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jeudi, 14 décembre 2006

Chroniques d'une élection (16)

26% des Français sont plutôt" ou "tout à fait" d'accord avec les idées défendues par Jean-Marie Le Pen

Lire ici

Chroniques d'une élection (15)

A qui profite la sinistrose ? Voir ici cette affiche inquiétante de Le Pen

lundi, 11 décembre 2006

Chroniques d'une élection (14)

« L’autre jour, je m’amusais, on s’amuse comme on peut, à regarder le programme du concours d’attaché d’administration. Un sadique ou un imbécile, choisissez, avait mis dans le programme d’interroger les concurrents sur la Princesse de Clèves. Je ne sais pas si cela vous est souvent arrivé de demander à la guichetière ce qu’elle pensait de la Princesse de Clèves… Imaginez un peu le spectacle ! »

C'est du Sarko bien sûr, dans le texte  ! Article complet à lire ici

samedi, 02 décembre 2006

Pourquoi attendre davantage ? C’est elle.

Voilà des mois que j’entends dire, par des gens sérieux, informés, responsables, que Ségolène Royal n’a aucune chance d’être désignée comme candidate du Parti socialiste, qu’elle va s’effondrer dès les premières confrontations, qu’elle ne tiendra pas le coup dans les débats de fond, qu’elle est une simple bulle médiatique, une boursouflure artificielle, un sourire vide, une invention des sondages et de l’opinion. L’opinion, comme on sait, doit sans cesse être réorientée, réformée et éclairée par le clergé qui compte, celui des experts, des économistes, des banquiers, des hommes d’affaires, des vrais politiques (hommes, évidemment), des penseurs officiels. Eh bien, elle est toujours là, elle brille, elle augmente, elle tue des éléphants, elle est déjà en finale, mais c’est comme si la finale venait d’avoir lieu. Pourquoi attendre davantage ? C’est elle. Que de mois inutiles et ennuyeux à endurer, encore des débats, des meetings, des dérapages, des torsions, des révélations, des clearstreams, des petites phrases empoisonnées, des vidéos trafiquées. Et tout ça pour quoi ? La suite est connue : Chirac maintient le suspense, laisse parler Bernadette, et s’arrange, en douce, pour faire passer Ségo, comme il a fait passer Mitterrand. Enfance de l’art. Avec Ségo, immaculée conception, divine surprise, la France ressuscite et prend indubitablement le leadership mondial de l’image, c’est-à-dire, désormais, du réel. La presse internationale ne s’y trompe pas, elle tient sa star, son soleil permanent, son stock de rebondissements, de tirages, de surprises. Libération est sauvé, de nouveaux talents s’épanouissent. Ségo vient de dire «  n’ayons pas peur des idées neuves ». C’est très bon, ça, je suis là.

Extrait du "Journal du mois" Philippe Sollers, nov 2006

A lire en entier ici

jeudi, 30 novembre 2006

Chroniques d'une élection (13)

Vers un deuxième tour Royal-Le Pen.

Entrée en matière ratée de Sarkozy

dimanche, 26 novembre 2006

Chroniques d'une élection (12)

« Il nous faut des politiciens érotiques. » : Jim Morrison

samedi, 18 novembre 2006

Chroniques d'une élection (11)

Gauloiseries...

vendredi, 17 novembre 2006

Chroniques d'une élection (10)

medium_MILAN_01NOV06_44_.jpgVu de l'étranger

Et de France

L'édito de J.M. Bouguereau

Photo : Gildas Pasquet

mardi, 14 novembre 2006

Chroniques d'une élection (9)

Sur la question du vote utile, lire ici. Un vote peut-il être autre chose qu'utile ? Sinon pourquoi faire ?

samedi, 28 octobre 2006

Chroniques d'une élection (8)

medium_lichtenstein-pour_la_france.gifStrauss-Kahn, vrai rival de Royal?

Lire ici

vendredi, 27 octobre 2006

On vous mène en bateau depuis quarante ans.

Allez, Françaises, Français, citoyens, camarades, compagnons, il est l'heure de s'attabler et de cracher le morceau : on vous mène en bateau depuis quarante ans.

A lire ici, à propos du documentaire de Patrick Rotman sur Jacques Chirac

jeudi, 26 octobre 2006

Chroniques d'une élection (7)

"Si l’on pense que tout va bien et qu’il faut continuer comme ça, alors continuons ! Mais moi je pense que tout ne va pas bien !"

Ségolène Royal

à lire ici l'édito de Jean-Marcel Bouguereau

mardi, 24 octobre 2006

Chroniques d'une élection (6)

"Avec cette distinction bourgeoise qui semble dissimuler quantité de secrets inavouables, Sego ressemble déjà à un personnage Chabrolien."

Arlette Laguillier

Chroniques d'une élection (5)

Le scénario est désormais bien rodé. Centres militaires pour jeunes délinquants, 35 heures, carte scolaire ou «surveillance populaire» des élus : «Ségolène Royal regarde ce qui monte dans l'opinion sur un sujet précis, elle attaque la ligne socialiste, elle se fait attaquer en retour par son camp, résume un sondeur. Puis elle attend le sondage qui montre qu'elle a le soutien de l'opinion.» Le tout dans un timing soigné...

Article à lire ici

lundi, 23 octobre 2006

Chroniques d'une élection (4)

"comme si aucune leçon n'avait été tirée du séisme du 21 avril 2002, quand Lionel Jospin, confronté à sept concurrents de gauche et d'extrême gauche, qui avaient totalisé 26,71 % des suffrages, avait été éliminé dès le premier tour"

Article à lire ici

lundi, 16 octobre 2006

Chroniques d'une élection (3)

Emploi du temps particulièrement chargé ! La marche citoyenne d'AC le feu s'arrêtera aux portes de l'Assemblée...

Lire ici

dimanche, 01 octobre 2006

Quant à Ségo, elle sent quelque chose : la France, avec jeu de mots, est en train de devenir la Hollande

Quant à Ségo, elle sent quelque chose : la France, avec jeu de mots, est en train de devenir la Hollande, elle veut une grande soeur maternelle, elle a bobo. Du simple point de vue publicitaire, si elle ne se fatigue pas trop vite, Ségo a un avantage : elle porte avec elle un avenir indiscutable de films, de magazines, de fringues, de sacs, de souliers, de bijoux, de lingerie fine, de produits de beauté, de propreté, de pureté, de dignité, de sécurité, de respect, de désirs d’enfance. Elle réprimande une petite Bretonne ? Et alors ? Elle se montre avec le play-boy Montebourg ? Pourquoi pas ? Le spectacle la veut et l’impose, face à des concurrents d’avant le 11-Septembre et le quinquennat. Problème de la parité : combien de femmes à droite ? Et à gauche, à part la vedette ? On attend de voir. Quant à Chirac, regonflé à l’international, impossible de ne pas l’imaginer pensant à la future passation de pouvoir : Sarkozy sur le perron de l’Elysée ? L’enfer. Ségolène s’avançant vers lui tout sourire ? Bernadette fera la tête, mais tant pis.

Extrait du Journal du mois, Philippe Sollers, dans le JDD, à lire en intégralité ici