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mercredi, 11 avril 2007

La continuation de la politique

L'écriture est la continuation de la politique par d'autres moyens

Philippe Sollers, Théorie d'ensemble 

dimanche, 08 avril 2007

Chroniques d'une élection (46)

Amis de la poésie bonjour !

jeudi, 05 avril 2007

Chroniques d'une élection (45)

«La France du non à la Constitution européenne a disparu de la campagne. Pourtant, elle existe. Elle va resurgir. Mais où?» Lire ici

Chroniques d'une élection (44)

P.A.G. y était !

mardi, 03 avril 2007

Chroniques d'une élection (43)

Inquiétude à France 3 Nord après la colère de Nicolas Sarkozy en plateau

Voir ici

Tous les resquilleurs en prison ?

medium_029.jpg

lundi, 02 avril 2007

Big Brother vous parle

Qui contrôlera demain internet ? A lire ici

Chroniques d'une élection (42)

En avoir ou pas, par Gérard Miller, à voir ici

vendredi, 30 mars 2007

Chroniques d'une élection (41)

...toute plainte étant une accusation, mais une accusation qui revient vite sur elle-même pour désigner qu’au fond perdre, c’est bon. Ce qui veut dire que personne n’a envie de gagner. Pour avoir envie de gagner, il faudrait trouver son plaisir dans la bataille, devenir tacticien et stratège de la guerre qui s’imposerait, ne pas se définir a priori comme martyr potentiel...

Philippe Sollers, entretien à lire ici au lendemain du 22 avril

Chroniques d'une élection (40) : le point de vue d'un étudiant hongrois

La France risque-t-elle de voir les résultats de son élection présidentielle manipulée ?

Written by Miklos Kovacs   

Friday, 02 February 2007

(Editorial) - N’étant pas Français, mais Hongrois, vous pouvez donc légitimement vous demander a priori, pourquoi cette question " La France risque-t-elle de voir les résultats de son élection présidentielle manipulée ?" m’intéresse-t-elle ?

Et bien en fait, c’est tout simple. Comme l’a fait fort justement remarqué un récent article paru dans Newropeans-Magazine, du fait de l’intégration européenne, chaque élection nationale a un impact direct (via le Conseil européen notamment) sur ses 26 partenaires communautaires.  Et puis aussi parce que je vis dans un pays qui est toujours secoué par la découverte de l’ampleur du cynisme et de la manipulation dont nous avons été victimes lors de la dernière élection législative.

Et en plus, la France , ça n’est pas n’importe quel pays en Europe et dans le monde :

  • → 2° pays par la population, l’une des deux puissances nucléaires de l’UE avec siège au Conseil de Sécurité de l’ONU, 2° langue véhiculaire intra-communautaire après l’Anglais, en voie d’ici 10/15 ans de faire jeu égal avec l’Allemand comme 1° langue maternelle en Europe du fait de son dynamisme démographique, pays géographiquement et culturellement charnière entre l’Europe du nord et du Sud, ...
  • → 5° puissance économique mondiale,  l’un des très rares pays à oser s’affirmer contre les Etats-Unis ou toute autre grande puissance, au centre d’un vaste réseau culturel transcontinental: la francophonie, ….

Donc, pour toutes ces raisons, je suis concerné, même indirectement, par ce qui va se passer dans ce pays en Avril prochain.

Et je dois dire que je suis inquiet car j’ai l’impression, à la lecture de la presse et suite à de nombreuses discussions récentes avec des Français, qu’il y a un vrai risque de manipulation des résultats électoraux pour cette présidentielle.

Or, en faisant précédemment la liste des éléments qui soulignent l’importance de la France , ce sentiment n’a fait que se renforcer car j’avais l’impression de dresser le tableau des atouts de la cible idéale pour un « hedge fund » politique. Si je fais cette comparaison avec le monde de la finance internationale actuelle, c’est que ceux qui peuvent politiquement avoir intérêt à agir de la sorte sont les « petits frères » de ceux qui le font dans la sphère financière, à savoir les réseaux qui opèrent derrière l’administration Bush.

