samedi, 25 octobre 2008
On ne traduit plus
(Ils sont quand même superbes tous les deux !)
22:57 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cinéma, traduction, titres, la strada
vendredi, 17 octobre 2008
D.D.
J'ai toujours été plutôt D.D. que B.B.
Là, délicieusement désuets, de larges extraits de Le Rouge et le noir, for ever
00:19 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, le rouge et le noir, danielle darrieux
mercredi, 15 octobre 2008
Une étrangeté...
21:21 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cinéma, boris vian, vadim, les liaisons dangereuses
vendredi, 10 octobre 2008
Séraphine, le film
Très très beau film de Martin Prouvost, qui raconte l'histoire véridique de Séraphine de Senlis, peintre de la première moitié du XX ème siécle ; elle est femme de ménage le jour, et peint la nuit. Personne ne s'en serait jamais aperçu sans sa rencontre avec un collectionneur allemand. La guerre de 14 puis la crise de 29 passeront par là : malgré tout, l'oeuvre de Séraphine finira par être reconnue. Le film est remarquable par l'interprétation de Yolande Moreau et aussi par l'utilisation de la couleur : la plupart des scènes sont des tableaux et le rendu de ceux de Séraphine est extraordinaire. Prouvost a une façon de filmer la nature tout à fait étonnante : témoin la dernière scène ; jamais je n'avais vu un arbre vivre à ce point au cinéma. Un film avec beaucoup de silences : Séraphine est une sensorielle, elle communie avec l'eau, la terre, la vent, cette matière, elle introduit dans ses toiles : Superbe.
00:20 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : cinéma, séraphine, peinture, yolande moreau, martin prouvost
samedi, 04 octobre 2008
La plus belle ouverture
21:14 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cinéma, le guépart, visconti, nino rota
My favourite sequence
20:57 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinama, singing in the rain
mardi, 30 septembre 2008
Entre les murs
Entre les murs est un film très intéressant. On suit pendant une année scolaire une classe de 4 ème dans un quartier "difficile", et uniquement la classe de français. "Aimer ne suffit pas" en pourrait être le sous-titre. Le jeune professeur, on le sent bien, aime ses élèves, il voudrait les sortir de l'impasse dans laquelle ils sont, mais il finit par se laisser entraîner sur leur propre terrain ; à son tour il va déraper, et l'engrenage ira assez loin. Le film commencé comme un documentaire est très construit ensuite autour de cet événement. Les acteurs amateurs sont excellents, tout cela sonne juste, pose beaucoup de questions sans les résoudre, mais le film est riche et profond.
16:45 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, entre les murs, bégaudeau
dimanche, 28 septembre 2008
Le cinéma, c’est aussi l’affaire de la philosophie
Parution de : "Analyse d'une oeuvre : la mort aux trousses"
Sous la direction de Jean-Jacques Marimbert, éditions Vrin
00:18 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, philosophie, hitchcock, jean-jacques marimbert, vrin, la mort aux trousses
jeudi, 25 septembre 2008
Cette administration que le monde entier nous envie...
J'ai nommé...
21:22 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, gabin, audiard, le cave se rebiffe
dimanche, 21 septembre 2008
Une scène mythique
21:26 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cinéma, kubrick, 2001 l'odyssée de l'espace, strauss
samedi, 06 septembre 2008
Les yeux de...
Nadine Labaki, réalisatrice et actrice du film "Caramel", 2007
08:40 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : cinéma, yeux, caramel, nadine labaki
mardi, 26 août 2008
Les questions que chacun brûle de se voir poser en matière de cinéma
Avertissement : ce questionnaire, libre de droits résulte du pillage et de la réadaptation de la version proposée par Ludovic Maubreuil, déjà recyclée par Pierre Cormary, puis Jean-Louis Kuffer et enfin par moi-même, à suivre donc...
1). Quel est le dernier film que vous ayez vu en salle et qu’en avez-vous pensé ?
