samedi, 12 août 2023
"Portrait d'un jeune paysan", Vincent Van Gogh, 1889
20:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : van gogh
mardi, 08 novembre 2022
Van Gogh, Portrait de Camille Roulin, Nov-Dec 1888
10:52 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : van gogh
samedi, 26 février 2022
Francis Bacon, étude pour un portrait de Van Gogh, 1957
10:17 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : francis bacon, van gogh
samedi, 18 juillet 2020
Qui est vivant ?
20:29 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : van gogh, yannick haenel
jeudi, 13 octobre 2016
Van Gogh
"La ronde des prisonniers"•Saint-Rémy•1890 (Ispirazione da Gustavo Doré)
20:43 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : van gogh
dimanche, 08 mars 2015
Dico de bord (extrait 16)
#Dicodebord extrait 16
Lecture
« L’objet de la littérature est de nous apprendre à lire » a écrit Claudel. Il y a bien sûr plusieurs sortes de lectures. Ce n’est pas un acte anodin, qui devient de plus en plus politique aujourd’hui, puisque tout est fait pour nous empêcher de lire. La lecture de connaissance est la plus intéressante, comme l’a écrit Montaigne : « J’aime mieux forger mon âme que la meubler. » « Toutes les grandes lectures sont une date dans l’existence » : Lamartine. Nietzsche, dans Ecce homo, dessine le portrait-robot du lecteur parfait : « Quand j'essaie de m'imaginer le portrait d'un lecteur parfait, cela donne toujours un monstre de courage et de curiosité, et en outre quelque chose de souple, de rusé, de prudent, un aventurier et un explorateur-né. » Proust lui aussi, grand lecteur s’il en est, s’est penché sur la question : « Mais pour en revenir à moi-même, je pensais plus modestement à mon livre, et ce serait même inexact que de dire en pensant à ceux qui le liraient, à mes lecteurs. Car ils ne seraient pas, selon moi, mes lecteurs, mais les propres lecteurs d'eux-mêmes, mon livre n'étant qu'une sorte de ces verres grossissants comme ceux que tendait à un acheteur l'opticien de Combray ; mon livre, grâce auquel je leur fournirais le moyen de lire en eux-mêmes.» : Le temps retrouvé. Pour Philippe Sollers, la question est centrale : « Ma stratégie a toujours été simple : elle consiste à inviter les gens à lire. C’est dans les textes que s’opèrent les identifications décisives. » Il précise dans La Guerre du goût : « Savoir lire, c’est aussi pouvoir tout lire sans rejets et sans préjugés : Claudel et Céline, Artaud et Proust, Sade et la Bible, Joyce et Mme de Sévigné. Prouvez-le, montrez que vous n’êtes pas un esprit religieux. Savoir lire, c’est vivre le monde l’histoire et sa propre existence comme un déchiffrement permanent. Savoir lire, c’est la liberté ». Jules Renard est plus lapidaire : « Plus on lit, moins on imite. » Paul Léautaud, tord, à son habitude le cou à une idée reçue : « Les beaux livres, décourager d’écrire ? C’est comme si vous disiez qu’une jolie femme décourage de faire l’amour. » Paul Valéry dit à peu près la même chose à sa façon : « Ce qu’on apprend, à lire les vrais écrivains, c’est des libertés. On reçoit le langage anonyme et moyen, on le rend voulu et unique. À lire les mauvais, on sent qu’il faut se gêner. » Alors, comment lire, Voltaire nous répond : « Celui qui lit sans crayon à la main dort. »
Vincent Van Gogh, la lectrice de roman, 1888
(Raymond Alcovère : ce livre de bord, construit sous la forme d’un abécédaire, fait le tour de tout ce qui me tient à cœur, m’a construit : noms communs, mais aussi lieux, femmes et hommes célèbres, écrivains, peintres, musiciens. Les « définitions », nourries de nombreuses citations, ont des dimensions très variables : entre une ligne et trois pages)
20:06 Publié dans Dico de bord | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dico de bord, lecture, van gogh
mardi, 01 juin 2010
Et même la nature extérieure ne peut plus garder la même gravitation
« Non, Van Gogh n'était pas fou, mais ses peintures étaient des feux grégeois, des bombes atomiques, dont l'angle de vision, à côté de toutes les autres peintures qui sévissaient à cette époque, eût été capable de déranger gravement le conformisme larvaire de la bourgeoisie second Empire et des sbires de Thiers, de Gambetta, de Félix Faure, comme ceux de Napoléon III. Car ce n'est pas un certain conformisme de mœurs que la peinture de Van Gogh attaque, mais celui même des institutions. Et même la nature extérieure, avec ses climats, ses marées et ses tempêtes d'équinoxe ne peut plus après le passage de Van Gogh sur terre, garder la même gravitation »
Antonin Artaud : Van Gogh, le suicidé de la société
00:10 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : van gogh, antonin artaud
lundi, 11 août 2008
Hiroshige et Van Gogh
L'original de Hiroshige et la copie par Van Gogh. Influence sur Monet aussi : voir ici
09:19 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : art, peinture, hiroshige, van gogh
samedi, 21 juillet 2007
étincelle d'or de la lumière nature.
Enfin, ô bonheur, ô raison, j'écartai du ciel l'azur, qui est du noir, et je vécus, étincelle d'or de la lumière nature.
Rimbaud, Une saison en enfer
Van Gogh, La Nuit étoilée
22:35 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Rimbaud, Van Gogh
lundi, 14 août 2006
Lumière des arbres
Lumière des arbres, dans un ciel gris de fin d'été, à Paris.
Van Gogh, Pieta, d'après Delacroix, 1889
18:00 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : van Gogh