mardi, 01 janvier 2013
La grande Katherine
19:31 Publié dans Cinéma, Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : katherine hepburn
Badinage artistique
Meilleurs voeux 2013 avec Jean-Louis Sieff !
14:25 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : jean-louis sieff
dimanche, 30 décembre 2012
Bon réveillon !
Et nos amitiés à Monsieur Doisneau !
15:52 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robert doisneau
mercredi, 28 novembre 2012
Roman
Ce qui est intéressant, dans la vie, c'est quand elle se met à ressembler au roman qu'on est en train d'écrire... Magie ? Oui. A partir du moment où on commence un livre, le paysage bouge... Ballet insidieux... Les personnages réels, là, se déplacent... C'est comme s'ils essayaient d'échapper à ce qu'ils soupçonnent qu'on est en train d'écrire d'eux... Comme s'ils s'engageaient dans des diversions parallèles... Pour rectifier votre mémoire... Dans un sens plus favorable, plus flatteur... Les femmes ont sur ce point une plasticité particulière... Un radar... Un neuvième sens... Elles sentent le récit possible... L'écriture... Elles viennent s'interposer... S'inter-proposer...
Philippe Sollers,
Photo de Ralph Gibson
21:28 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ralph gibson
mardi, 07 août 2012
Le Mont Sharp, sur Mars, lundi 6 août
Reuters/Handout/NASA/Courtesy
17:13 Publié dans Photo, Science | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : mars
dimanche, 22 janvier 2012
Tèrra de lutz, nouvelle présentation
02:41 Publié dans Photo, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges souche
vendredi, 13 janvier 2012
The City Solution
Photograph by Chia Ming Chien
23:15 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (4)
mardi, 15 novembre 2011
Les mains de Keith Richards
15:20 Publié dans Musique, Photo | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : keith richards
samedi, 04 décembre 2010
Le blog de Georges Souche
22:36 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : georges souche
vendredi, 07 mai 2010
Edouard Boubat
"Est-il besoin de dire que cette image - sans doute parce qu'elle illustre avec noblesse la plus exquise la secrète affinité de ces deux maîtres-mots : la mer et la mère - est l'une des plus belles qui furent jamais faites depuis l'invention de la photographie ? La plus belle peut être."
Michel Tournier
Edouard Boubat, Madras, 1971
00:15 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : edouard boubat
mardi, 16 mars 2010
8,2 Km, d'Eddie Bonesire
Eddie Bonesire est décidément un photographe surprenant. Certaines de ses photos, très épurées, sont plus proches de l'art abstrait que de la photographie telle qu'on l'entend habituellement. Ici, avec ce recueil, il revient pour ainsi dire à une photo plus classique, en noir et blanc, mais l'effet est tout aussi saisissant. Les photos sont en outre agrémentées de courts textes (parfois en flamand ou en français), incisifs, poétiques :
00:14 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eddie bonesire
jeudi, 18 février 2010
Empailleur
Je ne suis pas photographe écrivain peintre je suis empailleur des choses que la vie m'offre en passant
Jacques-Henri Lartigue
00:15 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jacques-henri lartigue
lundi, 25 janvier 2010
Terra de lutz
Rocher des vierges. Vallée de l'Hérault, 2009.
Photo de Georges Souche, allez voir son site et ses photos sublimes du Languedoc
00:15 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : terra de lutz, georges souche
jeudi, 21 janvier 2010
Une photo de Camil Tulcan
"I'm a landscape" : photo de Camil Tulcan, à voir (entre autres) sur le toujours savoureux blog de Lionel André : Fleuves et montagnes sans fin
13:23 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : camil tucsan
mercredi, 30 décembre 2009
Le photographe Georges Souche ouvre son blog : Terra de lutz
Et c'est superbe !
16:19 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges souche, terra de lutz
samedi, 12 septembre 2009
Richard Bruston ou l'ordre gracieux de l'instant
Voici un article et une interview du photographe Richard Bruston, faits pour la revue Salmigondis.(n° 19)
L’art n’est pas à mes yeux une réjouissance solitaire. Ces mots de Camus s’appliquent parfaitement à Richard Bruston. En trente ans de travail photographique, presque aucune exposition personnelle. Au contraire, il a multiplié les rencontres, avec d’autres artistes, écrivains, chorégraphes, dramaturges, philosophes, mais aussi hors du champ habituellement laissé aux artistes : Il s’est confronté à l’hôpital psychiatrique, aux maisons d’arrêt, aux publics en difficulté, à l’histoire. Et la notion du handicap est transversale à tout son travail.
Pour sa dernière grande exposition : “ Ils signent ”, il a fait rencontrer des écrivains et des personnes sourdes pour un échange unique. Aux personnes sourdes il était demandé de signer ce qu’elles ont d’important à nous dire que nous ne connaissons pas, de leur vie, de leur lutte, de leur dignité d’hommes et de femmes ; aux écrivains de traduire avec des mots ce qu’ils ressentaient et de livrer leur témoignage. L’image fait le croisement: le photographe saisit les mains du sourd en train de signer et les mains de l’écrivain en train d’écrire. Au final, 26 panneaux (autant que de lettres de l’alphabet) pour raconter ces rencontres, et une exposition forte, émouvante, un travail en profondeur.
