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mercredi, 15 juillet 2009

Moby Dick

118095-004-E9D5AC09.jpgDéjeuner chez des amis, sous des arbres encore. Je leur ai offert "Prélude à la délivrance" de Yannick Haenel et François Meyronnis, mon livre préféré cette année, lu trois fois. Au moment que nous vivons de la plus grande dévastation, au moment où le danger est le plus grand, une étincelle peut s'allumer, la dimension du divin. Celle de Nietzsche et de l'éternel retour, de Lautréamont, Rimbaud et quelques autres. Et puis il y a Moby Dick de Melville que H et M décortiquent et font apparaître comme un véritable traité de théologie. Dans un de ces autres livres : L'Axe du néant, François Meyronnis écrit : "Le langage est le lieu du combat. Ce fut la grande intuition de Heidegger : "Le passage de la ligne du nihilisme interviendra, s'il intervient, par et dans le langage."

"L'été est une saison qui prête au comique. Pourquoi ? Je n'en sais rien. Mais cela est" a écrit Gustave Flaubert. L'été c'est aussi le moment où tout s'arrête, où le vide permet de renaître.

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