérique Azaïs-Ferri

00:20 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, baudelaire

jeudi, 01 mai 2008

Cecilia Bartoli

380499331.jpg« Tout son corps est un instrument de souffle. Elle peut être furieuse, idyllique, pseudo-naïve, sentimentale, drôle, sadique, tendre, rêveuse, enfantine. Elle a fait le tour des mille détours. Elle prend les mots à la racine (divin italien), elle les étire et les broie, elle les catapulte, les caresse et les fouette. [...] Une telle aptitude à la volupté abolit, chirurgicalement, des tonnes de musique romantique inutiles. Bartoli est une sorcière, une fée, une débauchée, une fille du peuple sensuelle et gaie, une artiste incroyable, une merveilleuse femme de la vie courante, une camarade, une aristocrate, une reine. Elle descend de tous les tableaux vénitiens, Vénus, saintes, elle est là, à la fin du XXe siècle et au début du XXIe. » 

Philippe Sollers, Dictionnaire amoureux de Venise.

vendredi, 18 avril 2008

L'orage

739950362.JPG« L'orage est mon domaine et quand le vent se lève mon âme tourbillonne » : Beethoven

Photo : L'Ile Sainte-Marie à Madagascar, août 2007 

vendredi, 14 mars 2008

Paul Klee et Pierre Boulez, une exposition à Bruxelles

1362784363.jpg"Si vous n'êtes préoccupé que par votre propre univers, vous finissez par tourner en rond faute d'arriver à trouver des solutions qui vous satisfassent, parce que cet univers devient trop familier. C'est pourquoi j'ai toujours essayé de regarder ailleurs, de façon à voir les solutions que les autres trouvaient à leurs problèmes, pour voir si je pouvais transposer ces solutions. Quand j'ai vu les cours donnés par Klee au Bauhaus, j'ai constaté que ce qu'il disait sur la perspective, sur la couleur, sur l'espace, sur la divisibilité ou l'indivisibilité pouvait se rapporter à la musique. La perspective, par exemple, c'est le temps en musique. Mais il reste une grande différence entre peinture et musique : là où la peinture peut être absorbée d'une seule traite - vous regardez un tableau, vous en avez une perception globale - la musique ne peut être absorbée que rétroactivement, de l'effort que vous faites pour concevoir un ensemble au départ d'une suite de perceptions instantanées. Vous êtes obligé de passer par toute l'œuvre avant de savoir ce qu'elle veut dire, d'où elle vient et où elle va : c'est ce qui rend la compréhension de la musique contemporaine plus difficile que celle de la peinture contemporaine."

Pierre Boulez

Pierre Boulez découvrit l'œuvre de Klee en 1948 et lui consacra un livre majeur : "Le pays fertile", allusion à une célèbre peinture de Klee réalisée après un voyage en Egypte et montrant le damier des champs autour du Nil. Ici, pas de figuration au sens propre, mais Klee réinvente ce damier en y mettant un rythme tout musical.

Rapport intime à la musique

Klee, né près de Berne, d'un professeur de musique et d'une chanteuse, se voyait d'abord musicien, il restera toute sa vie un excellent violoniste (un instrument qu'il jouait depuis l’âge de 6 ans). Il jouera dans un orchestre symphonique et continuera toute sa vie à jouer chaque jour une heure de violon. Son père, despote domestique, voulait qu'il devienne musicien, il choisit la peinture, aussi pour se démarquer d'un père si puissant.

Klee nourri par les sciences

De la même façon que le musicien Boulez a été nourri par le peintre Klee, le peintre Klee a-t-il été, comme tente de le démontrer le reste de l'exposition bruxelloise, nourri par sa fréquentation des autres arts, musique et théâtre pour commencer ? "Je pense qu'il a surtout été nourri par les sciences. Il a puisé des idées par exemple dans la botanique, le processus de croissance des arbres, et la façon dont une feuille reproduit à l'infime le développement d'un arbre. Il a aussi tiré de l'architecture des idées pour relativiser la perspective, les notions d'espace ou de divisibilité de l'espace. Je ne suis pas sûr par contre qu'il ait beaucoup tiré de la musique, où ses goûts étaient plutôt conservateurs : on croit toujours que quelqu'un qui est aventureux dans un domaine l’est dans tous les domaines, alors qu'il a au contraire besoin de se rassurer dans d'autres domaines." Et quand on demande à Boulez, musicien sans nul doute aventureux, dans quels domaines il a besoin de se rassurer, il confie : "Les sciences ! Leurs avancées sont souvent vertigineuses, et je préfère parfois ne pas y songer."

L'épitaphe que Klee avait demandé de placer sur sa tombe est restée célèbre : "Je suis insaisissable dans l'immanence. Car je réside aussi bien chez les morts que chez les êtres qui ne sont pas encore nés. Un peu plus proche du cœur de la création qu'il n'est habituel. Et cependant pas autant que je le souhaiterais."

"Paul Klee, le théâtre de la vie", au Palais des Beaux-Arts, à Bruxelles, jusqu'au 11 mai. Tous les jours sauf lundi, de 10h 18h. Jeudi, de 10 h à 21h.

mercredi, 30 janvier 2008

Abd al Malik / Gibraltar

05 - La Gravité.mp3

samedi, 19 janvier 2008

What a wonderful world, suite

"C'est aussi simple qu'une phrase musicale", écrit Rimbaud dans "Guerre".

