lundi, 30 avril 2007
Chroniques d'une élection (63)
22:40 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy
Chroniques d'une élection (62)
18:42 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy, mai 68
Chroniques d'une élection (61)
00:00 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy, Edwy Plenel
samedi, 28 avril 2007
Chroniques d'une élection (60)
Une page de poésie indépassable :
Photo : Gildas Pasquet gildaspasquet@gmail.com
02:15 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy
vendredi, 27 avril 2007
Chroniques d'une élection (59)
C’est que, paradoxalement, depuis sa victoire au premier tour, Nicolas Sarkozy a perdu la main...
19:32 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal
Chroniques d'une élection (58)
15:02 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, présidentielles2007, débat
Chroniques d'une élection (57)
"Par toute une série de réseaux, qui rapprochent de très grandes puissances financières et médiatiques autour de Nicolas Sarkozy, les interventions directes sont faites auprès des rédactions, auprès des chaînes de manière que l'information se trouve verrouillée"
François Bayrou, lire ici
08:55 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy
jeudi, 26 avril 2007
Chroniques d'une élection (56)
22:09 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy, Cécilia Sarkozy
mercredi, 25 avril 2007
Chroniques d'une élection (55)
Vu sur le blog de Marie, toujours bien renseignée, ce site annonçait les résultats du premier tour dimanche vers 18 H. Si ça vous tente pour le deuxième...
13:31 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Politique, présidentielles2007, résultats
mardi, 24 avril 2007
Chroniques d'une élection (54)
Source : Le Monde
10:05 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, Présidentielles2007
lundi, 23 avril 2007
Chroniques d'une élection (53)
Et si c'était justement le temps politique et médiatique que cette blogosphère militante était parvenue à bousculer ? Jusqu'à une époque récente, personnel politique et journalistes avaient conservé la haute main sur le calendrier événementiel. Avec sa force de réaction rapide, un esprit frondeur et décomplexé, la blogosphère militante s'est immiscée dans ce tête-à-tête. Espérons que les effets seront stimulants et qu'ils dureront davantage que le temps de l'élection.
14:44 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, blogs, blogosphère, Présidentielles2007
samedi, 21 avril 2007
Le chef qui mérite de réussir
" Il y a dans les grandes entreprises des articles qui décident de tout, et sur lesquels le chef qui mérite de réussir est celui qui ne se fie à personne. "
21:18 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : politique, présidentielles 2007, Casanova, Philippe Sollers
Chroniques d'une élection (52)
19:47 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : politique, présidentielles2007, Ségolène Royal, Pierrette Fleutiaux
jeudi, 19 avril 2007
Chroniques d'une élection (51)
15:17 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, Présidentielles2007, Ségolène Royal
Chroniques d'une élection (50)
Mercredi 18 avril 2007
Je voudrais vous parler de sentiments. Car lors d’une élection présidentielle, et pour celle-ci bien plus que pour toute autre, il s’agit aussi de sentiments. Il s’agit d’étonnement d’abord, d’espoir, de confiance, de méfiance, de craintes, et de courage aussi.
Il s’agit surtout, je crois, d’un sentiment de genèse. Je n’ai jamais cru que la Genèse fut terminée. Petite fille, je pensais même que, une fois grande personne, je serais fermement conviée à y participer. Et comme, à l’époque, aucun adulte autour de moi ne s’est cru autorisé à me détromper, je le pense toujours. Certains hommes, certaines femmes, savent mieux que d’autres nous rappeler à notre droit et à notre devoir de contribuer à cette genèse, à cette mise au monde d’un meilleur monde. D’un meilleur pays, d’une meilleure ville, d’un meilleur quartier, d’une meilleure rue, d’un meilleur immeuble. D’un meilleur théâtre. Mieux que d’autres, par leur détermination, leur ferveur, leur sincérité, leur intelligence, leur audace, ils nous incitent à entamer ou à reprendre avec joie un combat clair, juste, urgent, possible. Modeste pour les uns, gigantesque pour les autres, mais possible.
Pour libérer cet élan, il ne doit y avoir chez les prétendants aucune faconde, aucune forfanterie, aucune vulgarité de comportement, aucun mépris de l’adversaire. Aucune enflure pathologique de l’amour du moi. Aucune goinfrerie. Aucune clownerie de bas étage, aucun double langage. Aucune mauvaise foi. Non, il doit y avoir une terreur sacrée. Oui. Ils doivent être saisis d’une terreur sacrée devant le poids écrasant de la responsabilité qu’ils ambitionnent de porter, devant l’attente du peuple dont ils quémandent le suffrage avec tant d’insistance. Oui, il faut qu’ils tremblent de la terreur de nous décevoir. Or, pour cela, il leur faut de l’orgueil. Car, sans orgueil, pas de honte. Pas de vergogne. Que de fois, ces jours-ci, je me suis exclamée: «Oh! Il est vraiment sans vergogne, celui-là.»
Eh bien, moi, j’espère, je crois, je sais que Ségolène Royal a de la vergogne et donc qu’elle est capable de grande honte si, une fois élue, elle ne réussissait pas à nous entraîner tous et chacun, où que nous soyons, du plus important des ministères jusqu’à la plus humble classe de la plus petite école de France, dans cet herculéen travail qui nous attend et qui consistera à recoudre, à retisser même par endroits, et à poursuivre la formidable tapisserie qu’est la société française. Cet imparfait, cet inachevé mais si précieux ouvrage que, par pure, ou plutôt par impure stratégie de conquête du pouvoir, Nicolas Sarkozy et ses associés s’acharnent à déchirer.
