jeudi, 22 février 2018
Matisse, lierre en fleur
16:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse
dimanche, 26 mars 2017
I got the blouse
Henri Matisse -The Red Blouse ,1936
18:35 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse
samedi, 09 avril 2016
Bonheur
"Par bonheur, on entend, dans l'ordre qu'on veut, le plaisir et la connaissance."
Philippe Sollers, Le Cœur absolu
Matisse, Odalisque, 1923
01:53 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse, philippe sollers, bonheur
dimanche, 07 juin 2015
Vue de Collioure
Matisse, 1905
03:35 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse, collioure
vendredi, 30 mars 2012
La belle et énigmatique Lydia Delectorskaya, muse et modèle de Matisse
03:01 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : matisse
mercredi, 03 juin 2009
Des points disponibles
Peindre un tableau, c'est comme jouer au jeu de go. On s'efforce de déposer sur l'échiquier des "points disponibles". Plus il y en a, plus on est sûr de gagner.
Huang Ping-Hung (Chine, Dynastie Ts'ing)
Matisse, La Leçon de musique
00:15 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : matisse, huang ping-hung
dimanche, 03 mai 2009
And your bird can sing
"Vous passez à côté des fleurs. Vous n'écoutez pas les oiseaux. Vous êtes même incapable de laisser un arbre là où il est. Cela doit être rappelé au lecteur qui, au lieu de passer son temps à calculer des combines et des inutilités, devrait se demander si, au moins une fois par jour, il a laissé un arbre où il est et une fleur dans son " sans pourquoi ". Vous ne me direz pas que ce rappel n'est pas d'une troublante actualité, compte tenu de la pollution ambiante. Qui dit pollution dit, en réalité, corruption."
Philippe Sollers, La Divine comédie
Henri Matisse, La Perruche et la Sirène, 1953.
Les Beatles, extrait de Revolver, 1966
00:15 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : philippe sollers, beatles, matisse
mardi, 14 avril 2009
Oiseau
Paul Claudel, dans son Journal (cahier X, 1953).
OISEAU — mot fait de cinq voyelles et d’une seule consonne, moins une consonne qu’un souffle : s. Le reste est fait d’horizons et d’ailes. Il y a un cri aigu : i, et des ailes : u. Peut-être un œuf. Aviculus.
Henri Matisse
13:38 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : matisse, claudel, oiseau
samedi, 13 décembre 2008
Parce qu'il ne faut pas que ce soit parlé
- Pourquoi admet-on le bonnheur des peintres et pas celui des écrivains ?
- Ah, voilà.
- Mais pourquoi ?
- Parce qu'il ne faut pas que ce soit parlé.
Philippe Sollers, Le Coeur absolu
Matisse
05:27 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : art, littérature, philippe sollers, matisse
jeudi, 27 novembre 2008
Si Cézanne a raison, j’ai raison
Matisse (1925) : « Remarquez que les classiques ont toujours refait le même tableau, et toujours de façon différente. À partir d’une certaine époque, Cézanne a toujours peint la même toile des Baigneuses. Bien que le maître d’Aix eût sans cesse refait le même tableau, ne prend-on pas connaissance d’un nouveau Cézanne avec la plus grande curiosité. À ce propos, je suis fort étonné que l’on puisse se demander si la leçon du peintre de La Maison du pendu et des Joueurs de cartes est bonne ou néfaste. Si vous saviez toute la force morale, tout l’encouragement que me donna pendant toute ma vie son merveilleux exemple ! Aux moments de doute, quand je me cherchais encore, effrayé parfois de mes découvertes, je pensais : Si Cézanne a raison, j’ai raison, et je savais que Cézanne ne s’était pas trompé. »
00:15 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : art, peinture, cézanne, matisse
jeudi, 21 août 2008
La juste tonalité chromatique de l’ensemble
" Ce qui m’a toujours frappé, et me frappe aujourd’hui encore dans ce tableau, c’est la façon dont les couleurs se disposent à côté les unes des autres, voire se superposent en transparence, sans se mélanger, mais réalisant la juste tonalité chromatique de l’ensemble ; et, par ailleurs, le caractère d’aboutissement du tableau constitué de ses apparents effets d’inachèvement. Je ne connais pas une autre peinture qui traite de cette même façon la facture brossée des couleurs à l’huile. " M. Pleynet, Henri Matisse, 1988.