Ces mêmes réseaux qui sont suspectés dans leur propre pays d’avoir manipulé les résultats électoraux des élections présidentielles de 2000 (en Floride en particulier) et 2004 (en Ohio notamment).

Or, soyons honnête : arriver à placer la France sous contrôle d’un « ami » des puissances dominantes actuellement à Washington ne peut pas ne pas être un rêve de l’immense machine à dominer et corrompre mise en place aux Etats-Unis via les gigantesques budgets destinés aux agences de renseignement (qui opèrent en Europe sans contrôle comme l’illustrent toutes les affaires d’enlèvement par la CIA ) et les montagnes de Dollars circulant dans les entreprises liées au pouvoir washingtonien.

Pourtant, vu de l’extérieur, et en suivant cette campagne présidentielle française, on a l’impression que les Français sont inconscients des risques et des enjeux.

Je veux souligner d’abord l’enjeu central d’une France insoumise en rappelant que sans une France pour dire « Non », comme en 2002/2003 avec l’Allemagne, permettant ainsi de donner une vraie voix à l’immense majorité des 500 millions d’Européens contre l’invasion de l’Irak, nous serions tous impliqués totalement dans la déroute américaine au Moyen-Orient, et complices d’actes qui relèveront demain de la justice internationale. Il n’y a pas beaucoup de pays démocratiques dans le monde capables de jouer ce rôle essentiel. Même si les Français sont souvent arrogants, agaçants et insupportables, on ne peut pas leur enlever ce mérite.

Et je veux maintenant éclairer les risques qui pèsent selon moi sur l’élection française :

  • - des médias qui ne contribuent pas à générer un débat sur ce thème en adoptant une attitude telle que l’évocation de tels risques est immédiatement qualifiée d’anti-américaine. On se croirait revenu dans mon pays à l’époque de l’ex-URSS : toute critique contre l’URSS ou le parti était une attaque contre le marxisme et le peuple ami soviétique. Ou bien à l’époque actuelle aux Etats-Unis, où est accusé d’être un adepte des théories du complot toute personne évoquant le risque que le pouvoir en place tente de corrompre les institutions et la société : comme si les premiers utilisateurs de théories du complot (avec Al Quaida, les armes de destruction massive, etc ..  n’étaient pas justement les actuels dirigeants).
  • - une inconscience citoyenne, comme aux Etats-Unis avant l’élection de 2000, qui laisse chacun penser que les procédures électorales du pays sont parfaites et non manipulables.
  • - un oubli collectif de ce que l’avidité du pouvoir et la corruption, par ce même pouvoir ou par l’argent, peuvent produire comme effets pervers sur un système politique et administratif, déjà bien affaibli par une décennie d’affaires touchant les plus hauts niveaux de l’Etat. Ceux qui sont prêts à étouffer des affaires judiciaires problématiques pour les puissants d’aujourd’hui sont prêts à manipuler les résultats électoraux au profit des puissants de demain.
  • - le non respect de principes démocratiques de base comme l’interdiction du cumul de deux rôles nécessairement incompatibles : candidat et organisateur d’élection. Ce qui est pourtant, et d’une manière qui étonne toute l’Europe, le cas avec l’actuel ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy (dont les racines viennent de mon pays), candidat et organisateur de l’élection, contrôleur des résultats, orchestrateur de la sécurité et du déroulement de l’élection, chef des services de renseignement surveillant la campagne électorale.

Parfois, je m’imagine si cette situation était en Hongrie, avec Nicolas Sarkozy dans une telle position, ce que la presse française dirait de la démocratie dans mon petit pays ex-communiste. Je crois qu’ils diraient que nous sommes décidément incapables de sortir des méthodes non démocratiques des régimes précédents.