Donc, contre la pauvreté, contre le communautarisme, pour la laïcité, pour la rénovation de nos institutions, contre l’échec scolaire, et donc pour la culture, pour l’éducation et donc pour la culture, pour les universités, pour la recherche, et donc pour la culture, pour la préservation de la seule planète vivante connue jusqu’à ce jour, pour une gestion plus vertueuse, plus humaine, donc plus efficace des entreprises, pour l’Europe, pour une solidarité vraie, qu’on pourrait enfin nommer fraternité et qui ne s’arrêterait pas à une misérable frontière mais s’étendrait bien au-delà de la mer, bref, pour une nouvelle pratique de la politique, c’est un immense chantier que cette femme, eh oui, cette femme, nous invite à mettre en oeuvre. Et moi, je vote pour ce chantier, donc je vote pour Ségolène Royal.
Son adversaire surexcité veut nous vendre, nous fourguer un hypermarché, un vrai Shopping Paradise — très bien situé, remarquez, juste en face de la caserne des CRS, elle-même mitoyenne du nouveau Casino des Jeux concédé à ses amis lorsqu’il était ministre — tandis qu’un troisième… Celui-là, à part être président, j’ai du mal à
comprendre ce qu’il veut pour nous. Une hibernation tranquille, peut-être ? Pendant ce temps, celui que bien imprudemment certains s’obstinent à classer quatrième alors qu’il y a cinq ans… vous vous souvenez ?
Ô! Nos visages blêmes, nos mains sur nos bouches tremblantes et nos yeux pleins de larmes. Ô ce jour-là nos visages… les avons-nous déjà oubliés ? L’horreur de ce jour-là, l’avons-nous déjà oubliée? La honte de ce jour-là? Voulez-vous les revoir, ces visages? Moi, non. Voilà pourquoi, même si je respecte leurs convictions, et en partage
plus d’une, je ne veux pas que ceux qui pratiquent l’opposition radicale, jusqu’à en prôner la professionnalisation durable, nous entraînent dans leur noble impuissance.
Voilà pourquoi je pense que nous, le soir, dans nos dîners, devons cesser nos tergiversations de précieux ridicules. C’est du luxe. Un luxe insolent aujourd’hui. Beaucoup dans ce pays ne peuvent se le payer. Ils souffrent. Ils sont mal-logés, ou pas logés. Ils mangent mal. Ils sont mal soignés, ne connaissent pas leurs droits,donc n’ont droit à rien. Ni lunettes, ni dents, ni vacances, ni outils de culture. Leurs enfants n’héritent que de leur seule fragilité. Ils souffrent. Ils sont humiliés. Ils ne veulent pas, ils ne peuvent pas, eux, passer un tour. Encore un tour. Jamais leur tour.
Alors, dépêchons-nous. Il y a du monde qui attend. Allons-y, bon sang ! Il n’y a plus une minute à perdre. Cette femme, eh oui, cette femme porte nos couleurs, elle les porte vaillamment, courageusement, noblement. Et quand je dis couleurs, je ne parle pas des seules trois couleurs de notre drapeau. Je parle des couleurs de la France , celle que j’aime, celle de la citoyenneté vigilante, de la compassion pour les faibles, de la sévérité pour les puissants, de son amour intelligent de la jeunesse, de son hospitalité respectueuse et exigeante… Je parle des couleurs de l’Europe à qui nous manquons et qui nous manque.
Voilà pourquoi je vote pour les travaux d’Hercule, je vote pour Ségolène Royal,et je signe son pacte.
Ariane Mnouchkine
09:34 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : politique, Présidentielles2007, Ségolène Royal
mercredi, 18 avril 2007
Chroniques d'une élection (49)
22:10 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy, médias
Allez, un p'tit chèque de 8,5 millions d'euros !
22:06 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, indemnités de départ
mardi, 17 avril 2007
Le lobby le plus puissant des Etats-Unis
15:50 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, vente d'armes, Etats-Unis
vendredi, 13 avril 2007
Chroniques d'une élection (48)
Pour ceux qui douteraient encore de la profondeur de pensée du candidat le mieux placé à l'élection présidentielle, voici, pris sur l'excellent blog de Laurent Morancé (Le jour et la nuit) la restitution d'un entretien, hallucinant, paru dans Philosophie Magazine, entre Michel Onfray et Nicolas Sarkozy :
Michel Onfray (M.O.) : Je ne suis pas rousseauiste et ne soutiendrais pas que l'homme est naturellement bon. À mon sens, on ne naît ni bon ni mauvais. On le devient, car ce sont les circonstances qui fabriquent l'homme.
Nicolas Sarkozy (N.S.) : Mais que faites-vous de nos choix, de la liberté de chacun ?
M.O. : Je ne leur donnerais pas une importance exagérée. Il y a beaucoup de choses que nous ne choisissons pas. Vous n'avez pas choisi votre sexualité parmi plusieurs formules, par exemple. Un pédophile non plus. Il n'a pas décidé un beau matin, parmi toutes les orientations sexuelles possibles, d'être attiré par les enfants. Pour autant, on ne naît pas homosexuel, ni hétérosexuel, ni pédophile. Je pense que nous sommes façonnés, non par nos gènes, mais par notre environnement, par les conditions familiales et socio-historiques dans lesquelles nous évoluons.
N.S. : Je ne suis pas d'accord avec vous. J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1200 ou 1300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains développent un cancer, d'autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense.
03:35 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : politique, présidentielles2007, Nicolas Sarkozy
jeudi, 12 avril 2007
Chroniques d'une élection (47)
De quelques vérités sur les sondages, lire ici
17:51 Publié dans Présidentielles 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, Présidentielles2007, sondages