La femme au chapeau, 1905
12:39 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : art, peinture, matisse
mardi, 24 juin 2008
Si Cézanne a raison, j’ai raison
01:00 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art, peinture, cézanne, matisse
vendredi, 25 avril 2008
Un matin
Un matin, dans cet état de béatitude légère et un peu irréelle quand je viens de terminer un dessin dont je ne suis pas trop mécontent, avec cette envie de ne penser à rien, d’écouter les gens parler, leur voix rauque et tous ces siècles d’histoire qu’elles charrient, de regarder le soleil se lever sur la Sierra, le vent soulever la poussière des rues vides, de laisser l’amertume de la bière me brûler la gorge, d’écouter un disque de John Coltrane, bref d’être heureux comme un oiseau au vent du matin - le moment le plus accompli, celui où la fatigue se mêle à l’allégresse, au sentiment d’avoir donné le meilleur de moi-même -, il me restait à faire l’ouverture du café avant de me coucher, quand, de son pas léger, sa démarche souple, ses gestes qui coulaient dans l’air, la grâce et la beauté qui ondulaient jusque dans ses cheveux, elle est entrée.
Raymond Alcovère, extrait de "Le bonheur est un drôle de serpent", roman en cours d'écriture
Matisse, La Tristesse du roi.
04:43 Publié dans En cours d'écriture | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : raymond alcovère, le bonheur est un drôle de serpent, matisse
jeudi, 27 décembre 2007
A voir changer la couleur des pierres
A voir changer la couleur des pierres, retrouver la lumière crue et acide du Sud, l’âpreté qui annonce les rivages de la Méditerranée, je revivais. L’odeur des aiguilles de pin brûlées, leur bruit sec, craquant sous le pas, la torpeur pendant la canicule, l’attente interminable des siestes sans sommeil de l’enfance, le temps arrêté, puis le soir, vent marin qui s’insinue, rédemption, flots de fraîcheur à travers les rues, fluidité et mouvement partout, toutes ces sensations remontaient à la surface. Heureux du chemin parcouru. S’y mêlait l’apaisement du retour. Une envie de repos, de quiétude. Et il y avait une suite. Michel était le meilleur ami de mon oncle. Avant mon départ, il m’avait dit que sa porte serait toujours ouverte. Il m’hébergea le temps que je m’installe. C’était bon de parler ma langue, avec son accent, retrouver les phrases, les intonations de l’enfance. Pendant toute une semaine, temps humide et doux, partir à la pêche au petit matin, casser la croûte avec un verre de vin clairet à la première chaleur, puis rentrer dès que le vent tourne au Nord, la mer devenue une plaque incandescente, criblée de moutons bondissants, tranches d’un bleu pimpant, respirer les odeurs de sel comme un peu de soi, imaginer cette côte encore sauvage, avec les moustiques, les macreuses aux reflets myosotis qui glissent sous leurs flancs le bleu du ciel, les étangs regorgeant d’anguilles, sans le bruit des avions, des voitures et des bateaux à moteur.
Raymond Alcovère, extrait de "Le bonheur est un drôle de serpent", roman en cours d'écriture
H. Matisse. Le rideau égyptien. 1949
00:10 Publié dans En cours d'écriture | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : raymond alcovère, le bonheur est undrôle de serpent, matisse
samedi, 29 juillet 2006
Une pause...
De quelques jours...
A bientôt...
"Plus une tête est vide, plus elle cherche à se désemplir"
Montesquieu
16:17 Publié dans Evénements | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Matisse