vendredi, 29 janvier 2021
Magazine Art-Vues, janvier 2021
21:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les hauts lieux de l'histoire dans l'hérault, art-vues
Chasse
21:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean-philippe charbonnier, stendhal
jeudi, 28 janvier 2021
Matisse, les genêts, 1905
09:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse
mercredi, 27 janvier 2021
Gérard Philipe, Jean Vilar et Léon Gischia photographiés par Agnès Varda dans la Cour d'honneur du Palais des papes, 1952
19:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gérard philippe, agnès varda, jean vilar
dimanche, 24 janvier 2021
Caravage
20:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : caravage
vendredi, 22 janvier 2021
Joan Miro, autoportrait, 1919
10:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : miro
Vase d'amaryllis, 1941, Matisse
(avec les pommes de Cézanne)
10:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse
mercredi, 20 janvier 2021
De Saint-Georges à Frontignan, des vins plébiscités par un président
Thomas Jefferson a été un des inspirateurs de la démocratie américaine. Homme de grande culture et aux multiples talents, on le considère comme un des plus grands présidents des États-Unis. Sa tête est une des quatre sculptées au Mont Rushmore avec celles de Washington, Roosevelt et Lincoln. Avant de devenir le troisième président des États-Unis, il a été ambassadeur en France de 1784 à 1789. Il se casse alors le poignet et part en cure pour se faire soigner à Aix. La cure n’est pas très efficace, mais, grand amateur de vins, il en profite pour faire un tour de France des vignobles. Dans l’Hérault, il découvre le Muscat de Frontignan et les vins rouges de Saint-Georges dont il vantera les mérites et qu’il importera dans son pays.
Extrait de : "De Saint-Georges à Frontignan, des vins plébiscités par un président."
Dans "Hauts-lieux de l'Histoire dans l'Hérault", Papillon Rouge éditeur.
08:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les hauts lieux de l'histoire dans l'hérault, thomas jefferson
dimanche, 17 janvier 2021
Edouard Boubat
11:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : edouard boubat
Merced river, Yosemite, California, Jack Spencer
11:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jack spencer
vendredi, 15 janvier 2021
L’acte de voir ne se détermine pas à partir de l’œil mais à partir de l’éclaircie de l’être
13:08 Publié dans Le Sourire de Cézanne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le sourire de cézanne, piero della francesca
jeudi, 14 janvier 2021
Sorško polje, Slovenia Photo de Jure Kravanja Yurko
11:36 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jure kravanja yurko
Matisse, le cauchemar de l'éléphant blanc, 1947
10:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse
mardi, 12 janvier 2021
Berthe Morisot, le port de Nice, 1882
18:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : berthe morisot
lundi, 11 janvier 2021
Le beau est d'abord ce qui désoriente : Julien Gracq
Photo : Neil Folberg
09:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : neil folberg, julien gracq
dimanche, 10 janvier 2021
Vision des anges déchus
Vision des anges déchus. Une ville solaire, à l’écart des grandes routes du Mexique. Abandonnée de tous, sauf du vent. Et de l’autobus quotidien au départ de la grande ville. Avant, il y avait de l’or, maintenant il reste un hôtel, quelques bars sur la rue principale, des maisons basses. Un soleil âpre et mordant et le vent qui balaie la poussière.
Je suis serveur dans cet hôtel, logé, nourri. Venu ici à cause d’un livre, Sur la route, de Jack Kerouac, et de l’arrivée au Mexique, vers la fin, qui ressemble au paradis. Un jour, j’ai eu envie de partir. J’ai pris le train, le bateau, l’autocar, fait du stop. Comme dans le livre, tout peut arriver et tout arrive d’ailleurs, d’un instant à l’autre, du noir désespoir à des plaisirs fulgurants. Tout ce dont on peut rêver à vingt ans, là, à portée de main. On passe à travers les villes, les pays, comme une étoile filante, de vagues ombres se profilent. On aperçoit des reflets, des lignes se dessinent, furtives. Il est trop tôt pour s’arrêter. On est parti pour savoir comment était fait le destin, en explorer les contours. Le jeu est dangereux mais on ne le sait pas encore, ou on en rêve secrètement.
Raymond Alcovère, Le bonheur est un drôle de serpent, roman, 2009, Lucie éditions, début du texte
Photo de Dave Jordano
10:57 Publié dans Le Bonheur est un drôle de serpent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dave jordano
Eric Goncalves
10:50 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eric goncalves
vendredi, 08 janvier 2021
Il existe un soi qui, lorsqu'on sait le respecter, est indépendant, inattaquable
"Te souviens-tu, chère amie, quand nous étions dans cette triste chambre où on montait par ce vilain escalier, où il faisait si froid, où nous étions contents de nous, c'est qu'il existe un soi qui, lorsqu'on sait le respecter, est indépendant, inattaquable, et qu'il a encore un aplomb dans les orages, dans les tremblements de terre. Eh bien, en vérité, ce n'est chez moi que de l'instinct, dont ton aimable intérêt me fait raisonner avec toi, toi toute seule..."
Vivant Denon à Bettine, 1814
Matisse, 1953
09:59 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vivant denon, matisse
jeudi, 07 janvier 2021
Matisse, intérieur avec phonographe, 1924
11:49 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse
mercredi, 06 janvier 2021
Les sensations formant le fond de mon affaire, je crois être impénétrable
Des arbres, un coin de ciel safran, des branches de pins se balancent dans l’air doré, corps suspendus flottant au dessus du vide, vert sauge de la végétation, baigneurs, baigneuses, chaque tableau fait partie de l’unité du monde, une parcelle de l’univers, détachée afin de mieux le rejoindre. Il y a toujours une relation d’amour, de fusion dans sa composition." C’est comme si chaque point du tableau avait connaissance de tous les autres", écrira Rilke à propos de La Femme au gilet rouge, Madame Cézanne. "Les sensations formant le fond de mon affaire, je crois être impénétrable." A la question, écrivez une de vos pensées ou une citation dont vous approuvez le sens, Cézanne a répondu ces vers de Vigny : "Seigneur, vous m’avez fait puissant et solitaire. Laissez-moi m’endormir du sommeil de la terre." Le véritable vers est : "Hélas ! Je suis, Seigneur, puissant et solitaire..."
Raymond Alcovère, Le Sourire de Cézanne, éditions n & b, 2007, extrait
Autoportrait à la palette (remarquez le pouce !)
19:17 Publié dans Le Sourire de Cézanne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cezanne, le sourire de cézanne