jeudi, 19 octobre 2006
Positano et les rochers des sirènes
 Positano et les rochers des sirènes. C’est ici qu’elles vivaient. De n’avoir pu attirer par leurs chants Ulysse et ses compagnons, elles se sont jetées à la mer de désespoir. Leucosia aux bras blancs a échoué sur la plage de Paestum, Ligeia  la  mélodieuse en Calabre, Parthenope, celle qui est restée vierge, ici. Naples y trouve son origine.
Positano et les rochers des sirènes. C’est ici qu’elles vivaient. De n’avoir pu attirer par leurs chants Ulysse et ses compagnons, elles se sont jetées à la mer de désespoir. Leucosia aux bras blancs a échoué sur la plage de Paestum, Ligeia  la  mélodieuse en Calabre, Parthenope, celle qui est restée vierge, ici. Naples y trouve son origine. 
Raymond Alcovère, Extrait de "Fugue baroque", Roman, n & b éditions
00:25 Publié dans Fugue baroque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, positano, fugue baroque, sirènes, naples

















 
 

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