dimanche, 16 janvier 2022
Edward Munch, la mort de Marat, 1906/1907
11:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : munch
Jack Kerouac
11:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jack kerouac
samedi, 15 janvier 2022
Passionnément
« Si vous aimez quelqu’un, aimez-le passionnément et à tout instant, c’est le temps en personne qui vous aime. »
Philippe Sollers, Carnet de nuit
Photo : Nicolas Bell
18:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philippe sollers, nicolas bell
Anthologie de la répartie 4
Winston Churchill lance à Nancy Astor, première femme élue à la Chambre des communes :
- Vous voir dans cette assemblée est aussi gênant que si vous entriez dans ma salle de bains alors que je suis nu.
- Winston, vous ne devriez pas vous en faire pour une si petite chose…
17:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nancy astor
vendredi, 14 janvier 2022
Paris années 30, photographe inconnu
18:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Carole Schmidt
18:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : carole schmidt
mercredi, 12 janvier 2022
Comme nous par nos regards et nos paroles
16:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cezanne
lundi, 10 janvier 2022
© Wim Wenders
18:59 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : wim wenders
Jean Luc Godard
18:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean luc godard
Kees Scherer La jeune fille au Muguet, Paris 1950
18:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kees scherer
dimanche, 09 janvier 2022
Jorge Luis Borges by Ferdinando Scianna, 1984
17:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : borges, ferdinando scianna
Jim Morrison by Andrew Kent
17:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jim morrison, andrew kent
Madame Sagan
«On a parfois, comme ça, des idées sur soi, même purement "visuelles", mais irrévocables. Le reste du temps, on se laisse flotter sans se voir, on se laisse disparaître dans une traînée de bulles saumâtres et sans couleur vers les fonds les plus bas, aveugle, sourd et muet de désespoir.
Ou alors, au contraire on ressurgit superbe et triomphant dans l'œil de quelqu'un d'autre, aveuglé de ce soleil que vous êtes pour lui et qu'il invente au péril de son cœur.»
Françoise Sagan
16:36 Publié dans amour, Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : françoise sagan
vendredi, 07 janvier 2022
Cézanne, à la fin
11:33 Publié dans Le Sourire de Cézanne | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 06 janvier 2022
Maurice Bonnel “Au vieux bougnat” rue de Sèvres ,Paris 1950s
22:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : maurice bonnel
Force de la nature
10:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 05 janvier 2022
Tbilisi, Georgia Photo de Giorgi Cherkezishvili
08:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tbilisi, georgia, giorgi cherkezishvili
lundi, 03 janvier 2022
Une obscurité de glaïeuls
Un vent de terre souffle une haleine chaude et mon cheval, rude et âpre comme le sel se cabre face à la montagne.
Enfin le vent du soir coule une giclée de citron frais sur les collines et ce fleuve immense aux reflets roses qui file grand large vers la mer – ample mouvement de ses méandres, inachevé, cours à l’apparence immobile mais forces profondes, latentes, terribles.
Une obscurité de glaïeuls.
Maintenant, point nodal de l’existence, rien ne compte ici que les âmes et leurs écoulements réciproques et cette onde qui coule et nous relie.
Fi du temps et de l’espace multipliés.
Nous sommes de cette essence limpide et, de cap en cap jusqu’à la fraîcheur placide des futaies, cet échange d’ombre et de lumière, l’obscur et l’éclat enfin mêlés.
Un aigle pur et sage tournoie sur le faîte du monde.
Sa proie s’inscrit dans son être comme une prolongation de lui-même.
De profondes vallées, dans une eau verte et noire, se détachent de la brume.
Un pic insolite dresse sa palme sur le flot des hêtres.
La forêt, noyée de pourpriers, ondule comme une flamme attisée par un souffle de forge qui inonde tout sur son passage.
Raymond Alcovère, L'aube a un goût de cerise, N&B éditions, 2010, extrait
Photo de Letter Muir
20:34 Publié dans L'Aube a un goût de cerise | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : letter muir