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mercredi, 29 juin 2005

Un peu de Woody

"Si les soucoupes proviennent d'une autre planète, pourquoi leurs pilotes n'ont-ils pas tenté d'entrer en contact avec nous au lieu de tourner en rond autour des contrées désertiques ?"
"Ce n'est pas que j'aie vraiment peur de mourir, mais je préfère ne pas être là quand ça arrivera."
"L'homme est une créature prédestinée à exister dans son époque, même si ce n'est pas là qu'on rigole le plus."
"La plupart du temps, je ne rigole pas beaucoup. Et le reste du temps je ne rigole pas du tout."
"Je ne crois pas en l'au-delà mais j'emmènerai quand même des sous-vêtements de rechange."
"Selon les astronomes modernes, l'espace est limité. Voilà une pensée très réconfortante, particulièrement pour les gens qui ne se rappellent jamais où ils ont mis les choses."
"J'aurais voulu être espion, mais il fallait avaler des microfilms et mon médecin me l'a interdit."
"Quand j'écoute trop Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne."
"Je suis abasourdi par le nombre de personnes qui veulent "connaître" l'univers alors qu'il est déjà suffisamment difficile de se repérer dans le quartier chinois de New York."
"Mon cerveau ? C'est mon second organe préféré."
"Ses baisers laissaient à désirer... son corps tout entier."
"L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible."
"J'ai des questions à toutes vos réponses."
"La première fois que j'ai vu une femme nue, j'ai cru que c'était une erreur."

12:21 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (2)

dimanche, 22 mai 2005

Paradis ou enfer ?

François Hollande meurt accidentellement... Il est accueilli au Paradis par Saint Pierre qui lui dit : « Bienvenue. Cependant, nous devons régler un petit problème. Nous voyons si rarement des chefs de parti, ici, que nous ne sommes pas certains de ce que nous devons faire de toi. Le Grand Patron veut que tu passes un jour en Enfer et un jour au Paradis. Tu devras ensuite choisir l'endroit où tu voudras passer l'éternité. « Mais j'ai déjà décidé, je veux rester au Paradis. » « Je regrette, mais nous avons nos règlements. » Saint-Pierre conduit François Hollande vers un ascenseur qui le conduit en Enfer. Quand la porte s'ouvre, il se retrouve sur un magnifique terrain de golf tout vert, le soleil brille dans un ciel sans nuages et il y fait un parfait 25 degrés. Au loin se profile un superbe club house. A l'avant de l'édifice se trouvent son papa ainsi que Guy Mollet, Charles Hernu et
le promeneur du Champ de mars. Une grande partie de la droite est là aussi ; tous ces beaux personnages s'amusent, heureux et habillés de façon élégante et décontractée (Dior, Versace, Armani, etc.). Ils accourent à sa rencontre, l'embrassent et se mettent à brasser leurs souvenirs d'antan et leurs débats homériques ha ha !). Ils jouent une partie de golf amicale et dînent au homard et au caviar. Le Diable offre même une consommation glacée. « Bois donc cette Margarita et relaxe un peu, François ! » « Euh, ben, je ne peux plus boire, j'ai fait un serment... » « Voyons, mon garçon, c'est l'Enfer ici. Tu peux boire et manger tout ce que tu veux sans t'inquiéter . À partir de maintenant, ça ne peut qu'aller de mieux en mieux ! » François Hollande boit son cocktail et commence à trouver le Diable sympathique. Il est gentil, raconte de bonnes blagues, aime aussi jouer de bons tours, etc. Ils s'amusent tellement qu'ils ne voient pas le temps passer. Arrive pourtant l'heure de partir. Tous ses amis le serrent dans leurs bras et François Hollande prend l'ascenseur qui monte vers le Ciel. Saint-Pierre l'attend à la sortie. « C'est maintenant le temps de visiter le Ciel », lui dit le vieil homme, en ouvrant la porte du Paradis. Pendant 24 heures, François Hollande doit frayer avec Jean Moulin, Jean Jaurès, De Gaulle et toute une confrérie de gens bienveillants qui conversent de sujets beaucoup plus intéressants que l'argent et qui se traitent l'un l'autre avec courtoisie. Pas un seul mauvais coup ou une seule blague cochonne ; pas de « club house » mirobolant mais un resto ordinaire. Étant donné que ces gens sont tous pauvres, il ne rencontre aucune connaissance, et il n'est pas reconnu comme quelqu'un d'important ou de spécial ! Pire ! Jésus est une espèce de hippie, un hurluberlu qui ne parle que de « paix éternelle » et ne cesse de répéter ses insipides rengaines : « Chasser les marchands du Temple », « il sera plus difficile à un riche d'entrer dans mon royaume qu'à un chameau de passer par le chas d'une aiguille », etc. La journée terminée, Saint Pierre revient... « Alors, François, tu dois maintenant choisir ». François Hollande réfléchit pendant une minute et répond : « Bien, je n'aurais jamais pensé faire ce choix... Hum !.. Bon, je trouve le Paradis « intéressant », mais néanmoins je crois que je serais plus à l'aise en Enfer avec mes amis ». Saint-Pierre l'escorte alors jusqu'à l'ascenseur et François Hollande redescend jusqu'en Enfer. Quand les portes s'ouvrent, il se retrouve au beau milieu d'une grande plaine brûlée et stérile, couverte de vidanges et de déchets toxiques industriels. Il est horrifié d'apercevoir tous ses amis, en guenilles et enchaînés tous ensemble, qui ramassent des déchets pour les mettre dans des grands sacs noirs. Ils gémissent de douleur, se plaignant de leur supplice, leurs mains et leurs visages noirs de saleté. Le Diable s'amène, mettant son bras velu et puant autour des épaules du nouveau. « Je ne comprends pas, balbutie François Hollande en état de choc, lorsque j'étais ici hier, il y avait un terrain de golf et un « club house » ; nous avons mangé du homard et du caviar et nous nous sommes soûlé. On s'est envoyé en l'air comme des lapins et on s'est tous follement amusés. Maintenant, je ne vois qu'un désert rempli d'immondices et tout le monde a l'air misérable. » Le Diable le regarde, lui sourit sournoisement et lui susurre à l'oreille : « Hier nous étions en campagne électorale ; aujourd'hui, tu as voté pour nous ! ».



20:15 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (4)

dimanche, 10 avril 2005

Exclusif : le nom du nouveau pape !

Le pape est mort, un nouveau pape est appelé araignée ! (et pas à Rainier !)

(Merci Jacques Prévert, toujours parmi nous)

01:29 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (2)

samedi, 09 avril 2005

Un demi !

"L'autre jour, au café, je commande un demi. J'en bois la moitié. Il ne m'en restait plus !"

Raymond Devos

10:55 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (2)

jeudi, 31 mars 2005

Répétition

Il n’y a que deux sortes de comique, le comique de répétition et... le comique de répétition

14:12 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (4)

mercredi, 30 mars 2005

Marcher...

Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche. Quand l'un avance, l'autre veut le dépasser. Et moi, comme un imbécile, je marche !

Raymond Devos


17:05 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (0)