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vendredi, 26 janvier 2007

Glissant

Le pavé était glissant, la nuit tomba.

Ponson du Terrail

Commentaires

"Quand la nuit sombre en caressant
La douce brume se berçant
La ville devient étincelle
Au son, parfois, d'un violoncelle
Implorant le coeur du passant..."

Moi, ça me fait penser à ce rondeau que j'avais écrit il y a longtemps mais dont j'ai oublié quelques vers.

"Quelle est donc cette jouvencelle,
Le beau garçon qui l'interpelle
Pour un jeu pas très innocent
Dans la nuit sombre !"

Sûrement aucun rapport avec cette phrase, mais,
par contre, vous nous expliquerez peut-être cet "épisode" de Rocambole!

Écrit par : endora | vendredi, 26 janvier 2007

L'humour de Ponson, tout simplement !

Écrit par : Ray | samedi, 27 janvier 2007

Ben, l'humour de Ponson, voyons, Ray.... Avec Alina qui croule de rire ds son coin, c'est un peu ce que je pensais.

J'ai joué le jeu ! Merci Alina ;-)))

Écrit par : endora | samedi, 27 janvier 2007

Vous connaissez l'histoire de ce feuilletoniste, qui, à cours de verbe, écrivit : "Ah, ferma-t-il la porte !"

Écrit par : Ray | samedi, 27 janvier 2007

Hasard objectif ? Après avoir lu cette note et celle sur le métro anagrammatisé, je vais sur le site de Philippe Lipcare et je trouve une épigraphe d'Édouard... Glissant ! (http://a-t-l-a-s.hautetfort.com/archive/2007/01/17/feuille-caillou-ciseau-ombre-1.html#trackbacks)

Écrit par : C.C. | samedi, 27 janvier 2007

Ray > non.

booooooooooooooof

Écrit par : endora | dimanche, 28 janvier 2007

La voici : «Mais j'en rapporte comme une ombre parfois,
qui relie entre elles les quelques roches de mots
que j'entasse au large d'un tel paysage (…)»

Edouard Glissant

Écrit par : Ray | dimanche, 28 janvier 2007

Les commentaires sont fermés.