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mardi, 19 août 2008

Banksy

2008-08-01-bethlehem002_1218838630.jpgIl dessine sur les murs de Bethlehem, voir ici

mercredi, 13 août 2008

Un autre regard sur le dalaï lama

Les Chinois ne pouvaient rêver de meilleur ennemi que le dalaï lama. De moins dangereux, de plus inefficace. Ils ont tout intérêt à le conserver. En s’en prenant à lui, ils confortent son autorité et son empire sur les esprits, à l’intérieur comme à l’extérieur du Tibet. Ils empêchent l’émergence d’une révolte armée qui couve dans les rangs de la jeunesse tibétaine. Le dalaï lama, quant à lui, a intérêt à ce que Pékin s’en prenne à lui. C’est la seule façon qu’il a de pérenniser son pouvoir, le sien, mais aussi celui des gelugpa et plus généralement celui des hiérarques de la théocratie tibétaine, et de demeurer le « pape » du bouddhisme, qu’il n’est pas, sauf en Occident.

Patrick Hutin

Lire l'article en entier ici, sur Rue89

mardi, 22 juillet 2008

Les chances d'Obama

Lire ici

mercredi, 16 juillet 2008

Vous avez aimé le père, vous adorerez le fils !

Autant savoir ce qui nous attend ! voir ici !!!

jeudi, 10 juillet 2008

“Je suis l’époux de la reine, poux de la reine”.

carla_1214922918.jpgQui manipule qui ? voir ici, une histoire de majuscule...

mercredi, 09 juillet 2008

Première chanteuse de France

Et vive la France Inter comme on disait avant !

mardi, 08 juillet 2008

Pour le livre

IMG_8535.jpgDes amendements proposés par des députés de la majorité parlementaire lors de l’examen du projet de loi de modernisation de l’économie ont ouvert un large débat sur la loi du 10 août 1981 relative au prix du livre, dite « loi Lang ».

Les professionnels du livre, auteurs, traducteurs, éditeurs et libraires, rejoints par les bibliothécaires et de nombreux acteurs du livre en régions, ont expliqué d’une même voix que ces amendements remettaient en cause la loi de 1981 et menaçaient les équilibres du marché du livre, ainsi que la diversité de la création et de l’édition françaises. Leur mobilisation a été relayée par des membres du gouvernement. Madame Christine Albanel, ministre de la culture et de la communication, a souligné combien cette loi restait un outil indispensable pour protéger la littérature. Madame Christine Lagarde, ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, quant à elle, a indiqué ne vouloir changer ni la politique du livre ni le système législatif actuel.

Les acteurs du livre sont néanmoins inquiets car beaucoup d’idées fausses sont colportées sur la loi par quelques multinationales du commerce culturel. Le lobbying qu’elles exercent auprès des parlementaires est à l’origine de ces amendements. Il vise à déréguler le marché du livre afin d’imposer un modèle commercial basé sur une volonté d’hégémonie et une stratégie purement financière. Derrière leurs arguments démagogiques mêlant modernité, défense du pouvoir d’achat et même écologie se cache un combat contre la création, la diversité, la concurrence et l’accès du plus grand nombre au livre.

Voir ce site ici

Peinture de Frédérique Azaïs-Ferri

Une histoire d'aujourd'hui

Au printemps 2007, Aubade licencie 134 ouvrières et ferme l'usine de La Trimouille, dans la Vienne. Des Tunisiennes fabriquent aujourd'hui les dessous de la marque de lingerie haut de gamme, dans des conditions beaucoup plus difficiles. Des deux côtés de la Méditerranée, les ouvrières sont amères.

mercredi, 02 juillet 2008

Les résultats du bac seront mis aux enchères sur e-Bay

logo_pob.gifA lire sur Desinformation.com

Un avion privé pour interviewer PPDA

Lire ici (encore une belle histoire...)

mardi, 01 juillet 2008

Elisez l'homme politique le moins drôle de l'année

pic14767.jpgCertes il n'y a que l'embarras du choix, voir ici

J'avoue un faible pour Bernard Laporte avec cette phrase : «On devrait reconnaître la spécificité du sport comme on reconnaît la spécificité de la culture», Toute l'Europe.fr, 24 juin 2008.

08:09 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, humour

lundi, 30 juin 2008

Obama et l'Afrique

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mercredi, 25 juin 2008

Ferrari ! calée !

Candide, Laurence Ferrari demande très sérieusement à Olivier Besancenot, dans Dimanche +, s'il se verrait un jour candidat à l'élection présidentielle... et insiste en précisant qu'il ne s'est présenté jusque là qu'à des élections de niveau «local» !

mercredi, 11 juin 2008

Le petit garçon

C'était un compliment, délicieux !

