jeudi, 11 janvier 2024
Correction des épreuves : Ulysse de Joyce
11:43 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : james joyce
mercredi, 03 février 2021
Ulysse
21:15 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : james joyce
dimanche, 04 février 2018
Premier manuscrit d'Ulysse de Joyce
16:18 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : james joyce, ulysse
samedi, 13 juin 2015
Le silence, l’exil, la ruse
« Je ne veux pas servir ce à quoi je ne crois plus, que cela s’appelle mon foyer, ma patrie, mon église. Je veux essayer de m’exprimer sous une forme quelconque d’existence ou d’art librement et aussi complètement que possible en employant pour ma défense, les seules armes que je m’autorise à employer, le silence, l’exil, la ruse. »
James Joyce
12:25 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : james joyce
samedi, 20 décembre 2014
Devise de James Joyce
"L'exil, le silence, la ruse."
02:21 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : james joyce
mercredi, 16 janvier 2013
Réveil
"L'histoire est un cauchemar dont j'essaie de me réveiller."
James Joyce
04:11 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : james joyce
samedi, 07 juillet 2012
J'essaie de m'éveiller
"L'histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller"
James Joyce
01:15 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : james joyce
dimanche, 20 décembre 2009
Chaque page nouvelle est une aventure
Supposons que je sois sur le point d’écrire une fable, et que deux arguments s’offrent à moi ; ma raison reconnaît que le premier est très supérieur ; le second est résolument médiocre, mais il m’attire. Dans ce cas-là, j’opte toujours pour le second. Chaque page nouvelle est une aventure dans laquelle nous devons nous mettre en jeu.
Borges
Photo : James Joyce
00:15 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : borges, james joyce
samedi, 05 décembre 2009
Relisant Gens de Dublin
Relisant pour la xième fois "Les morts", la nouvelle qui clôt le recueil de James Joyce "Gens de Dublin", oeuvre de jeunesse de James Joyce, je n'en reviens pas de cet extraordinaire enchaînement de faits et de causes : John Huston l'a adaptée au cinéma, ce serait son dernier film ; et par rapport à la nouvelle, il donne encore plus de force et d'importance à la scène finale, longue et magnifique méditation sur la mort ; et c'est à sa fille Angelica Huston qu'il confia le principal rôle féminin, personnage qui fait tout basculer à la fin justement
00:15 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : james joyce, gens de dublin, les morts, john huston
mercredi, 06 mai 2009
Le bon plaisir de Philippe Sollers
Il y est notamment question de pensée ( extrait 3. La forme de la pensée contemporaine)
et de cette photo de James Joyce par Gisèle Freund
" Je ne suis pas bien vu par les douaniers du système littéraire, les gens du milieu ; mais je suis lu par les simples gens ou les érudits ".
04:31 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : philippe sollers, james joyce
mardi, 23 octobre 2007
Le fameur monologue de Molly Bloom
"C'est depuis peu de temps qu'un éclaircissement a eu lieu à propos de ce qu'il faut nommer la guerre des femmes, qui connaît un tournant d'époque considérable, à la faveur des mutations que nous connaissons. Cette guerre ne s'était jusqu'à maintenant racontée qu'à travers des religions, des mythes, plus ou moins argumentés et descriptifs. Mais ce n'est que maintenant que nous pouvons relire, rouvrir toute l'archive à ce sujet. Il nous suffit alors de nous mettre dans une position "ulysséenne", ce que le professionnel Joyce a bien compris au début du XX è siècle. Ce n'est pas un hasard si Ulysse se termine par le fameux monologue de Molly Bloom."
Philippe Sollers, Guerres Secrètes
01:36 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Philippe Sollers, Guerres secrètes, James Joyce, La guerre des femmes
lundi, 23 avril 2007
Dans la paix du matin...
L'ombre des forêts flottait dans la paix du matin entre la tour et la mer que regardait Stephen. Au creux de la baie et au large blanchissait la mer miroitante, éperonnée par des pieds fugaces et légers. Sein blanc de la mer nébuleuse. Les accents enlacés deux à deux. Une main cueillant les cordes de la harpe et mêlant leurs accords jumeaux. Vagues couplées du verbe, vif-argent qui vacille sur la sombre marée.
James Joyce, Ulysse
09:50 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : littérature, James Joyce, Ulysse