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mercredi, 24 juin 2009

Lettres à Van Rappard, par Vincent Van Gogh

van-gogh-vincent-the-olive-trees-1889-2802925.jpg«Ce qui subsistera en moi, c'est un peu de la poésie austère de la bruyère véritable.»

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Van Gogh, Les Oliviers, 1889

00:12 Publié dans Peinture | Lien permanent | Commentaires (3)

Commentaires

Le sol, les oliviers, la montagne, le ciel, tous emportés dans le même mouvement "tellurique" épinglé ici par Vincent, c'est tout le contraire d'un paysage tranquille et calme, plus rassurant pour ses contemporains, sans doute...

Écrit par : Marc LARIVIERE | mercredi, 24 juin 2009

Très beau commentaire de Sollers, très juste et véritablement authentique. j'adore : "Il faut être aveugle comme un universitaire, /.../pour ne pas voir que Van Gogh célèbre ici une grande victoire sur tout le monde et lui-même" ou bien "la logique directe échappe au somnambulisme des spectateurs. Ils sont sourds, ils ne voient rien, ils jouent des rôles" ou encore "Ils sont seuls, les clichés règnent" mais encore "Je ne peux m'empêcher encore de revoir cette puritaine éditrice américaine, à Francfort, feuilletant mon livre sur Picasso : «Picasso ? Old fashion !» Vincent : «Ce n'est que chez les initiés superficiels comme les marchands (sans aucune exception) qu'on est sûr de ne trouver ni sentiment, ni foi, ni confiance, mais uniquement et éternellement des vieilles scies : jugements superficiels, généralités, critique conventionnelle.»

Écrit par : Jacki Maréchal | samedi, 27 juin 2009

Tiens tu pourras découvrir un joli calembour dans son Journal du mois :
http://www.philippesollers.net/juin09.html
à propos de l'affaire Courjault

Écrit par : Ray | lundi, 29 juin 2009

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