samedi, 04 février 2006
Dionysos et le Crucifié-Ressuscité en parfait accord
 "Chaque homme qui se ferme au divin est par lui bientôt consumé dans la destruction" écrit Philippe Sollers dans "La mutation du divin" (in revue L'infini n° 93, hiver 2005). Quelle est donc cette conception du divin qui en irrite beaucoup ? Cela passe par Venise nous dit Sollers, de son vrai nom : Sérénissime : "Ce terme n'est pas tombé là par hasard. Au féminin, bien sûr. Venise, la plus dangereuse des villes... Qui sait voir, sous son masque, Dionysos et le Crucifié-Ressuscité en parfait accord ?"
"Chaque homme qui se ferme au divin est par lui bientôt consumé dans la destruction" écrit Philippe Sollers dans "La mutation du divin" (in revue L'infini n° 93, hiver 2005). Quelle est donc cette conception du divin qui en irrite beaucoup ? Cela passe par Venise nous dit Sollers, de son vrai nom : Sérénissime : "Ce terme n'est pas tombé là par hasard. Au féminin, bien sûr. Venise, la plus dangereuse des villes... Qui sait voir, sous son masque, Dionysos et le Crucifié-Ressuscité en parfait accord ?"
Claude Monet, 1908
18:00 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (3)

















 
 

Commentaires
"Chaque homme qui se ferme au divin est par lui bientôt consumé dans la destruction"
ah ce vieux mystique de Sollers !
tiens ! je lui dédie ce beau dialogue :
"Dhan Tzing Mo a dit :
l’arbre en fleurs dans l’allée du temple
le vieil étang moussu
le cri du colporteur ivre
la danse des moucherons :
portes du Tao
glose mutine d’Egoyo Ichi
la porte du frigo
que j’ai claquée
le bruit des glaçons
dans mon verre de whisky
le première gorgée
fraîche et drue
Raaah ! "
Écrit par : hozan kebo | samedi, 04 février 2006
Raaah lovely !
Écrit par : Ray | samedi, 04 février 2006
Merci, Hozan !
Écrit par : Eric Dejaeger | samedi, 04 février 2006
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