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mardi, 22 février 2022

L’acte de voir ne se détermine pas à partir de l’œil mais à partir de l’éclaircie de l’être

1765750081.jpgRien de plus apaisant que les fresques de Piero della Francesca. Comme Cézanne, il a poursuivi un chemin solitaire, sans chercher la gloire ni la protection d’hommes influents, préférant l’œuvre aux intrigues du monde. Reste la plénitude, un sentiment d’éternité. Personne n’a imprimé à ses personnages autant de grâce, de sérénité sur les visages, jamais on n’a pu lire une telle absence d’anxiété jusque dans les scènes de violence, de guerre.

Visages proches de ceux de Cézanne d’ailleurs, hiératiques, paisibles. L’acte de voir ne se détermine pas à partir de l’œil mais à partir de l’éclaircie de l’être, cette phrase de Heidegger, Léonore la met en exergue de son livre.

Raymond Alcovère, extrait de "Le Sourire de Cézanne", roman, 2007, n & b éditions

PIERO DELLA FRANCESCA ; LE DECES D'ADAM ; DETAIL

vendredi, 15 janvier 2021

L’acte de voir ne se détermine pas à partir de l’œil mais à partir de l’éclaircie de l’être

1765750081.jpgRien de plus apaisant que les fresques de Piero della Francesca. Comme Cézanne, il a poursuivi un chemin solitaire, sans chercher la gloire ni la protection d’hommes influents, préférant l’œuvre aux intrigues du monde. Reste la plénitude, un sentiment d’éternité. Personne n’a imprimé à ses personnages autant de grâce, de sérénité sur les visages, jamais on n’a pu lire une telle absence d’anxiété jusque dans les scènes de violence, de guerre.
Visages proches de ceux de Cézanne d’ailleurs, hiératiques, paisibles. L’acte de voir ne se détermine pas à partir de l’œil mais à partir de l’éclaircie de l’être, cette phrase de Heidegger, Léonore la met en exergue de son livre.
Raymond Alcovère, extrait de "Le Sourire de Cézanne", roman, 2007, n & b éditions
Piero della Francesca, le décès d'Adam, détail

lundi, 02 février 2009

Piero le fou

0212-0018_der_tod_adams_detail.jpgRien de plus apaisant que les fresques de Piero della Francesca. Comme Cézanne, il a poursuivi un chemin solitaire, sans chercher la gloire ni la protection d’hommes influents, préférant l’œuvre aux intrigues du monde. Reste la plénitude, un sentiment d’éternité. Personne n’a imprimé à ses personnages autant de grâce, de sérénité sur les visages, jamais on n’a pu lire une telle absence d’anxiété jusque dans les scènes de violence, de guerre.

Visages proches de ceux de Cézanne d’ailleurs, hiératiques, paisibles. L’acte de voir ne se détermine pas à partir de l’œil mais à partir de l’éclaircie de l’être, cette phrase de Heidegger, Léonore la met en exergue de son livre.

Raymond Alcovère, extrait de "Le Sourire de Cézanne", roman, 2007, n & b éditions

PIERO DELLA FRANCESCA ; LE DECES D'ADAM ; DETAIL

vendredi, 30 janvier 2009

Tout a lieu maintenant

1455_piero_della_francesca_dream.jpgPiero della Francesca, Le Songe de Constantin

lundi, 05 novembre 2007

L'acte de voir

ba12489f657d85920c52ba18b612dee4.jpgRien de plus apaisant que les fresques de Piero della Francesca. Comme Cézanne, il a poursuivi un chemin solitaire, sans chercher la gloire ni la protection d’hommes influents, préférant l’œuvre aux intrigues du monde. Reste la plénitude, un sentiment d’éternité. Personne n’a imprimé à ses personnages autant de grâce, de sérénité sur les visages, jamais on n’a pu lire une telle absence d’anxiété jusque dans les scènes de violence, de guerre. Visages proches de ceux de Cézanne d’ailleurs, hiératiques, paisibles. L’acte de voir ne se détermine pas à partir de l’œil mais à partir de l’éclaircie de l’être, cette phrase de Heidegger, Léonore la met en exergue de son livre.

Raymond Alcovère, extrait du roman "Le Sourire de Cézanne, éditions n & b

Piero della Francesca, La flagellation du Christ (détail)

Sur Piero lire ici

mercredi, 04 octobre 2006

Rien de plus apaisant que les fresques de Piero della Francesca

medium_flagellation.2.jpgRien de plus apaisant que les fresques de Piero della Francesca. Comme Cézanne il a poursuivi un chemin solitaire, sans chercher la gloire ni la protection d’hommes influents, préférant la poursuite de l’œuvre aux intrigues du monde. Reste la plénitude, un sentiment d’éternité, l’ensorcellement. Personne n’a imprimé à ses personnages autant de grâce, de sérénité sur les visages, jamais on n’a pu lire une telle absence d’anxiété jusque dans les scènes de violence, de guerre.

Extrait du roman : Le sourire de Cézanne, à paraître

Piero della Francesca, La flagellation