Et ça n’est pas le tout premier voyage de candidat de Nicolas Sarkozy pour aller voir Tony Blair, l’alter-égo européen de G.W. Bush, comme son admiration déclarée pour la politique de G.W. Bush, qui contrediraient ces analyses.

Mais, on parle ici de la France  : la « Grande Nation », la « Patrie des Droits de l’Homme », … alors pas de risques n’est-ce pas ? Eh bien, je ne suis pas d’accord du tout car la France ça a aussi été l’effondrement brutal devant l’Allemagne nazie en 1940, la collaboration du régime pétainiste, etc .. . Dans les années 30, si ma connaissance de l’histoire de France n’est pas trop mauvaise, une grande partie des élites politiques et intellectuelles françaises se sont laissées séduire, fasciner, acheter par les modèles totalitaires émergents en Europe. Et ils ont été les complices d’une impréparation complète du pays à l’agression qui s’annonçait, trop heureux de se partager les miettes de pouvoir que leur laisserait le vainqueur.

Serait-on en train de revoir se jouer un tel scénario ? Les élites parisiennes seraient elles en train de trahir à nouveau ? Cette fois-ci au profit du nouveau fascisme à l’américaine incarné par G.W. Bush et ses partenaires ?

Nous aurons bientôt la réponse.

En tout cas, deux autres questions m’intriguent :

  • - que ferons les Français si au lendemain d’un premier tour très serré avec 4/5 candidats autour des 15% (Le Pen, Sarkozy, Bayrou, Royal, Bové), Sarkozy passe au second tour avec 0,2% d’avance sur le suivant ? Sachant qu’un petite faiblesse du contrôle des votes en Corse, par exemple, permettrait une telle variation. Accepteront-ils passivement, comme les Américains finalement en 2000 et 2004, les résultats de l’élection ? Ou bien agiront-ils, « à la française », en sortant dans les rues pour défendre leur démocratie ?
  • - que ferait Nicolas Sarkozy s’il ne passait pas le premier tour ? Ferait-il comme Jospin et quitterait-il la tête de l’UMP ? Ou bien ce scénario est-il tellement impensable qu’il ne peut pas, ne doit absolument pas se produire ? Et dans ce cas, n’est-on pas dans la situation que j’ai décrite précédemment ?

Pour conclure, je vais me répéter. Cette élection française m’inquiète. Pour la France , et pour l’Europe. Car si mes craintes s’avèrent justifiées sur les risques d’une manipulation électorale, la France entrera dans une grave période d’instabilité politique. Je ne pense pas en effet que les Français auront la passivité américaine à ce sujet ; il suffit de constater comment ils ont rejeté le projet de Constitution européenne pour savoir qu’ils ont toujours l’esprit rebelle bien vivant. Et tout cela plongera toute l’UE dans une grave crise d’identité, sans parler des relations transatlantiques qui risqueraient d’en sortir dans un état encore pire qu’aujourd’hui.


Miklos Kovacs
Etudiant en sciences politiques, Budapest

mercredi, 28 mars 2007

Petites phrases

(envoyé par Pascale) 
Prix "humour et politique" :
Le jury, qui a de nouveau choisi un florilège de citations de politiques, décernera son prix en juin prochain.  
Cinq "petites phrases" ont de nouveau été sélectionnées pour l'édition 2007 du prix "Press club, humour et politique", a-t-on appris mardi 27 mars.
Le jury, composé de 18 membres, est présidé par Jean Miot, un ancien président de l'Agence France Presse (AFP).

Voici les cinq phrases sélectionnées:

- François Goulard : "Avec un seul candidat, le choix est quand même plus restreint".
- José Bové : "Le fait de m'incarcérer, à la rigueur, ça réglera le problème du QG de campagne".
- Pierre Lellouche sur Ségolène Royal opposée à la construction d'un nouveau porte-avions : "La Royal a coulé la Marine".
- Arnaud Montebourg : "Ségolène Royal n'a qu'un défaut, c'est son compagnon".
- Jean-Pierre Raffarin : "Il vaut mieux un bilatéral approfondi qu'un multilatéral confus".