J’ai toujours rêvé d’être un gangster de Samuel Benchetrit, un petit bijou d’humour noir…
2). Quelle est la meilleure définition qu’un cinéaste vous ait donnée de son art ?
J’aime bien ces mots de Truffaut dans La Nuit américaine, où il fait dire à son propre personnage : « Les films sont plus harmonieux que la vie, Alphonse. Il n’y pas d’embouteillages dans les films, pas de temps morts. Les films avancent comme des trains, tu comprends, comme des trains dans la nuit ».
3) Le chef-d'oeuvre ab-so-lu ?
Allez, trois… : Le Guépard de Visconti, Le Port de l’angoisse de Howard Hawks et Casablanca de Michael Curtiz
4) S’il fallait citer un seul réalisateur :
Charlie Chaplin
5) Une séquence qui vous a fait pleurer :
La semaine dernière, le dernier plan de Le vieil homme et l’enfant : le regard de Michel Simon quand il voit partir le gamin.
6) La séquence qui vous fait le plus rêver :
Gene Kelly chantant Singing in the rain
7) Un film dans lequel vous auriez aimé entrer ?
Les Aventuriers de l’Arche perdue
8) La scène d'amour qui vous a ému ces trois dernières années ?
Le final de Casablanca
9) Le comédien qui vous a le plus touché ?
Raimu
10) Le film le plus résolument tordant ?
Les films : ceux des Marx Brothers, pour leur sérieux dans la plus totale subversion
11) Le trait comique chez un comédien ?
Si l’on met de côté les grands burlesques américains, Les énervements de Louis de Funès et le visage ahuri de Bernard Blier
12) Votre film préféré d'Alfred Hitchcock ?
Les Enchaînés (Notorious). Mais La Mort aux trousses n’est pas loin
13) Votre émotion la plus mémorable liée à l’utilisation de la couleur d’un film ?
L’ouverture du Guépard : les couleurs de la Sicile. Et puis tous les films de Stanley Kubrick
14) Quel film constitue-t-il la plus forte critique de la guerre ?
Un film qui m’a marqué à tout jamais quand j’étais gamin ; Catch 22 de Mike Nichols
15) Le plus grand ratage d’une adaptation de roman ?
La liste est trop longue, je préfère citer les adaptations réussies, beaucoup plus rares : outre ceux déjà cités dans le questionnaire, j’aime beaucoup Le Nom de la rose de Jean-Jacques Annaud, et The Dead de John Huston, son dernier film d'après la dernière nouvelle de Gens de Dublin de James Joyce.
16) Citez le film dont le mauvais esprit vous ait le plus réjoui :
Les Tontons flingueurs
17) Quand avez-vous réalisé pour la première fois que les films étaient réalisés ?
Je ne sais pas, mais ce fut sans doute un moment difficile !
00:05 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cinéma, questionnaire
dimanche, 20 avril 2008
La survie du cinéma d’art et essai, c’est David contre Goliath
"Les salles art et essai représentent la moitié des cinémas en France. Or ces salles, qui se battent pour diffuser un large éventail de films venant du monde entier, se heurtent à l’offensive des grands groupes comme UGC ou Gaumont, qui multiplient les attaques et, surtout, à l’instauration de cartes de cinéma illimitées."
13:09 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, art et essai
samedi, 12 avril 2008
J'ai toujours rêvé d'être un gangster
Un film très drôle, décalé, loufoque et intelligent !