Comme on ne quitte plus certains livres, emporté par la première phrase, peut-être est-on emporté dans une chanson par la première phrase musicale. Et puis bien sûr il y a la voix de Louis Armstrong, et ces "lyrics" aussi, force et simplicité...

I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.

The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They're really saying I love you.

I hear babies cry, I watch them grow
They'll learn much more than I'll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.

dimanche, 16 décembre 2007

Cecilia Bartoli

Ce soir à 19 H, sur Arte, Cecilia Bartoli chante Mozart

jeudi, 18 octobre 2007

My foolish heart

Bill Evans au piano

21:25 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : musique, piano, Bill Evans

samedi, 16 juin 2007

Pour rire un peu !

5cf7f127f5b004d1e073f10f882bccc2.jpgBernard Lavilliers, par les Fatals Picards, voir ici

jeudi, 03 mai 2007

Concert de soutien pour les enfants en difficulté

Concert de soutien pour les enfants en difficulté Entre France et Maroc Le 10 mai à la Salle Victoire 2 à Saint Jean de Vedas à 20h30 Organisé par : 6 Etudiants de sup de co Montpellier en partenariat avec l’association Occi’zen-enfance et art       http://www.occizen.com/ Objectifs :

1- Partager un moment avec le public, les enfants en difficulté et des artistes nationaux et régionaux.

2- Dégager du bénéfice pour continuer les actions en faveur des enfants en difficulté engagées depuis 5ans

     entre France et Maroc par l’association bénévole Occi’zen.

Les artistes présents avec Occi’zen : Karlex : artiste Newyorkais - Soul musique Golden Touch : groupe Montpelliérain - Sound System Reggae Dub

Qu’es aquo de Montpellier : groupe de musique occitane avec du Ska Reggae

Occi’zen – enfance et art : 5 ans d’histoire pour les enfants d’ici et d’ailleurs  
A Montpellier, en France et au Maroc l’association réalise des actions culturelles pour les enfants en difficulté :
  • Atelier Peinture à l’hôpital Lapeyronie pour les enfants lourdement hospitalisés
  • Caravane des artistes à l’hôpital A. de Villeneuve (danse, théâtre, peinture)
  • Ateliers peinture et Défilé de mode avec les ados de la Mosson

Depuis février 2004, Occi’zen a déjà réalisé 12 actions humanitaires dans le sud marocain, région de Ouarzazate :

  • Echanges avec les artistes et les enfants, peinture, théâtre
  • Dons de fournitures scolaires, vêtements, vélos, fauteuil roulant...

    Projet phare : Construire une maison aux enfants et aux étoiles dans la région de Ouarzazate pour recueillir et scolariser les enfants abandonnés

à suivre pour les enfants d’ici et d’ailleurs…

Programme : 20 h 30 GoldenTouch                                                                                                                                                                                                                21 h 00       Qu’es aquo?

22h00        Karlex

Prix/Prévente : Ü        5 euros avec le pass culture auprès du Crous

Ü        9,5 euros tarifs étudiants et demandeurs d’emploi

Ü        12,70 aux points de ventes habituels  Fnac – Carrefour – Virgin

Ü        11 euros tarif tout public auprès d’Occi’zen

Réservations/Occi’zen : Contact associatif - Khalid : 06 24 69 39 05

Contact étudiant - Véronique : 06 67 33 69 34                                                                                      

Contact  :  Directrice Occi’zen Sandrine Daudé : 06 22 04 31 54

mardi, 01 mai 2007

Il avait l'air vaguement déçu d'un amant après l'amour

" Au bas de l'absidiole, dans une éclaboussure de lumière, je devine une forme oblongue et féminine, rousse de corps et noire de chevelure, où vais-je chercher cela ? L'homme penché sur elle l'embrassait d'un si dur mouvement , il exprimait de sa retentissante poitrine un chant si haut, dont jamais un cheval même de pur sang, même issu du désert de sable ,n'aurait percé le vent à travers sa crinière. [...] Les traits tendus, l'oeil dur, le front lisse et violent, le masque presque menaçant, Slava déchiffrait le mystère d'harmonie. Le menton haut levé, il enlaçait son violoncelle du bout des doigts comme si ça le brûlait, et quand enfin il s'arrêtait, son bras par-dessus la volute comme sur une gorge, il avait l'air vaguement déçu d'un amant après l'amour. " (Jules Roy in Rostropovitch Gainsbourg et Dieu, Albin Michel, 1992)

 

Lire l'article ici chez Laurent Morancé

lundi, 05 mars 2007

On the road again

medium_02-056.JPGPour les harmoniques du début, et la nostalgie, à écouter ici, sur le blog de Marie...

Photo : Maïthé Mercier Pilon

dimanche, 11 février 2007

De toutes les couleurs

medium_FRAISE_ET_GATEAUX.JPG« Le génie de Carmen de Bizet consiste avant tout à avoir su exprimer mieux que jamais (mis à part peut-être Mozart, dans Cosi fan tutte), le divorce entre ce que dit un livret et ce qu’en « pense » la musique dont on croit qu’elle l’accompagne mais qui en réalité le nargue. Joie musicale contre les tristesses de la vie ; et c’est, en fin de compte, la musique qui gagne. Et avec elle l’amour de la vie, qui revient de loin, et après en avoir vu, si je puis dire, de toutes les couleurs. » : Clément Rosset.

Photo : Gildas Pasquet gildaspasquet@gmail.com