vendredi, 28 septembre 2007
Un espagnol, un anglais et un chinois...
XVI ème, XX ème et XXI ème, à travers les siècles donc...
08:50 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : peinture, art, Vélasquez, Bacon
dimanche, 28 janvier 2007
L'oeil, la main et les Menines de Vélasquez
On croyait avoir épuisé les interprétations de ce tableau magique, pourtant il recèle encore des mystères, voir et lire ici
17:33 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art, peinture, Vélasquez
vendredi, 22 décembre 2006
Don Manet y Zurbaran de las Batignollas
Il admirait les italiens, Titien, le Tintoret et surtout Véronèse, Rubens, les Hollandais, mais par-dessus tout les Espagnols ; il venait souvent au Louvre copier Vélasquez : « C’est le peintre des peintres (…) J’ai trouvé chez lui mon idéal en peinture ; la vue de ses chefs-d’œuvre m’a donné grand espoir et pleine confiance. » Au point que la critique l’appelle (finement) : « Don Manet y Zurbaran de las Batignollas ».
00:30 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art, peinture, Manet, Espagne, Vélasquez
mardi, 19 décembre 2006
Une mutation métaphysique
Dès lors qu'une mutation métaphysique s'est produite, elle se développe sans rencontrer de résistance jusqu'à ses conséquences ultimes. Elle balaie sans même y prêter attention les systèmes économiques et politiques, les jugements esthétiques, les hiérarchies sociales. Aucune force humaine ne peut interrompre son cours, aucune autre force que l'apparition d'une nouvelle mutation métaphysique. On ne peut pas spécialement dire que les mutations métaphysiques s'attaquent aux sociétés affaiblies, déjà sur le déclin. Lorsque le christianisme apparut, l'Empire romain était au faîte de sa puissance; suprêmement organisé, il dominait l'univers connu; sa supériorité technique et militaire était sans analogue; cela dit, il n'avait aucune chance. Lorsque la science moderne apparut, le christianisme médiéval constituait un système complet de compréhension de l'homme et de l'univers; il servait de base au gouvernement des peuples, produisait des connaissances et des oeuvres, décidait de la paix comme de la guerre, organisait la production et la répartition des richesses; rien de tout cela ne devait l'empêcher de s'effondrer.
Michel Houellebecq, Les particules élémentaires, prologue
Vélasquez, Les Menines
01:15 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : littérature, Houellebecq, peinture, mutation, Vélasquez