Une précédente sélection avait retenu cinq autres "petites phrases", en décembre dernier:

- François Bayrou : "J'ai été longtemps un jeune conformiste, et sans doute formiste était-il de trop".
- Jean-Marie Le Pen, répondant à la question : Si vous êtes élu Président, quel sera votre premier voyage à l'étranger? : "Montfermeil".
- François Hollande : "Jack Lang avait toutes les qualités pour briguer la Présidence de la République. C'est pour cela que je l'ai chaudement encouragé à se retirer".
- Michèle Alliot-Marie : "La France, c'est la Tour Eiffel et Jacques Chirac".
- Pascal Clément : "Je suis peut-être nul, mais le ministre, c'est moi".

Une dernière sélection est prévue en juin, avant la remise du prix fin juin.

15:02 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour, politique

lundi, 26 mars 2007

Chroniques d'une élection (39)

medium_untitled5.2.jpgLa « démocratie d’opinion » n’est pas seulement un déclin de la politique, dit-elle sans le dire, bien qu’elle puisse l’être.  Et si l’ « opinion » était précisément l’aurore de la politique, un retour du « miracle grec » où le courage du citoyen consiste à apparaître dans la pluralité  du monde,  enfin accessible grâce aux nouveaux moyens  de communication? Et si la France devenait le laboratoire de cette nouvelle démocratie d’opinion qu’on cherche un peu partout, dans les ruines du bipartisme? De la télévision à Internet, en passant par les blogs, chacun veut et doit se faire  remarquer : je vous écoute, nous me plaisez, je vous plais. Montrez-vous, apparaissez, dévoilez-vous, j’en appelle aux femmes voilées non moins qu’à vous, hommes blindés dans  vos  certitudes : avancez en toute simplicité, on discutera sur de nouvelles bases. Les spécialistes spécifieront, les professeurs approfondiront et les décideurs décideront. Je donnerai mon avis pour finir, cela va de soi. Dans l’ordre, bien sûr, qui sera forcément juste. J’y crois, la politique repose sur le besoin de croire, vous me croyez déjà. Le nouveau monde qui s’ouvre avec les nouvelles techniques et les nouveaux risques exige une nouvelle politique. Personne ne sait laquelle, moi non plus. Restons dans l’ouvert. Jouons le jeu, on va voir.

Julia Kristeva, article paru dans le Nouvel Obs, à lire en entier ici

De Kooning, Untitled V. 1982.
Oil on canvas. 80 x 70".
Collection Philip Johnson.
©1997 Willem de Kooning

dimanche, 25 mars 2007

Chroniques d'une élection (38)

 Dans un monde où l’on cherche en vain un homme qui ne soit ni déprimé ni agité, cette irrésistible volonté de pouvoir, sobre et élégante,  fait plus que rassurer. Car elle entre en résonance directe avec la mémoire nationale, sous-estimée depuis la Révolution française par le système des idéologies et des partis  politiques qu’on appelle une démocratie par « représentation » : c’est le deuxième atout majeur de la candidate socialiste. Costumée  en Poitou-charentaise  ou habillée par un couturier à la mode, maniant le régionalisme ou la défense des femmes battues, elle enthousiasme… la nation. Mme Royal n’a pas l’air inhibée par les crimes commis en son nom ! Elle la réhabilite sans déraper dans le nationalisme, en  douce, en passant par le chabichou. Le  message est subliminal, et il opère : revanche de toutes celles qui ont été écartées du trône de France et de la politique partisane, depuis les lois saliques jusqu’au machisme jacobin. Un hommage rendu aux femmes légendaires ou inconnues, qui ont marqué l’art de vivre et les guerres, les lettres et la pensée à la française, et  qui ont frayé le chemin  conduisant à elle (à commencer par Jeanne d’Arc, on va se gêner !).  Un espoir de renaissance, en définitive,  pour un peuple ou ce qu’il en reste – humilié depuis combien de guerres déjà ? – et que la globalisation ne fait que marginaliser davantage.

