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jeudi, 11 novembre 2021

Boris

Boris

mardi, 09 novembre 2021

Le jeu n'en vaut pas la chandelle ; origine de l'expression

254096154_10159084027511785_2196049786147457104_n.jpgÀ l'époque du roi Louis XIV, les théâtres étaient éclairés aux bougies et on faisait venir de Turquie des chandelles qui coûtaient cher, car elle ne faisaient pas trop de fumée. On n'avait donc pas les moyens de faire brûler deux jeux de chandelles dans la même soirée. Alors, avant d'accepter une pièce de théâtre, on la faisait réciter pendant qu'une chandelle brûlait. Si la pièce n'était pas terminée au moment où la bougie avait fini de brûler, on disait «le jeu n'en vaut pas la chandelle» et la pièce de théâtre était rejetée. Cette expression est passée dans la langue française: elle signifie que ce n'est pas la peine, que les inconvénients surpassent les avantages.

 

16:40 Publié dans Insolite | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 08 novembre 2021

Chris Gibbs

Chris Gibbs

samedi, 06 novembre 2021

Une histoire racontée par Jorge Amado

jorge amadoUn écrivain est dans son jardin, de bon matin. Il pioche et il arrose. Son voisin le croise et lui dit : « Vous travaillez un peu Monsieur l'écrivain ?» et l’écrivain de lui répondre de répondre : « Non, je me repose. » Quelques jours passent et voilà l'écrivain dans son hamac qui rêvasse. Le voisin repasse et lui dit : « Monsieur l'écrivain, vous vous reposez ? » Et l'écrivain de lui répondre : « Non mon voisin, je travaille. »

20:56 Publié dans écriture, Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jorge amado

vendredi, 05 novembre 2021

Femmes à la fontaine de la place du Tertre, Paris 1925

Femmes à la fontaine de la place du Tertre, Paris 1925.jpg

15:44 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 04 novembre 2021

Cerisier d'automne, photo de Lionel André

lionel andré

mercredi, 03 novembre 2021

En voilà, une question particulièrement stupide

Thomas BernhardAndré Müller: A qui pensez-vous quand vous écrivez ?

Thomas Bernhard: En voilà, une question particulièrement stupide.

20:44 Publié dans écriture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : thomas bernhard

Aux marches du soleil

art nouveauL’escalier de l’Hotel Hannon, à Bruxelles conçu en 1902 par l’architecte Jules Brunfaut. Un chef d’œuvre d’art nouveau.

12:58 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art nouveau, bruxelles

lundi, 01 novembre 2021

Parole mélanésienne

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samedi, 30 octobre 2021

Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites

Evelyn Beatrice Hall, VoltaireJe ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. Phrase d’Evelyn Beatrice Hall, dans Les Amis de Voltaire (1906). Evelyn Hall est la véritable autrice de cette phrase faussement attribuée à Voltaire.

vendredi, 29 octobre 2021

Pietro Antonio Rotari

Pietro Antonio RotariJeune femme avec un livre

Les passions

Paul Morand, eva strusLes passions sont les voyages du cœur.

Paul Morand / L’homme pressé

Photo : Eva Struss

lundi, 25 octobre 2021

Essayons quand même !

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dimanche, 24 octobre 2021

Joan Brull

Joan Brull

samedi, 23 octobre 2021

Rhapsodie

1637552686.jpgEn attendant je fondais mes rêves dans le bleu délavé du ciel, l’amas désordonné des nuages et ce bateau qui filait sur la mer au milieu de tous ces cataclysmes. La pluie au loin traçait un rideau épais qui s’engouffrait dans de grandes orgues joufflues gonflées de nuit. Une trépidation de lames. L’horizon enflammé de jets saccadés, monstrueux, barbaresques. Le ciel était une lutte, un amas de lances, un combat fratricide. Ainsi était le ciel. Une symphonie du nouveau monde, même si c’est vers l’ancien que je me dirigeais.

C’était terrifiant cette immensité sauvage, encore plus que la Sierra, ces vagues gigantesques dans le désordre de la nuit, ces remous effrayants, terrifiant et rassurant à la fois avec le bruit continu du bateau, les odeurs de machines, ce bloc de métal monstrueux, fumant et rugissant qui traçait son sillon imperturbable à travers les flots déchaînés. Je me prenais à rêver que mon âme était pareille, un bloc insubmersible.

C’était seulement une légère brise pour un marin mais j’assistais à un ballet de fin du monde, à une danse macabre des éléments, plaisir redoublé par le sentiment de sécurité, sur ce bâtiment qui fendait la mer sans peine, sourd aux hurlements de la tempête.

Tout ce chemin parcouru en si peu de temps. Je devais avancer, réfléchir, mais pas tout de suite. Ici et maintenant, comme au Mexique, malgré ou à cause de l’absurdité du lieu, c’était là où je devais être. Respirer plus intensément au milieu de cet océan en furie, au cœur de cette rhapsodie bleu nuit de la pluie et du vent.

Raymond Alcovère, extrait de "Le Bonheur est un drôle de serpent", roman, 2009, Lucie éditions

Nicolas de Staël, 1954

vendredi, 22 octobre 2021

Amour...

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10:14 Publié dans amour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : frida kahlo

Sabine Weiss. Paris. 1957

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mardi, 19 octobre 2021

La grande poésie

Eliot Weinberger, Lothar DörferLa grande poésie vit dans un état de perpétuelle transformation, de perpétuelle traduction: le poème meurt quand il n'a plus d'endroit où aller.

Eliot Weinberger

Photo : Lothar Dörfer

Athènes sous l'orage

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15:04 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : athènes

dimanche, 17 octobre 2021

"La nuit vient, noir pirate, aux cieux d'or débarquant." : Rimbaud

Edd Allen4.jpgPhoto : Edd Allen