12:56 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, sarkozy, ppda

mardi, 10 juin 2008

TF1, les milliardaires et le président

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13:06 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, sarkozy, tf1

lundi, 09 juin 2008

Mini-traité européen: et si l'Irlande disait non?

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samedi, 31 mai 2008

Se mobiliser pour la loi Lang

Aucun débat préalable avec les professionnels n'a eu lieu. L'ensemble de la chaîne du livre, ainsi que le Ministère de la Culture, se mobilise contre cette proposition (communiqué ci-joint). Un autre amendement, qui proposait de réduire ce délai à six mois, a ainsi pu être retiré.

Vous aussi, vous pouvez faire pression : le plus efficace est d'adresser un mél à votre parlementaire. Pour ce faire, rendez vous à l'adresse suivante :

http://www.assemblee-nationale.fr/13/qui/circonscriptions/

et laissez vous guider : en trois clics, vous tomberez sur la page présentant le député de votre circonscription, avec un lien direct sur son adresse mél.

Quelques mots suffisent : il faut agir très rapidement, car l'amendement sera débattu vraisemblablement dès lundi, la LME ayant fait l'objet d'une déclaration d'urgence.

Société des Gens de Lettres – SGDL                                                      

Syndicat National de l’Edition - SNE

Syndicat de la Librairie Française - SLF

COMMUNIQUE DE PRESSE  

Alerte sur le prix unique du livre

Dans le cadre de l'examen du projet de loi sur la modernisation de l’économie à l'Assemblée nationale, des Députés ont élaboré des propositions d’amendements visant à supprimer l’une des dispositions majeures de la loi du 10 août 1981 relative au prix du livre en réduisant de deux ans à six mois le délai durant lequel les soldes de livres sont interdits. L'intervention de la Ministre de la culture et de la communication, Christine ALBANEL, et de ses services, ainsi que la mobilisation commune des auteurs, des éditeurs et des libraires à travers leurs organisations professionnelles (Société des Gens de Lettres; Syndicat National de l'édition, Syndicat de la librairie française) a permis d'alerter les parlementaires sur les dangers extrêmes de ces amendements et a favorisé le retrait de celui défendu par un membre du groupe UMP. Il semblerait néanmoins que le second amendement, porté par un Député du groupe « Nouveau Centre », puisse encore être maintenu malgré le vote négatif de la Commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale, ce que dénoncent avec la plus grande fermeté les auteurs, les éditeurs et les libraires. En effet, si cette disposition était adoptée par le Parlement, elle signerait la fin du prix unique du livre et amorcerait un bouleversement total du marché du livre. La SGDL, le SNE et le SLF rappellent que les conséquences d'une dérégulation du marché du livre seraient, en premier lieu, pénalisantes pour les consommateurs et les lecteurs. En effet, comme cela s’est vérifié à l’étranger – au Royaume-Uni en particulier où le prix unique a été supprimé en 1995 –, la dérégulation du marché du livre emporterait au moins trois effets négatifs : un appauvrissement de l’offre éditoriale, de nombreux titres ne pouvant plus être publiés par les éditeurs, une augmentation du prix moyen du livre préjudiciable au pouvoir d’achat des lecteurs, les éditeurs étant contraints de compenser le manque de recettes lié aux soldes par une augmentation globale de leurs prix et, enfin, des obstacles supplémentaires pour le  public dans son accès au livre du fait de la disparition de librairies en centre-ville. Des livres en moins grand nombre, plus chers et moins accessibles, le consommateur, contrairement aux idées reçues, a tout à perdre à cette dérégulation. Les librairies indépendantes, dont l’une des principales spécificités consiste justement à offrir au public des ouvrages de plus de six mois, ne pourraient résister à l’émergence d’un marché du solde à grande échelle dans les grandes surfaces comme sur Internet. Leur disparition serait dramatique pour la diversité de la création éditoriale et pour la vitalité des centres villes. Les éditeurs, pour leur part, pâtiraient directement d’un report des achats de nouveautés dans l’attente des soldes, d’un « discount » sur les ouvrages du fonds de leur catalogue ainsi que de la fragilisation ou de la disparition de nombreuses librairies. Quant aux auteurs, pour autant que le décompte de leurs droits soit praticable, ils ne mettraient pas longtemps à voir leur montant réduit à bien peu de chose : dans le meilleur des cas, l’exploitation de leurs ouvrages ne dépasserait pas la période considérée, et, le plus souvent, le public n’aurait que six mois à attendre pour acquérir un livre à un prix de liquidation. C’est dire que le système envisagé ne profiterait qu’aux auteurs de « best-sellers ». La SGDL, le SNE et le SLF rappellent que la loi de 1981 a bénéficié depuis l’origine d’un très large consensus, parmi les professionnels comme au sein de la classe politique, la loi ayant été votée à l'unanimité, en 1981 comme en 2003 lors de son extension aux ventes aux collectivités. Cette loi a incontestablement permis un essor du marché du livre grâce à un réseau très dense de points de vente qui garantit la diversité de l’offre éditoriale et, donc, la richesse de la création littéraire. Elle est une vraie loi de concurrence car les différents types de circuits de diffusion, des librairies indépendantes à la grande distribution, en passant par les grandes surfaces culturelles et les librairies en ligne, ont pu se développer sans que l’un de ces circuits n’écrase pour autant ses concurrents. Cette densité et cette diversité des circuits de diffusion permettent à l’ensemble des secteurs éditoriaux de trouver leur public. Enfin, le prix unique a pour autre vertu de contenir l’augmentation du prix du livre. Ainsi, les chiffres de l’INSEE montrent que, sur les dix dernières années, l’indice du prix du livre a évolué deux fois moins vite que l’indice général des prix. La loi du 10 août 1981 sur le prix unique du livre est une loi concurrentielle et, qui plus est, anti inflationniste. Elle constitue l'une des illustrations les plus éloquentes et les plus concrètes de la diversité culturelle. La guerre des prix que certains veulent engager aboutirait à une liquidation de la culture. Les professionnels sont pleinement disposés à ouvrir la réflexion et le débat sur ce sujet avec les parlementaires mais en prenant le temps nécessaire pour mener des analyses pertinentes. C'est pourquoi, les auteurs, les éditeurs et les libraires demandent le retrait de l'amendement sur les soldes de livres et en appellent à l'ensemble des parlementaires et au Gouvernement afin qu'ils rejettent ces tentatives de déstabilisation du marché du livre qui seraient ruineuses et irrémédiables pour l'économie du livre et pour la culture.    