Julia Kristeva, article paru dans le Nouvel Obs, à lire en entier ici

jeudi, 22 mars 2007

"Un jour, il pétera de vanité."

medium_fragonard.gifIl se juge beau, séduisant, intelligent, formidable stratège. Les élus, les journalistes, ses amis, ses adversaires en savent quelque chose : François Bayrou a parfois la tête comme une montgolfière. Il a longtemps assuré : "Je suis le nouveau Mitterrand." Lorsqu'il obtint le secrétariat général de l'UDF, alors présidée par Valéry Giscard d'Estaing, il expliqua tranquillement devant tout le bureau politique du CDS : "Giscard a trouvé en moi quelqu'un à sa mesure." Au moment où le premier ministre anglais était la coqueluche de la droite, il répétait partout : "J'ai un avantage sur tous les autres : je ressemble physiquement à Tony Blair." On l'a vu admirer longuement sa photo dans des magazines, en soulignant : "J'ai un regard profond." A la journaliste sportive Estelle Denis qui lui demandait il y a quelques semaines ce que sa femme préférait en lui, il a répondu sans sourciller "ma virilité". Jacques Chirac, qui en a beaucoup ri, s'en est aussi très souvent agacé : "Un jour, il pétera de vanité."

Article à lire ici

Avec l'aide de Fragonard

dimanche, 18 mars 2007

Laissez-les grandir ici

SIGNEZ, FAITES SIGNER LA PÉTITION NATIONALE

« LAISSEZ-LES GRANDIR ICI ! »

jeudi, 15 mars 2007

Chroniques d'une élection (36)

"C'est une révolution difficile à accomplir: il faut que les Français acceptent de projeter sur une femme l'exercice du pouvoir" : Ségolène Royal. Lire ici

Philippe Sollers dit à peu près la même chose : "Qu'une femme soit en position d'être élue à la fonction suprême fait trembler tout le pays"  :  à lire ici

lundi, 12 mars 2007

Chroniques d'une élection (35)

Le Web 2 Karl Zero, à voir ici, avec une longue interview de Jose Bove

Caméléon Bonaparte

medium_30.jpgC'est ainsi que la BBC surnomma notre Résident de la République. A Lire ici le jugement implacable de la presse étrangère.

Photo : Jean-Louis Bec

vendredi, 09 mars 2007

Chroniques d'une élection (34)

Allo M. Rothschild !

Le candidat UMP à la présidentielle aurait appelé l'actionnaire majoritaire du quotidien pour lui dire son mécontentement après la Une du 1er mars titrée:"Impôt sur la fortune de Sarkozy : le soupçon".

Libération, journal de merde ?

Le candidat de l'UMP se laissant même aller à employer des termes "grossiers", qualifiant, paraît-il Libération de "journal de merde".

Lire ici

mercredi, 07 mars 2007

Chroniques d'une élection (33)

medium_ACOTECOL_22_.jpgEst-ce la mort de Jean Baudrillard, ultime pied de nez du génial penseur, la réalité aurait-elle disparu, toujours est-il que la campagne s'essouffle, tout paraît creux, vide... Le sinistre pantin Nicolas Miguet, (existe-t-il vraiment celui-là ?) est en prison maintenant, il a peut-être enfin réussi à exister ! Sarko et Sego tournent à vide, même Bayrou, l'invité surprise, le faiseur de miracles (plus de droite ni de gauche ! quel bonheur ! la France réconciliée !) est inaudible, il n'est plus question que de parrainages, ambiance mafieuse garantie, là on est bien dans le réel, on ne va pas tarder à voir réapparaître le grand escogriffe, lui qui, quoiqu'il arrive, récolte, récolte...

Photo : Gildas Pasquet