Voici le point de vue du réalisateur : Après Janis et John, Samuel Benchetrit a eu du mal à se remettre à écrire pour le cinéma. La sortie avait été trop pénible à vivre pour lui. "J'avais envie de me concentrer sur la littérature et le théâtre", avoue-t-il. "Et puis, le cinéma est revenu de lui-même, organiquement. Je me suis lancé sur un projet assez gros avec Roberto Benigni. Mais celui-ci n'était pas libre avant un an. J'ai alors décidé de travailler à un film intime avec peu de moyens. Un film populaire mais avec une ambition artistique et technique. Comme on en faisait dans l'Italie des années 60. Je voyais beaucoup de ce genre de films avec mon fils. Le Pigeon, Le Fanfaron, Les Monstres... Je ne veux pas paraître prétentieux en disant que je voulais faire ces films-là, qui sont des grands films, mais c'était leurs esprits qui m'inspiraient. J'avais un besoin énorme de liberté. Le même que celui que j'avais connu au théâtre avec "Moins 2". J'avais très peu d'argent pour faire cette pièce, pas de décor et juste deux comédiens, et j'ai aimé la paix qu'on m'a foutue pendant les répétitions ! J'ai donc eu envie de faire un film dans ce sens, en sachant bien sûr que le cinéma coûte toujours plus cher, mais je voulais voir si j'en étais capable, un peu comme on élève un enfant. Le genre : là on a du fric, mais si on n'en a plus, sois content quand même !"
Sur la photo : Anna Mouglalis
Voir la bande-annonce ici11:30 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, j'ai toujours rêvé d'être un gangster
mardi, 08 avril 2008
Une interview de Robert Guédiguian
J’aime beaucoup la phrase d’Emmanuel Berl: "Je n’écris pas pour dire ce que je pense, mais pour savoir ce que je pense."
09:29 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, guédiguian
Le Grand sommeil
"Il était à peu près onze heures du matin, on arrivait à la mi-octobre et, sous le soleil voilé, l’horizon limpide des collines semblait prêt à accueillir une averse carabinée. Je portais mon complet bleu poudre, une chemise bleu foncé, une cravate et une pochette assorties, des souliers noirs et des chaussettes de laine à baguettes bleu foncé. J’étais correct, propre, rasé, à jeun et m’en souciais comme d’une guigne. J’étais, des pieds à la tête, le détective privé bien habillé. J’avais rendez-vous avec quatre millions."
Raymond Chandler, Le grand sommeil. (début du roman)
Le Grand sommeil est devenu un film (on connait l'anecdote célèbre) : L'intrigue du film était si complexe que le réalisateur Howard Hawks demanda à l'un des scénaristes, l'écrivain William Faulkner, si l'un des personnages du film appelés à mourir était assassiné ou s'il se suicidait. Faulkner admit qu'il n'en était pas très sûr non plus, et décida de téléphoner à Chandler, pensant que l'auteur du roman original devait forcément connaître la réponse. A cette question, Chandler répondit malicieusement qu'il n'en savait rien, une manière de signifier que l'intrigue proprement dite n'était pas selon lui le point le plus important de l'histoire...
Chandler a dit un jour : « Je suis un buveur occasionnel, le genre de type qui sort boire une bière et qui se réveille à Singapour avec une barbe. »
00:20 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, cinéma, faulkner, chandler, hawks
mardi, 26 février 2008
La Fabrique des sentiments
Intéressant film de Jean-Marc Moutout, portrait d'une jeune femme d'aujourd'hui, qui ne sait que faire de son bonheur (le bonheur une idée neuve...). Elle réussit professionnellement et socialement, et choisit de gérer sa vie amoureuse comme sa vie professionnelle en faisant appel au "speed dating", 7 minutes pour se présenter à quelqu'un, le séduire et espérer un autre rendez-vous. Très belle composition de Elsa Zylberstein, accompagnée de Jacques Bonaffé et Benoit Putzulu, qui équilibrent le discours un peu froid et sociologique du réalisateur. Jolie mise en perspective aussi avec un regard sur le troisième âge.
03:51 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma
dimanche, 23 décembre 2007
Non ce n'est pas un conte de Noël
20:23 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma
jeudi, 08 novembre 2007
Le plus beau baiser de l'histoire du cinéma
20:44 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : cinéma, baiser, Les Enchaînés
vendredi, 12 octobre 2007
Jane
13, avenue Berthelot
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11:09 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : cinéma, Lyon, Jane Austen, Jane