mercredi, 29 juin 2005
Un peu de Woody
"Si les soucoupes proviennent d'une autre planète, pourquoi leurs pilotes n'ont-ils pas tenté d'entrer en contact avec nous au lieu de tourner en rond autour des contrées désertiques ?"
"Ce n'est pas que j'aie vraiment peur de mourir, mais je préfère ne pas être là quand ça arrivera."
"L'homme est une créature prédestinée à exister dans son époque, même si ce n'est pas là qu'on rigole le plus."
"La plupart du temps, je ne rigole pas beaucoup. Et le reste du temps je ne rigole pas du tout."
"Je ne crois pas en l'au-delà mais j'emmènerai quand même des sous-vêtements de rechange."
"Selon les astronomes modernes, l'espace est limité. Voilà une pensée très réconfortante, particulièrement pour les gens qui ne se rappellent jamais où ils ont mis les choses."
"J'aurais voulu être espion, mais il fallait avaler des microfilms et mon médecin me l'a interdit."
"Quand j'écoute trop Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne."
"Je suis abasourdi par le nombre de personnes qui veulent "connaître" l'univers alors qu'il est déjà suffisamment difficile de se repérer dans le quartier chinois de New York."
"Mon cerveau ? C'est mon second organe préféré."
"Ses baisers laissaient à désirer... son corps tout entier."
"L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible."
"J'ai des questions à toutes vos réponses."
"La première fois que j'ai vu une femme nue, j'ai cru que c'était une erreur."
12:21 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Quelques citations notées lors de mes lectures...
L'amour ne convient qu'aux gens capables de supporter cette surcharge psychique. C'est comme d'essayer de traverser un torrent de pisse en portant un sac plein d'ordures sur le dos. (Bukowski Charles, Women, Paris, Livre de poche, 1994, 248)
Quiconque se lève à 6 heures du matin pour écrire n'a pas le sens de l'humour. Il cherche à se punir. (Bukowski Charles, Le capitaine est parti déjeuner et les marins se sont emparés du bateau, Paris, Grasset, 1999, 113)
...une bonne vérole, vous savez, pour fleurir complètement, ça demande encore de la jeunesse ; c'est comme tout le reste, c'est plus facile à commencer qu'à finir. (Céline, L'église, Paris, Gallimard, 1992, 193)
Lorsqu'on n'a pas eu la chance d'avoir des parents alcooliques, il faut s'intoxiquer toute sa vie pour compenser la lourde hérédité de leurs vertus. (Cioran, Syllogismes de l'amertume, Paris, Folio, 1998, 86)
La seule manière de nous acheminer vers l'universel est de nous occuper uniquement de ce qui nous regarde. (Cioran, De l'inconvénient d'être né, Paris, Folio, 1999, 129)
C'est pourtant tellement simple d'avoir le coeur à gauche. (Dypréau Jean, Le mal des mots, Bruxelles, La Pierre d'Alun, 1989, 33)
Je me méfiais déjà : il a fallu le forceps. (Dypréau Jean, Le mal des mots, Bruxelles, La Pierre d'Alun, 1989, 70)
Pourquoi permet-on d'enseigner à des gens qui ne lisent pas ? (Harrison Jim, La route du retour, Paris, Bourgois, 1998, 291)
Comme toujours, le principal reste à dire ; d’autres viendront sûrement, qui ne le diront pas non plus. (Havrenne Marcel, du pain noir et des roses, s.l., Phantomas, 1984, 79)
Un gars qui perd la faculté de rigoler, il perd aussi les pédales. (Kesey Ken, Vol au-dessus d'un nid de coucou, Paris, Bibliothèque cosmopolite Stock, 1993, 108)
Ils le prenaient de si haut que personne ne les voyait. (Mariën Marcel, La boîte noire, Morlanwelz, Les Marées de la Nuit, 1996, 48)
Écrit par : Rick Hunter - Président des saoulréalistes du Hainaut | mercredi, 29 juin 2005
Wouh, dis ! (mauvaise) haleine !
Écrit par : Ambrose Bierce | mercredi, 29 juin 2005
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