samedi, 04 décembre 2010
Cabrioles
"Y a-t-il un seul spéculateur - un seul - qui ait exprimé un semblant d’excuse ou de repentir pour les souffrances sociales qu’il a causées, pour le chômage qu’il a provoqué, pour les dépenses qu’il a fallu consentir pour sauver le système ?"
Lire ici l'édito de Laurent Joffrin
Lisbonne, mai 2007, coup d’oeil François Weil, photo Marie Genty
22:55 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
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