mercredi, 06 janvier 2021
Buster Keaton suspendu à une branche d'arbre avec ses deux fils, Joseph et Robert Talmadge, vers 1931

10:01 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : buster keaton
Dave Jordano, Detroit nocturne

02:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dave jordano
Berthe Morisot, la lecture, 1888

02:52 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : berthe morisot
José Suàrez, 1902-1974. Marineiros

02:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : josé suàrez
Matisse 1937, robe pourpre et anémones

02:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse
dimanche, 03 janvier 2021
Extases
 « Je ne médite, je ne rêve jamais plus délicieusement que quand je m’oublie moi-même. Je sens des extases, des ravissements inexprimables à me fondre pour ainsi dire dans le système des êtres, à m’identifier avec la nature entière. »
« Je ne médite, je ne rêve jamais plus délicieusement que quand je m’oublie moi-même. Je sens des extases, des ravissements inexprimables à me fondre pour ainsi dire dans le système des êtres, à m’identifier avec la nature entière. »
Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, VII
Photo de Jure Kravanja Yurko
10:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jure kravanja yurko, jean-jacques rousseau
samedi, 02 janvier 2021
« Et nous avons des nuits plus belles que vos jours » Lettre XIV de Jean Racine à M. Vitart du 17 janvier 1662

21:23 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : racine
Un oiseau aux ailes repliées
 "Dans chaque mot se trouve un oiseau aux ailes repliées, qui attend le souffle du lecteur."
"Dans chaque mot se trouve un oiseau aux ailes repliées, qui attend le souffle du lecteur." 
Emmanuel Levinas
Photo de Felix Thiollier
13:07 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : emmanuel levinas, félix thiollier
Trouble
 « J’attends de la pensée qu’elle se trouble. Ce qui ne la met pas à l’épreuve n’existe pas. Une pensée qui ne s’expose à rien d’autre qu’à sa petite production d’idées ne vaut pas mieux qu’un container à poubelles. »
« J’attends de la pensée qu’elle se trouble. Ce qui ne la met pas à l’épreuve n’existe pas. Une pensée qui ne s’expose à rien d’autre qu’à sa petite production d’idées ne vaut pas mieux qu’un container à poubelles. »
 Yannick Haenel
Monique Bourgeois, 1943, Matisse
13:00 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse, yannick haenel

















 
 
