Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 04 décembre 2010

Cabrioles

Lisbonne, mai 2007, coup d’oeil François Weil, photo Marie Genty.jpg"Y a-t-il un seul spéculateur - un seul - qui ait exprimé un semblant d’excuse ou de repentir pour les souffrances sociales qu’il a causées, pour le chômage qu’il a provoqué, pour les dépenses qu’il a fallu consentir pour sauver le système ?"

Lire ici l'édito de Laurent Joffrin

Lisbonne, mai 2007, coup d’oeil François Weil, photo Marie Genty

22:55 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

Les commentaires sont fermés.