En 1995 c’est “ Double miroir ” , autre pari difficile mais réussi : Richard Bruston demandait à des écrivains de s’interroger sur leur propre image. Côte à côte donc la photographie de l’écrivain et les mots qu’elle lui inspire. Mise en perspective étonnante. “ Le portrait résume tout de l’histoire d’une personne. On voit tout d’un visage, y compris ses zones d’ombre : le visage et son contraire (le retenu, le caché), ombre et lumière où cette dualité s’affronte. Pas un être n’échappe à ses contradictions, c’est une constante de l’humain. ”
La photographie est pour Richard Bruston cet instant magique où tout se concentre, un jaillissement, ce qu’il appelle “ l’ordre gracieux de l’instant ”. Et cet ordre gracieux, c’est toujours une lecture de l’autre.
Ø C’est très rare chez les photographes, tu n’a presque jamais fait d’exposition personnelle, mais beaucoup travaillé avec d’autres créateurs , pourquoi ?
Mes photographies ne sont pas égotiques. J’ai le “ moi ” en horreur, mon postulat procède de l’autre en tant qu’être radicalement différent. Ma quête est la recherche du vrai dans ce que je vis dans l’instant, c’est-à-dire ce qui m’est donné de voir, de sentir au moment du face à face (ce qui est montré et caché) et cela m’applique et m’implique dans mes couilles et mon cœur. A chaque fois, il s ‘agit d’épousailles réussies ou loupées. Je place très haut le collectif “ qui est au cœur de l’art lui-même ” selon le mot de Jaurès, c’est pourquoi j’aime se faire croiser toutes sortes de différences réunies par le biais de la photographie.
Ø Une des constantes de ton travail est ton voisinage avec les écrivains, quel rapport entretiens-tu avec l’écriture ?
Les écrivains se risquent par jeu avec talent dans la photographie. J’aime à faire avec eux un chemin où peuvent coexister l’écriture et l’écriture photographique. Je me sens toujours gratifié d’un quelque chose en plus. Leur compagnie m’enchante, j’aime être envahi, démoli par un texte. Je suis souvent en apesanteur avec l’écriture poétique. Sinon, mes seuls rapports avec l’écriture sont, banalement, intimes. Comme tout le monde, j’écris. Cela me différencie de l’écrivain.
Ø A regarder ton parcours, on s’aperçoit que tu as souvent travaillé sur la question du handicap ou avec les laissés pour compte de la société, milieux défavorisés, psychiatrie, maisons d’arrêts, sourds et muets, pourquoi ?
Les êtres en perdition sont vrais, ils ne jouent pas. Ils sont vrais comme leur visage, ils ne cherchent pas à paraître, face au gouffre de ce qu’ils vivent. Ils sont l’abîme même du verbe être. La société s’en moque éperdument. Qui d’entre nous s’intéresse à leur immense solitude (prison, psychiatrie) ? Idem pour le ghetto historique dans lequel vivent les personnes sourdes.
Ø Tu as souvent fait des portraits, qu’est-ce que ce travail a de spécifique pour toi, est-ce que tu l’affectionnes particulièrement, quel type de relation humaine est-ce que cela instaure entre toi et la personne ?
Le portrait résume tout de l’histoire d’une personne. On voit tout d’un visage, y compris ses zones d’ombre : le visage et son contraire (le retenu, le caché), ombre et lumière où cette dualité s’affronte. Pas un être n’échappe à ses contradictions, c’est une constante de l’humain. Ce qui peut arriver dans l’échange est unique, quelque chose comme un ordre gracieux de l’instant. J’aime le présent. Je n’ai pas envie de creuser plus, c’est mon côté superficiel.
Ø Tu fais de la photographie artistique depuis plus de trente ans, qu’est-ce qui t’a le plus marqué, de cette expérience ?
Mes rencontres, celles qui m’ont fait grandir à tous les âges de la vie, toutes mes non-rencontres aussi.
Ø Sur l’île déserte, quel(s) livre(s) emporterais-tu ?
La Bible et Robert Musil.
Photos de Richard Bruston ( 06 98 14 98 92)
00:15 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : richard bruston
dimanche, 06 septembre 2009
La Linea d'Eddie Bonnesire
10:42 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eddie bonnesire
dimanche, 02 août 2009
Duane Michals
"Le travail de Michals est presque aussi autobiographique que celui de Lartigue, par exemple, mais il en diffère radicalement en ceci : il ne surprend pas le moment, il le crée. Contrairement à Lartigue adolescent patiemment posté au détour des allées du Bois de Boulogne pour y saisir l'apparition d'une élégante en grande toilette, Michals n'est jamais à l'affût des mouvements du corps : il provoque, pour la pellicule et par elle, les mouvements de l'âme. À cette fin, il utilise des modèles, professionnels ou non, des procédés techniques complexes de savantes mises en scène."
Renaud Camus
00:15 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : duane michals
samedi, 01 août 2009
Raymond Depardon
Nous avons vu arriver dans la presse des gens sortis d’HEC en costume-cravate qui disaient: pourquoi payer des reportages 100 000 euros? Payez-les au tarif syndical… Il y a eu un effondrement.
Lire ici une interview de Raymond Depardon à propos de la fin de l'agence Gamma
03:07 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : raymond depardon
vendredi, 31 juillet 2009
Un peu tiré par les cheveux
Richard Avedon, Twiggy, coiffure de Ara Gallant, studio de Paris, janvier 1968, Photo Richard Avedon
13:37 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : richard avedon