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samedi, 03 mai 2008

"Je sais qu'après avoir pleuré en me la donnant, elle va se mettre à rire en la revoyant."

Fodie Konté voudrait maintenant retourner à Bamako, embrasser sa mère et lui montrer la couverture qu'il a su garder tout au long de son périple. "Je sais qu'après avoir pleuré en me la donnant, raconte-t-il, elle va se mettre à rire en la revoyant."

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Commentaires

Merci pour cet aperçu , des histoires semblables , il y en à la pelle si j'ose dire .
On dit "sans papiers" ! si vous saviez le nombre de papiers qu'on demande , l'autre jour j'étais entrain de remplir des papiers pour une jeune femme et un infirmier est passé la voir pour de problème de santé , il a dit on n'a jamais vu de "sans papiers avec tant de papiers"
Dans le cas de retraité ,on permet à l'épouse de rejoindre son mari retraité mais pas les enfants donc les enfants se retrouvent dans dans une galère atroce .Le choc culturel , la misère , l'impossibilité de prendre les études en route ça , en cas où ils arrivent à rejoindre le reste de la famille .Mais dans les deux cas , ils sont complètement perdus , le père devenu vieux a besoin de sa femme , la mère n'a que le choix de partir laissant ses enfants livrés à eux même ou bien les voir ici clandestins .
Si vous saviez la tristesse des mères !

Écrit par : soulef | samedi, 03 mai 2008

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