Contacts

Syndicat de la Librairie Française  : 01 53 62 23 10 / 14 - g.husson@syndicat-librairie.fr Syndicat National de l’Edition : 01 44 41 40 50 - cdemazieres@sne.fr Société des Gens de Lettres : 01 53 10 12 00 – sgdl@sgdl.org          

jeudi, 29 mai 2008

Misère de la publicité, publicité de la misère

Cette pub, qui se veut humoristique, donne bien le ton de l’époque misérable...

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mardi, 27 mai 2008

Les "Grenelle" ça commence à bien faire !

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samedi, 24 mai 2008

L’Adversaire

1333012460.jpg« Car l’Adversaire est inquiet. Ses réseaux de renseignement sont mauvais, sa police débordée, ses agents corrompus, ses amis peu sûrs, ses espions souvent retournés, ses femmes infidèles, sa toute-puissance ébranlée par la première guérilla venue. Il dépense des sommes considérables en contrôle, parle sans cesse en termes de calendrier ou d’images, achète tout, investit tout, vend tout, perd tout. Le temps lui file entre les doigts, l’espace est pour lui de moins en moins un refuge. Les mots « siècle » ou « millénaire » perdent leur sens dans sa propagande. Il voudrait bien avoir pour lui cinq ou dix ans, l’Adversaire, alors qu’il ne voit pas plus loin que le mois suivant. On pourrait dire ici, comme dans la Chine des Royaumes combattants, que « même les comédiens de Ts’in servent d’observateurs à Houei Ngan ». Le Maître est énorme et nu, sa carapace est sensible au plus petit coup d’épingle, c’est un Goliath à la merci du moindre frondeur, un Cyclope qui ne sait toujours pas qui s’appelle Personne, un Big Brother dont les caméras n’enregistrent que ses propres fantasmes, un Pavlov dont le chien n’obéit qu’une fois sur deux. Il calcule et communique beaucoup pour ne rien dire, l’Adversaire, il tourne en rond, il s’énerve, il ne comprend pas comment le langage a pu le déserter à ce point, il multiplie les informations, oublie ses rêves, fabrique des films barbants à la chaîne, s’endort devant ses films, croit toujours dur comme fer que l’argent, le sexe et la drogue mènent le monde, sent pourtant le sol se dérober sous ses pieds, est pris de vertige, en vient secrètement à préférer mourir. » 

Philippe Sollers, Eloge de l’Infini. Janvier 2001

Photo de Gildas Pasquet